Bonjour,

En tant qu'être humain nous pouvons beaucoup, mais pas tout. Nous ne pouvons pas toujours, et même avec la meilleure volonté et empathie du monde, se mettre à la place de l'autre et RESSENTIR ce qu'il ressent. On peut dans le meilleur des cas en avoir une certaine idée. "Je vois que tu as mal, je souffre avec toi, mais je ne peux ressentir exactement ce que tu ressens".
Après, tout est histoire de respect et d'empathie. Le ressenti de la personne en face compte, même s'il n'est pas le mien. Le vivre ensemble, c'est aussi respecter ce ressenti.

Je suis Noire et Antillaise, je ressens souvent le mot nègre comme une insulte, puisqu'il était employé à une époque où les miens étaient traités comme des bêtes de somme. Je comprends que quelqu'un avec une histoire différente de la mienne ne puisse pas le comprendre. Mais j'espère de mes concitoyens le respect de ce que je ressens.

D'ailleurs,... (continuer)

Traduzione adattata da una recensione tratta da :
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Con "Ghost Dance" Robertson ha raggiunto una stupenda visione panoramica - modellando un inebriante mix di “grooves “ del passato e strutture moderne, completato da una drammatica sovrapposizione della storia e della filosofia delle First Nations.

Come per i successi dell'era della Band come "The Night They Drove Old Dixie Down" e "Acadian Driftwood", la canzone di Robertson nasce e poi si sviluppa da un evento storico: un momento particolarmente raccapricciante nella riserva indiana di Lakota Pine Ridge nel dicembre del 1890, quando centinaia di nativi americani furono massacrati vicino a Wounded Knee Creek, e poi sepolti senza alcuna cerimonia in una fossa comune, evento oltremodo incomprensibile che scosse profondamente Robertson. 
La canzone inizia con l'immagine del bufalo che, come... (continuer)

Bedeschi stracensurato, con qualche ragione: fascistissimo e repubblichino, feroce combattente dei partigiani... certo non un pacifista né un vero democratico