d'après la version italienne d'une chanson sicilienne « Purtedda dâ Ginestra » – Taberna Mylaensis – 1981 (paroles d'Ignazio Buttitta et la musique originale de Otello Profazio.)
Une remarque à propos de ce massacre (1947) et de l'accusation lancée contre Giuliano et sa bande, accusés d'être les massacreurs de ce Premier Mai pacifique. Si de fait, Giuliano et sa bande furent présents sur la colline voisine et tirèrent sur la foule en fête... C'étaient avec leurs escopettes et ils tiraient en l'air pour mettre la pagaille... Pour intimider. Une enquête plus approfondie (sur base des autopsies, mais aussi de documents « déclassifiés » des services US...) démontra que ce ne sont pas les armes de la bande à Giuliano qui ont blessé et tué, mais bien des armes de guerre provenant directement de l'armée étazunienne, lesquelles étaient aux mains d'authentiques tueurs de la mafia sicilienne et... (Continues)
PORTELLA DELLE GINESTRE (Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2010/5/7 - 22:32
Version française – UN SIÈCLE D'HISTOIRE – Marco Valdo M.I. – 2010
à partir de la traduction italienne d'un poème : Un seculu di storia (1970) d'Ignazio Butttita (auteur de la chanson PORTELLA DELLE GINESTRE)
Ce poème raconte un siècle de massacres et d'assassinats en Sicile. Toujours les riches contre les pauvres, toujours cette foutue guerre de Cent Mille Ans.
UN SIÈCLE D'HISTOIRE
J'accuse les politiques
D'aujourd'hui et d'hier :
Crispi et compagnie,
Prédicateurs de la monarchie,
Croque-morts et menuisiers
Qui clouèrent vie la Sicile à la croix.
J'accuse les Savoies,
Les premiers et le dernier,
Roi et empereur,
Fasciste et Italien,
Couronné de médailles,
Arrachées avec le sang
Au cœur de nos mères.
Un siècle de guerres,
Un siècle de massacres :
Les os des Siciliens
Enterrés dans les déserts,
Dans la neige,
Dans la boue des fleuves;
Le sang des mineurs de soufre,
Des... (Continues)
Version française – LA PORTE DES GENÊTS (« ILS FONT LA GUERRE AUX PAUVRES ..! » ) – Marco Valdo M.I. – 2010 à partir de la version italienne du poème Purtedda dä Ginestra de Pietro Tamburello, dédié à Epifania Barbato, mère d'un assassiné dela Portella.
« Ils font la guerre aux pauvres jusqu'ici même ! » criait Epifania Barbato, penchée sur son fils criblé de coups, ce terrible Premier Mai 1947... En fait, cette pauvre mère infortunée avait déjà perdu un fils (l'aîné) à la guerre...
LA PORTE DES GENÊTS (« ILS FONT LA GUERRE AUX PAUVRES ..! » )
Ô mère vieille, il y avait tant de soleil
Ce matin de mai à la Portella !
Mais toi tu n'y étais pas allée. Dans ta maison
Tu conversais avec ton autre fils
Qui, parti à la guerre, n'en était pas revenu.
Tu demandais pourquoi il était mort et il te descendait
Sur la poitrine le silence solitaire
Des champs déserts où la guerre
On la fait... (Continues)
apparte la bella canzone, ma un grande testo, che fa accapponare la pelle..almeno a me ha dato questa senzazione..the boss...un'indiano moderno d'america..emi.
Un minuto fa ho sentito dire dal TG della Lombardia che oggi, a Varese, il Sindaco della città ha conferito al ministro degli Interni Roberto Maroni la Girometta d'Oro (?!) nel corso di una cerimonia dedicata alla sicurezza in occasione della festa del Patrono di Varese, san Vittore.
Dedicata alla mia streghetta che spero non dimentichi mai le nostre domeniche trascorse all'aria aperta a inseguire le farfalle...ma soprattutto spero che non dimentichi quanto è stata fortunata a differenza di tanti altri bambini.
Poiché è pur sempre una favola, nella traduzione ho cercato di utilizzare un linguaggio adatto e comprensibile ai bambini.
KADDISH PARA LOS NIÑOS SIN HIJOS
Existía una pequeña ciudad en el corazón de Europa. A esa ciudad llegaban muchos niños, algunos venían desde muy lejos, otros desde más cerca.
Cada uno tenía una valija llena de cosas importantes para ellos, juguetes, cuadernos, lápices de colores, pedacitos de tela, cordones, navajas, bolillas, algunas de ellas tenían adentro un arcoiris. También tenían libros con bellisimos cuentos, llenos de dibujos y letras bien grandes.
En esa ciudad el tiempo no pasaba,... (Continues)
Non è una canzone contro la guerra, nè tantomeno un inno al pacifismo, piuttosto un'anatema contro tutti gli pseudo intelletuali radical chic che decantavano le lodi dei cosidetti paesi rossi con il culo al sicuro nell'occidentalissima America. Da qui l'invito ad andare in Cambogia a vedere come funzionavano davvero le cose...