Anche questa, come "Canto del contrabbandiere" è una canzone contro la guerra del lavoro.

Si parla in entrambe del contrabbando storico, quando si contrabbandava per fame, come avveniva prima, durante e dopo le guerre.

Riprendo da Andar di frodo oltre confine con la bricolla in spalla

“Cosa significa, contrabbando se non contravvenire al bando, cioè alla legge che esige un tributo minacciando una pena? Noi contrabbandieri realizzavamo un guadagno violando la legge. A condizione, ovviamente, che il ricavo fosse tale al punto che il costo del passaggio del confine della merce fosse inferiore al prezzo che si pagava praticando le vie legali. Alla faccia del dazio e delle gabelle”

"A volte capitava che contrabbandieri e guardie di confine si trovassero nella stessa osteria prima di andare al lavoro, e le guardie non avevano le fette di salame sugli occhi ma, consapevoli che i loro paesani... (Continues)

Cher Marco Valdo,

Merci de tout mon cœur pour tes traductions. Tu sais que je n'interviens presque jamais sur tes traductions (et même sur celles des autres), mais il y a un tout petit point que j'ai été obligé à changer. C'est le dernier vers de la “Seconde version”. C'est très important, parce que les deux versions montrent une différence fondamentale: la première, écrite dans un camp de concentration lorsque la guerre civile était encore en cours, se termine par “nous avons vaincu” en grec ancien, νενικήκαμεν, repris du célèbre annonce de victoire de Phidippidès et exprimant l'espoir ou la certitude de la victoire. La seconde, écrite après une séquence de défaites historiques et pendant une dictature, se termine par un verbe passif: νικηθήκαμε signifie “nous avons été vaincus”. Le grec, c'est une langue très synthétique. Et c'est aussi une différence très importante entre les deux versions, due à trente ans d'histoire. Merci encore!