Des nouvelles d’Alfred Schrappel

Comme je retravaillais cette chanson pour l’insérer dans les Histoires d’Allemagne, j’ai été gêné par le fait qu’il y avait une discordance énorme entre le texte de la chanson et son attribution à un « gardien inconnu » du K.Z. de Colditz, d’autant qu’en 1933, les camps improvisés pour y mettre les opposants au nazisme (anarchistes, socialistes, communistes…) étaient gardés par des S.A. ou des S.S., dont l’humour et l’autodérision n’étaient pas la principale vertu.

J’ai donc fait une nouvelle recherche, dont voici le résultat.

Une première remarque est que lorsque j’avais établi la version française de cette chanson, je m’étais contenté de traduire le commentaire italien. Ce fut sans doute une erreur ; à tout le moins, j’aurais dû le vérifier. Mieux vaut tard que jamais.
Donc, comme il était dit par le commentateur italien de la chanson qu’Alfred Schrapppel... (Continues)

La guerra inizia proprio là, nell'incomprensione tra l'uomo e la donna.

BB caro, stai attento alle iniziali maiuscole quando inserisci canzoni in tedesco. Non si tratta di questioni stilistiche, o di una specie di vezzo come nei titoli delle canzoni in inglese: in tedesco le iniziali maiuscole (Großschreibung) sono soggette a regole ferree e decisamente teutoniche. Salud!

Il nome del poeta autore del testo, che fu piuttosto noto per questa e altre composizioni, è Giovanni Olivotto, nato a Belluno proprio sul finire dell'Ottocento (fu proprio uno dei "Ragazzi del 99"nella Grande Guerra). Sempre a Belluno moriva nella prima metà degli anni Cinquanta del secolo scorso. Il territorio della provincia di Belluno conobbe un massiccio fenomeno di emigrazione,per decenni anche dopo la Seconda Guerra, come del resto l'intero territorio veneto, con rare eccezioni...il tema era (e tuttora rimane) quindi molto sentito.