"How Many Tears" è il brano che chiude il primo disco degli Helloween, "Walls of Jericho", pubblicato nel 1986. Il brano è opera del chitarrista Michael Weikath.
Il brano è una denuncia contro la guerra, le ingiustizie sociali, le oppressioni e il disequilibrio economico nel mondo. Il bridge e il ritornello contengono un invito a darsi tutti da fare per un mondo migliore, perché "non è troppo tardi".
Les Kurdes nous défendent tous
par Charb directeur de Charlie Hebdo 22/10/2014
«Je ne suis pas kurde, je ne connais pas un mot de kurde, je serais incapable de citer un nom d’auteur kurde. La culture kurde
m’est totalement étrangère. Ah, si ! il m’est arrivé de manger kurde… Passons. Aujourd’hui, je suis kurde. Je pense kurde, je parle kurde, je
chante kurde, je pleure kurde. Les Kurdes assiégés en Syrie ne sont pas des Kurdes, ils sont l’humanité qui résiste aux ténèbres. Ils défendent leur vie, leur famille, leur pays, mais qu’ils le veuillent ou non, ils représentent le seul rempart contre l’avancée de l’“État islamique”. Ils nous défendent tous, non pas contre un islam fantasmé que ne représentent pas les terroristes de Daech, mais contre le
gangstérisme le plus barbare. Comment la prétendue coalition contre les égorgeurs serait-elle crédible, alors que, pour des
raisons différentes,... (continuer)
29/1/2015 - 20:04
Qualche indicazione su questa canzone in preparazione di una traduzione completa:
a) Le lingue sono tre: curdo, turco e arabo.
b) La traduzione indicata nell'introduzione si riferisce esclusivamente all'ultima strofa in lingua turca.
c) Dal testo è stata eliminata la dicitura "sözler" che, in turco, significa semplicemente "parole, testo".
d) Nel testo, le prime due strofe sono in lingua curda, la terza è in turco, la quarta in arabo e la quinta e ultima (quella tradotta) è di nuovo in turco.
Chanson italienne – La ragazza di Kobanê – David Riondino – Novembre 2014
Voici, Lucien l'âne mon ami, une chanson qu'on dira d'actualité… Elle se situe dans la ville de Kobané, qui se situe là-bas aux confins de la Turquie et de la Syrie, dans une région kurde. Une ville martyr, prise dans les tourbillons des délires de religieux assassins et de nationalistes ahuris. Une bande immense de crétins, bourrés de paroles prophétiques. Bref, tout droit sortis d'Absurdie. Là aussi, la sentence de Jeanson s'applique et on a entendu jusqu'ici les Kurdes crier : « Au secours ! Les cons nous cernent ! ». Des tueurs aussi sanglants et aussi stupides que les Croisés lors de la prise de Jérusalem en 1099. J'ai dit d'actualité, car après des mois de résistance, les Kurdes viennent de chasser ces imbéciles et commencent à dégager la ville, du moins ce qu'il en reste, car tout semble détruit, de l'encerclement.... (continuer)
"Eagle fly free" è la traccia che apre (dopo l'intro "Invitation") il terzo album degli Helloween, "Keeper of the Seven Keys - part II". Il brano è opera del chitarrista Michael Weikath.
Pubblicato nel 1988, il brano contiene riferimenti alla situazione politica dell'epoca, alle rivoluzioni che fermentavano nel mondo, allo sviluppo di armi atomiche, alla Guerra Fredda, all'inquinamento portato dalle industrie; tuttavia ha anche un fortissimo messaggio positivo nel suo ritornello, che metaforizza la speranza per un futuro migliore nella forte aquila del titolo, la quale vola incurante di ciò che accade nel mondo.