Così nel volumetto “Eugène Bizeau et Gaston Couté, deux poètes paysans anarchistes à la fin du 19ème siècle”, a cura di Michel Di-Nocera:
“De très nombreuses chansons vont dénoncer la délégation de pouvoir, le suffrage universel, comme «Faut plus de gouvernement» de Charles BRUNEL (?), écrite vers 1885, en particulier contre Jules Ferry et son ministre de la guerre, le Général Boulanger. Jules Ferry qui tombera cette même année, remplacé par Sadi Carnot.”
Commento inserito da Bernart Bartleby (B.B.) il 14/5/2015 sulla pagina-doppione eliminata
Bernart Bartleby (14.5.2015) 12/3/2017 - 17:18
L'autore della canzone è stato individuato da Gaetano Manfredonia in tale François Brunel (non "Charles"), nell'articolo De l'usage de la chanson politique: la production anarchiste d'avant 1914, pubblicato sulla rivista Cités, 2004/3 (n° 19) - Éditeur PUF [Presses Universitaires de France]. La presente pagina aveva un doppione sin dal 2010 (originato dal fatto che il titolo era stato variato in [...faut plus de gouvernement], che è stato eliminato con inserimento nella presente pagina di un commento che vi era presente.
Beh, per puro caso spippolatorio mi sono accorto dell'articolo di Gaetano Manfredonia che ha...rimesso le cose a posto su questa canzone (ma perlomeno il cognome "Brunel" era già saltato fuori). Però, a questo punto, mi chiedo quanti doppioni nasconda ancora l'oceano che è diventato questo sito... questo resisteva da 7 anni. Intanto, grazie a BB e a Gaetano Manfredonia, si scopre che il "tale" François Brunel, come lo avevo chiamato, ha scritto una marea di canzoni...
Chanson italienne – La Fata – Edoardo Bennato – 1977
La mémoire de cet album d'Edoardo Bennato s’est peut-être perdue un peu, remontant à 1977 l’année « fatidique », où l’auteur-compositeur architecte napolitain revisitait à sa manière l’histoire de Pinocchio. Il eut un gros impact sur ceux qui alors, comme moi, se trouvaient dans leur prime adolescence : 14, 15, 16 ans. On voyait des groupes de gamines sur les autobus chanter presque à gorge déployée cette chanson sur la « Fée turquoise ».
Il se peut que le public de Bennato fut précisément celui-là, les très jeunes qui en raison de leur âge, ne faisaient pas partie intégrante du mouvement, même si beaucoup d’entre eux en étaient. Mais, ensuite, y a-t-il un sens à parler d’une « partie intégrante » ? D’une manière ou d’une autre tous y étaient dedans, tous autant qu’on était, nous y étions, vivant ces instants. Personne n’était et ne... (continuer)