The Quiet Joys of Brotherhood
Tentativo di traduzione di Alessandro
LA GIOIA E LA PACE DELLA FRATELLANZA
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Contributed by Alessandro 2010/4/20 - 23:19
Days of Fire
Ciao Giorgio, il postaggio di mp3 quasi contemporaneamente ancora non mi era capitato...
Alessandro 2010/4/20 - 22:24
A Pair of Brown Eyes
UN PAIO DI OCCHI MARRONI
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Contributed by Valentina 2010/4/20 - 16:59
'Storia' per la morte di Lorenzo Panepinto
à partir de la version italienne d'une chanson sicilienne « Storia » per la morte di Lorenzo Panepinto – Rosa Balistreri – 1978
Lorenzo Panepinto (1865 – 1911) : un instituteur de l'école primaire de S. Stefano di Quisquinia (Agrigento), enseignant, socialiste et syndicaliste, il fut – pour tout cela – assassiné par la mafia le 16 mai 1911, devant chez lui, de deux coups de fusil. Il avait organisé les ouvriers agricoles en une Lega (Ligue) et obtenu la première gestion collective d'un ex « feudo » (grand domaine), éliminant ainsi l'exploitation parasite des « intermédiaires » (gérants...), c'est-à-dire des mafieux. Il est d'un grand intérêt sociologique de signaler que seule la prostituée du village alla jusqu'à affronter l'assassin pour le dévoiler et faire voir qui il était. Elle disparut également. Personne ne sait plus rien d'elle et son témoignage manqua au procès. La Lega et ses... (Continues)
Lorenzo Panepinto (1865 – 1911) : un instituteur de l'école primaire de S. Stefano di Quisquinia (Agrigento), enseignant, socialiste et syndicaliste, il fut – pour tout cela – assassiné par la mafia le 16 mai 1911, devant chez lui, de deux coups de fusil. Il avait organisé les ouvriers agricoles en une Lega (Ligue) et obtenu la première gestion collective d'un ex « feudo » (grand domaine), éliminant ainsi l'exploitation parasite des « intermédiaires » (gérants...), c'est-à-dire des mafieux. Il est d'un grand intérêt sociologique de signaler que seule la prostituée du village alla jusqu'à affronter l'assassin pour le dévoiler et faire voir qui il était. Elle disparut également. Personne ne sait plus rien d'elle et son témoignage manqua au procès. La Lega et ses... (Continues)
« HISTOIRE » DE LA MORT DE LORENZO PANEPINTO
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Contributed by Marco Valdo M.I. 2010/4/20 - 15:56
Sia maledetto chi ha trovato la spada
Marco Garatti, Matteo Dell'Aira e Matteo Pagani, i tre di Emergency appena liberati, hanno rifiutato il rientro in Italia a bordo di un aereo messo a disposizione dal governo italiano... il sottosegretario alla Difesa, tal Guido Crosetto, pare che si sia incazzato molto...
Alessandro 2010/4/19 - 11:58
Children Of Darkness
Credo che questa canzone debba essere attribuita a Richard Fariña che la scrisse e la interpretò nel 1965, insieme alla moglie Mimi Baez nell'album “Reflections in a Crystal Wind”... Quella della sorella Joan Baez è una cover...
Alessandro 2010/4/20 - 11:55
The Quiet Joys of Brotherhood
Cavoli, una canzone da brividi!
Chissà se ci sarà dato un giorno di provare la gioia e la pace della fraternità universale di cui si è persa memoria... Chissà se c'è mai stato, anche solo per un momento, quel tempo in cui l'amore era signore di tutto...
Chissà se ci sarà dato un giorno di provare la gioia e la pace della fraternità universale di cui si è persa memoria... Chissà se c'è mai stato, anche solo per un momento, quel tempo in cui l'amore era signore di tutto...
Alessandro 2010/4/20 - 11:39
Ο Ύμνος του ΕΛΑΣ
Una raccomandazione. Se leggendo un giornale greco di oggi si legge - e lo si legge sovente - ΕΛΑΣ, non bisogna cascarci: non si sta parlando dell 'Ε.Λ.Α.Σ. ( Ελληνικός Λαϊκός Απελευθερωτικός Στρατός, l' Esercito Popolare Greco di Liberazione) ma di ΕΛ.ΑΣ.(Ελληνική Αστυνομία, la Polizia Greca). Insomma, uno cerca nel web i liberatori, e si trova dei tali pronti a mettergli le manette...Bel risultato della fretta e della pigrizia dei giornalisti e, in genere, di chi tiene la penna in mano.
Gian Piero Testa 2010/4/20 - 00:14
Piazza di la Loggia
d'après la version italienne, de la chanson sicilienne : Piazza di la Loggia – Pino Veneziano – 1975
Juste un rappel de chose ancienne et non encore résolue : Le 28 mai 1974, à l'appel des syndicats et du Comité Antifasciste, une manifestation antifasciste se déroulait sur la place de la Loggia à Brescia (Italie). Soudain, une bombe explosa : il y eut huit morts et près d'une centaine de blessés. L'attentat fut revendiqué par Ordine Nuovo, un mouvement ouvertement néo-fasciste, sans doute aidé par les « services secrets ». Aucune des instructions n'a pu aboutir vraiment. La première condamnation fut annulée, puis cette annulation fut elle-même confirmée en Cassation en 1985. La seconde se conclut pareillement en 1989 : « faute de preuves ». La troisième est en cours... (pour rappel, on est en 2010).
Les morts eux sont bien morts (depuis 1974) – sans annulation, sans qu'il y ait besoin de preuves....
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
Les morts eux sont bien morts (depuis 1974) – sans annulation, sans qu'il y ait besoin de preuves....
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
PIAZZA DELLA LOGGIA – BRESCIA – ITALIE - 1974
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Contributed by Marco Valdo M.I. 2010/4/19 - 22:16
Ένας δόκιμος στη γέφυρα εν ώρα κινδύνου
UN MARINAIO SCELTO SUL PONTE NELL'ORA DEL PERICOLO
(Continues)
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Contributed by Gian Piero Testa 2010/4/19 - 10:03
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