Version française – LA LIBRE ÉCONOMIE – Marco Valdo M.I. – 2013
Chanson allemande – Die freie Wirtschaft – Kurt Tucholsky – 1930
Un poème signé sous le pseudonyme de Theobald Tiger publiée le 4 Mars 1930 sur « Die Weltbühne », la revue que Tucholsky dirigea jusqu'à cet année, pour ensuite s'exiler en Suède, convaincu que désormais la lutte contre l'arrivée au pouvoir des nazis était perdue…
Musique de Leobald Loewe, musicien connu pour ses adaptations des chansons de Brassens en allemand.
Interprétée par l'auteur-compositeur et le guitariste allemand Leo Kowald
Mais le nazisme n'était pas l'unique préoccupation de Tucholsky. Il savait que les nouveaux guerriers étaient dangereux pas seulement car ils dupaient les masses populaires épuisées par la misère et le chômage, en titillant leurs instincts les plus bas, mais car ils étaient soutenus par des grands groupes industriels, des adorateurs... (Continues)
La trascrizione in caratteri latini (Si veda l'introduzione)
"The song is performed by Betty Segal, accompanied by Akiva Daykhes on the accordion.
The song was written by Leyb Rosental, who perished in 1945, for a review show of the Vilna Ghetto Theater entitled “Korene Yorn un Veytsene Teg” (Corn Years and Wheat Days), performed in 1943. The title is a play on the words “veytsene” – pronounced here as “vey tsu”– a cry of pain.
The song describes life in the ghetto as shadows, haunted by their destiny. The Jewish shadows – ghetto residents – live as corpses, as others continue their lives giving no thought to their pain and suffering. The lonely man – nobody listens to his cries. But one day in the future, “the shadows will disappear, and from the horrors you will see, soon, how the shadow passes and the sun shines a clear light.” The song ends in hope, as do many of the songs performed... (Continues)
E', come già specificato nell'introduzione, della versione ebraica di Music and the Holocaust. Anche da questa pagina la canzone può essere ascoltata in file audio. [RV]
E' un testo, questo, che ha subito numerose aggiunte e varianti; e "variopinte" sono anche le trascrizioni (quasi tutte incomplete, peraltro) che si trovano in rete. Abbiamo quindi deciso di rifare totalmente anche la trascrizione, in base ai criteri YIVO. [RV]
Le versioni inglesi come quella presente in questa pagina sono nate per essere cantate ed eseguite, e sono naturalmente degli adattamenti. Sul testo originale yiddish ho quindi condotto questa traduzione pienamente letterale, che copre la "versione completa". [RV]
La traduzione dal calabrese all'italiano è fatta male. Ogni "faux amis" ètradotto secondo la parola assonante e non secondo il suo reale significato. Un esempio: "Ti lu cogliu" non significa "te lo colgo" ma "te lo piego". Così si perde parte del senso e delle sensazioni che la canzone dovrebbe suscitare.
Francesco 2013/5/25 - 19:18
Benissimo, caro Francesco; come siamo soliti dire (e visto che sembri esserne capace), ti chiediamo allora gentilmente di fornirci una traduzione migliore, in modo che il senso e le sensazioni della canzone possano essere salvaguardate. La aspettiamo in tempi ragionevoli, ringraziandotene in anticipo. Saluti.
NB. Se usi l'espressione francese, però, dovresti dire "ogni faux ami", al singolare.
Ulteriore nota. Naturalmente accogliamo con piacere la correzione fatta da Francesco, e la inseriamo nella traduzione italiana. Ovviamente eventuali traduzioni "rivedute e corrette" sono ben accette da parte di chiunque.
Chanson italienne - Vent'anni - Cantacronache – 1965
Texte de Michele L. Straniero
Musique de Sergio Liberovici
Ah, une chanson sur les vingt ans... En connais-tu des chansons sur les vingt ans ? Mille chansonniers y ont cassé leur plume. Du reste, restons-en à « On n'a pas tous les jours vingt ans, ça n'arrive qu'une seule fois par an... »...
Je sais, je sais, Marco Valdo M.I., je connais ton aversion des scies et certainement, cette version des Vingt Ans de Berthe Sylva a dû casser les oreilles de mille jeunesses. Mais, mais, il te faudra bien m'entendre rectifier ton ironie et remettre le texte original : « ça n'arrive qu'une seule fois seulement... » et te demander de chercher le texte de cette chanson et de la mettre dans les Chansons contre la Guerre, car à mon sens, comme bien des chansons populaires – Le temps des Cerises, par exemple – en sont elles aussi.
Stupenda!! Mi piacerebbe sentirla cantare da una donna...
Una ragazza come Rachel, con una bella voce.
Io purtroppo sono una frana (stonata come una campana)
D:< :-(
Chanson allemande – Die freie Wirtschaft – Kurt Tucholsky – 1930
Un poème signé sous le pseudonyme de Theobald Tiger publiée le 4 Mars 1930 sur « Die Weltbühne », la revue que Tucholsky dirigea jusqu'à cet année, pour ensuite s'exiler en Suède, convaincu que désormais la lutte contre l'arrivée au pouvoir des nazis était perdue…
Musique de Leobald Loewe, musicien connu pour ses adaptations des chansons de Brassens en allemand.
Interprétée par l'auteur-compositeur et le guitariste allemand Leo Kowald
Mais le nazisme n'était pas l'unique préoccupation de Tucholsky. Il savait que les nouveaux guerriers étaient dangereux pas seulement car ils dupaient les masses populaires épuisées par la misère et le chômage, en titillant leurs instincts les plus bas, mais car ils étaient soutenus par des grands groupes industriels, des adorateurs... (Continues)