Οδός Αριστοτέλους
Version française – RUE ARISTOTELOUS – Marco Valdo M.I. – 2010
d'après la version italienne de Gian Piero Testa de la chanson grecque « Odòs Aristotelous », paroles de Lefteris Papadopoulos, musique de Yannis Spanòs -
Interprétation de Haris Alexiou, 1974
Un éclair de nostalgie pour un éclair de vie dans l'obscurité de l'Occupation. Les petits du quartier jouent aux gendarmes et aux voleurs et leur chef est une fillette., Arghirò. Arghirò, raconta Lefteris Papadopoulos en 1983 dans son journal Ta Nea, était cireuse de chaussures, déguisée en garçon. Des années plus tard, revisitant les lieux anciens de ses anciens jeux, Papadopoulos entendit d'une ancienne amie d'enfance, Fotinì, la triste histoire d'Arghirò. Un matin, tandis qu'elle se rendait à l'endroit où elle travaillait, elle avait été renversée par une automobile des Allemands. Elle resta sérieusement blessée. Le conducteur, un soldat autrichien fut frappé par le fait que ce gamin athénien était,... (Continues)
Interprétation de Haris Alexiou, 1974
Un éclair de nostalgie pour un éclair de vie dans l'obscurité de l'Occupation. Les petits du quartier jouent aux gendarmes et aux voleurs et leur chef est une fillette., Arghirò. Arghirò, raconta Lefteris Papadopoulos en 1983 dans son journal Ta Nea, était cireuse de chaussures, déguisée en garçon. Des années plus tard, revisitant les lieux anciens de ses anciens jeux, Papadopoulos entendit d'une ancienne amie d'enfance, Fotinì, la triste histoire d'Arghirò. Un matin, tandis qu'elle se rendait à l'endroit où elle travaillait, elle avait été renversée par une automobile des Allemands. Elle resta sérieusement blessée. Le conducteur, un soldat autrichien fut frappé par le fait que ce gamin athénien était,... (Continues)
RUE ARISTOTELOUS
(Continues)
(Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2010/6/9 - 21:28
Gerard Duvall, tipografo
Version française – GÉRARD DUVAL, TYPOGRAPHE – Marco Valdo M.I. – 2010
Chanson italienne – Gerard Duval, tipografo – Bededeum – 2008
Ce morceau est inspiré d'un épisode du livre d'Erich Maria Remarque À l'Ouest rien de nouveau (Im Westen nichts Neues, 1929), dans lequel le protagoniste, le soldat allemand Paul Börner, durant la première guerre mondiale, sur la lancée d'un assaut, affronte et tue, dans un combat en corps à corps, un soldat français, sauté à l'improviste dans la tranchée où il cherchait lui aussi un abri. Il le tue comme ennemi, mais ensuite se retrouve à affronter la mort d'un de ses semblables, un gars comme lui, qui a une identité, des amours. Un prénom et un nom.
Il fouille le cadavre à la recherche d’un indice qui lui permette de découvrir son identité. Il ressent le poids de sa faute et le besoin d'expier. Il trouve un livret avec certains documents. ... »Je fais le... (Continues)
Chanson italienne – Gerard Duval, tipografo – Bededeum – 2008
Ce morceau est inspiré d'un épisode du livre d'Erich Maria Remarque À l'Ouest rien de nouveau (Im Westen nichts Neues, 1929), dans lequel le protagoniste, le soldat allemand Paul Börner, durant la première guerre mondiale, sur la lancée d'un assaut, affronte et tue, dans un combat en corps à corps, un soldat français, sauté à l'improviste dans la tranchée où il cherchait lui aussi un abri. Il le tue comme ennemi, mais ensuite se retrouve à affronter la mort d'un de ses semblables, un gars comme lui, qui a une identité, des amours. Un prénom et un nom.
Il fouille le cadavre à la recherche d’un indice qui lui permette de découvrir son identité. Il ressent le poids de sa faute et le besoin d'expier. Il trouve un livret avec certains documents. ... »Je fais le... (Continues)
GÉRARD DUVAL, TYPOGRAPHE
(Continues)
(Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2010/6/8 - 20:26
Οδός Αριστοτέλους
Testo di Lefteris Papadopoulos
Musica di Yannis Spanòs
Prima interpretazione di Haris Alexiou, 1974
Musica di Yannis Spanòs
Prima interpretazione di Haris Alexiou, 1974
VIA ARISTOTELE
(Continues)
(Continues)
Contributed by Gian Piero Testa 2010/6/8 - 15:50
La ninna nanna de la guerra
Interpretata da Gigi Proietti
Joe Fallisi ne dà una buona interpretazione, ma la sua dizione denota chiaramente che non è romano: ne perde la "violenza" più che giustificata di questa stupenda reprimenda della guerra e dei politici farabutti...
Vedete sul Tubo come la recita invece Gigi Proietti: per recitare Trilussa, purtroppo, bisogna esse romani!
Guido
Joe Fallisi ne dà una buona interpretazione, ma la sua dizione denota chiaramente che non è romano: ne perde la "violenza" più che giustificata di questa stupenda reprimenda della guerra e dei politici farabutti...
Vedete sul Tubo come la recita invece Gigi Proietti: per recitare Trilussa, purtroppo, bisogna esse romani!
Guido
Guido 2010/6/7 - 17:52
Il diciassette marzo
CANTATA PER SERGIO TRASTULLI
(Continues)
(Continues)
Contributed by adriana 2010/6/7 - 09:23
Risaie
Riccardo,
Ma version s'éloignait un peu de la « panissa » (ou paniccia ou panizza) pour des raisons d'ordre « poétique »... La rime, la rime.
Maintenant, je n'ignorais pas la panissa (que je ne confonds pas avec panichina...) dans ses diverses versions italiennes : risotto ou polentina, farinata, fainé... mais en plus, j'en connaissais les variantes françaises : et d'abord, la « panisse », qui aurait été la meilleure traduction et la première à laquelle j'ai songé...
Mais il y avait aussi socca (dite aussi:"stoufa-garri " – étouffe-rat ; étouffe-chrétien, ce qui ne saurait nous gêner nous autres qui non siamo cristiani, siamo somari...) , cade, calentita ou calentica...
J'avais même failli utiliser « galettes », ce qui est assez exact, mais la rime avec têtes était un peu limitée...
Finalement, j'avais opté pour l'impasse des panisses et pour un texte mieux balancé...
Je pense qu'il... (Continues)
Ma version s'éloignait un peu de la « panissa » (ou paniccia ou panizza) pour des raisons d'ordre « poétique »... La rime, la rime.
Maintenant, je n'ignorais pas la panissa (que je ne confonds pas avec panichina...) dans ses diverses versions italiennes : risotto ou polentina, farinata, fainé... mais en plus, j'en connaissais les variantes françaises : et d'abord, la « panisse », qui aurait été la meilleure traduction et la première à laquelle j'ai songé...
Mais il y avait aussi socca (dite aussi:"stoufa-garri " – étouffe-rat ; étouffe-chrétien, ce qui ne saurait nous gêner nous autres qui non siamo cristiani, siamo somari...) , cade, calentita ou calentica...
J'avais même failli utiliser « galettes », ce qui est assez exact, mais la rime avec têtes était un peu limitée...
Finalement, j'avais opté pour l'impasse des panisses et pour un texte mieux balancé...
Je pense qu'il... (Continues)
Marco Valdo M.I. 2010/6/6 - 23:02
×