Grazie Luca. Io direi che la traduzione andrebbe rifatta completamente. Non che ci siano grandi errori (a proposito la union card credo proprio che sia la tessera del sindacato, non il libretto di lavoro!), ma non è un granché, ecco... ti offri volontario dato il nickname ? ;). Comunque intanto eccone un'altra un po' migliorata.
Chanson tialienne – Un'altra storia - Guacamaya – 2012
« Une AUTRE HISTOIRE » est une véritable perle à l'intérieur d'un album dur et puissant dans le son et dans les textes : « Une AUTRE HISTOIRE » est une ballade, une pause de réflexion, dans laquelle les voix et les guitares se mêlent à la perfection pour parler d'un sujet cher au groupe et son public : la Résistance Partisane. Les Guacamaya parlent d'un phénomène considéré jamais fini au nom soit du sacrifice des Partisans pendant la guerre que des actuels événements qui voient toujours exacerbés les instincts racistes, xénophobes et fascistes de l'actuelle société italienne et européenne.
Il s'agit d'un album sincère, qui tient la route et qui offre avec humilité à l'auditeur un voyage dans un monde d'idéaux et des rêves qui semblent à présent disparaître dans la vacuité de la réalité d'aujourd'hui, envahie par la société de consommation, de l'indifférence et du n'importe quoi.
L'Internationale de François Béranger
L'Internazionale di François Béranger
Nota. Esiste già una pagina apposita su questa canzone, che viene mantenuta.
Note. A special page for this song is already included (and will be kept) in the site.
"Ah, Lucien l'âne mon ami, tu connais certainement l'Internationale d'Eugène Pottier pour l'avoir entendue de nombreuses fois et pourquoi pas, chantée. Je te conseille pourtant d'aller voir l'extraordinaire compilation faite par nos amis des Canzoni contro la Guerra, qui rassemble un nombre énorme de versions de l’Internationale – jusqu'à présent 225, en 98 langues.
Et crois bien qu'ils ne se vantent pas quand ils disent qu'il s'agit là « Probabilmente la più completa pagina al mondo sull'inno dei lavoratori di tutto il mondo, che ha anche una forte componente antimilitarista » - « la page la plus complète au monde à propos de l'hymne des travaillerus... (Continues)
Pendant l'été soixante et onze après une boucherie sans nom (Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. + CCG/AWS Staff 2013/1/3 - 12:16
Erri de Luca's Internationale
English Version by Riccardo Venturi
Played at the close of trade unions rallies
it was a record crackling at parade's end,
the voice of janitors closing the front door.
But when suddenly sung in teargas clouds
against the breaking-up by police charge,
it was like a can tied up to the just married car,
like a fiddle strummed by a gypsy, like
feet in soaked shoes, crickets' endless rush,
like the noise of an old story,
shop shutters being lowered, rust in the throat,
courage swapping, those who had it gave it
till they had no more, the Internationale was ours
BUT
no riot was happening only there at that hour
but formed a chain with the rest of the world
scratching away the scab of colonial powers,
of well-fed tyrannies in uniform and boots.
Played from China to Chile, in Stalingrad
and on the ruins of Reichstag in Berlin,
it came then among... (Continues)
La versione bielorussa è qui traslitterata non secondo gli standard usuali nel nostro sito per l'alfabeto cirillico, bensì nella cosiddetta Łacinka, vale a dire l'alfabeto bielorusso latino ufficiale che viene talvolta ancora usato, specialmente nella diaspora. Sull'alfabeto latino bielorusso (basato in gran parte su quello polacco) e sulla sua forma attuale si veda l'articolo di en:wikipedia.
The Belarusian version of the Internationale is not given here according to site standards, but in the so-called Łacinka, the Belarusian Latin alphabet which is still used, especially in the diaspora. On the Belarusian Latin alphabet (mostly based on the Polish spelling), see the relevant en:wikipedia article.
Una canzone di Aristide Bruant che credo non possa essere sfuggita a De André per la sua Marinella…
ROSE BLANCHE (RUE SAINT-VINCENT)
[1910 o 1911]
Parole e musica di Aristide Bruant, che visse al n.30 di Rue Saint-Vincent, Clignancourt-Montmartre.
Interpretata da moltissimi artisti tra cui Les Frères Jacques, Yves Montand, Cora Vaucaire, Marc Ogeret, Francesca Solleville e Renaud.
Alle avait, sous sa toque d’ martre,
Sur la butt’ Montmartre,
Un p’tit air innocent ;
On l’app’lait Rose, alle était belle,
A sentait bon la fleur nouvelle,
Ru’ Saint-Vincent.
All’ n’avait pas connu son père,
A n’avait pas d’mère,
Et depuis mil neuf cent,
A d’meurait chez sa vieille aïeule
Où qu’a s’él’vait, comm’ ça, tout’ seule,
Ru’ Saint-Vincent.
A travaillait, déjà, pour vivre,
Et les soirs de givre,
Sous l’ froid noir et glaçant,
Son... (Continues)
Dead End 2013/1/4 - 10:23
"Rose blanche" fu scritta da Bruant non nel 1910 o 11 ma sicuramente prima del 1895, anno di pubblicazione del terzo volume della raccolta "Dans la rue - Chansons & monologues" in cui è inclusa.
[1889?]
Monologo di Aristide Bruant.
Dalla raccolta “Dans la rue - Chansons & monologues”, volume primo, 1889.
“… Mi sono messo in sciopero per rispetto al mio corpo… Tutte le mattine apro il giornale e leggo di qualcuno che si è sfracellato sul lavoro… Si alzano al mattino, partono per il lavoro e la sera sono ridotti a marmellata… Invece di discutere tanto sulle condizioni di lavoro nelle miniere e nelle fabbriche, penso che sia meglio inventare dei lavori dove nessuno ci crepi… Fino a quel momento – vi ho avvertito – io a lavorare non ci vado, me ne resto in sciopero per rispetto al mio corpo…”
Parigo, quoi !... des Batigneule',
Toujours prêt à coller un paing,
Mais j' comprends pas qu'on s' cass' la gueule
Pour gagner d' quoi s'y fout' du pain.
El' travail... c'est ça qui nous crève,
Mêm' les ceux qu'est les mieux bâtis,
V'là porquoi que j' m'ai... (Continues)
An'hui - An'huy = Aujourd'hui.
Baladin = Nomade, romanichel.
Branciller = Vaciller en marchant.
Breumer = Mugir.
Courvées = Les corvées, c'est-à-dire les travaux sur les chemins ruraux et vicinaux exécutés par les gens de la campagne pour s'acquitter, en nature, des taxes spéciales sur ces chemins.
Mâssins = Les mancherons de la charrue.
Pansier = Le gros ventre de la femme enceinte.
Terper = Trépigner, tasser.
Dead End 2013/1/3 - 15:41
Désolé, dit Lucien l'âne, je crois vraiment que les baladins sont tous simplement ce qu'on appelle aujourd'hi des "artistes de rue" et qu'on appelait généralement, des jongleurs, des saltimbanques et même, des comédiens.
Voir la chanson de Gilbert Bécaud Les Baladins.
La Ballade des Baladins – Gilbert Bécaud - 1953
Paroles: Louis Amade. Musique: 1953
Les baladins qui serpentent les routes
Viennent de loin parmi les champs de blé
Les bonnes gens regardent et les écoutent
Et les étoiles leur parlent de danser
Les vieux châteaux dressés du fond du Moyen Age
Semblent guider leurs pas légers comme un matin
Et parmi les donjons perchés dans les nuages
Des princesses leur font des signes avec les mains
Mais les gars de vingt ans qui ressemblent à des dieux
Insouciants et joyeux parmi leurs rondes folles
Passent sous les donjons sans dire une parole
Ils ne regardent pas les bras... (Continues)
Chanson de Gaston Couté – 1899 – en beauceron ou en orléanais, comme on voudra... Ce n'était pas du français d'Île de France, ni du patois, d'ailleurs.
Couté parlait et écrivait du Couté, comme on parlait chez lui, comme parlaient les gens de chez lui du côté de Meung. Mais le français commun évolue - tout comme les autres français parlés et écrits par les gens de langue française (en Europe, en Afrique, en Amérique, en Asie, en Océanie... et je ne sais où encore). J'ai donc établi une version en français d'aujourd'hui, tel qu'il est connu ici en Wallonie...
Marco Valdo M.I.
Putain, les villes sont déjà couvertes de sales gueules ! (Les élections arrivent !)
Incroyable comme c'est toujours d'actualité en 2013...
Et la clarté du propos est grande et coule sans effort des mots... Ces hiboux-là, en vérité, je vous le dis, sont de grands ducs... J'en tiens pour preuve et pour hommage à ces Grands Ducs de Milan quelques vers de Nicolas Boileau, que voici :
« Il est certains esprits dont les sombres pensées
Sont d'un nuage épais toujours embarrassées...
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
J'imagine bien que tu notes ainsi le passage où il est question des sombres affirmations des cardinaux, oiseaux de mauvaise augure s'il en est.
C'est en effet bien aux cardinaux et autres gens d'Église qu'il est fait allusion... Car les eunuques expriment leur souhait on ne peut plus clairement ; le chœur dit bien le péril qu'il pressent et les soldats ne mâchent pas leurs mots au président.
Ví a una calavé- ráen lá picó-ó-ó-o-tá
me-pu-se curió-so y pregun-té-é-e-e
ella-me contestó, muy dolórí-i-í-ídá
que sin tocár campá-nas yà-había í-í-í-do...