Una precisazione. Coffin ships, navi-bara, erano chiamate le navi che portavano emigrati irlandesi negli Stati Uniti ai tempi della great famine del 1848.
La distruzione dei raccolti di patate provocata dalla dorifora e la conseguente carestia furono affrontate da Sua Maestà Britannica con la politica del laissez faire.
Detto altrimenti, che gli irlandesi si arrangiassero; bastava che non sottraessero né un secchio di interiora né una libbra di grano dalla produzione destinata all'Inghilterra.
Grazie Luca. Io direi che la traduzione andrebbe rifatta completamente. Non che ci siano grandi errori (a proposito la union card credo proprio che sia la tessera del sindacato, non il libretto di lavoro!), ma non è un granché, ecco... ti offri volontario dato il nickname ? ;). Comunque intanto eccone un'altra un po' migliorata.
La prima Internazionale in Klingon, la mitica Daw'bom, è presente in questa pagina fin dalla sua preistoria; poi ne è venuta un'altra. Ma, evidentemente, non c'è due senza tre ed ecco, stavolta, la versione in Klingon della prima strofa e del ritornello della versione inglese. E' opera di SkyMan in una pagina intitolata, opportunamente, Interstellar Solidarity. E il canto di Pottier e Degeyter supera le barriere del tempo e dello spazio... [RV]
Chanson tialienne – Un'altra storia - Guacamaya – 2012
« Une AUTRE HISTOIRE » est une véritable perle à l'intérieur d'un album dur et puissant dans le son et dans les textes : « Une AUTRE HISTOIRE » est une ballade, une pause de réflexion, dans laquelle les voix et les guitares se mêlent à la perfection pour parler d'un sujet cher au groupe et son public : la Résistance Partisane. Les Guacamaya parlent d'un phénomène considéré jamais fini au nom soit du sacrifice des Partisans pendant la guerre que des actuels événements qui voient toujours exacerbés les instincts racistes, xénophobes et fascistes de l'actuelle société italienne et européenne.
Il s'agit d'un album sincère, qui tient la route et qui offre avec humilité à l'auditeur un voyage dans un monde d'idéaux et des rêves qui semblent à présent disparaître dans la vacuité de la réalité d'aujourd'hui, envahie par la société de consommation, de l'indifférence et du n'importe quoi.
La versione bielorussa è qui traslitterata non secondo gli standard usuali nel nostro sito per l'alfabeto cirillico, bensì nella cosiddetta Łacinka, vale a dire l'alfabeto bielorusso latino ufficiale che viene talvolta ancora usato, specialmente nella diaspora. Sull'alfabeto latino bielorusso (basato in gran parte su quello polacco) e sulla sua forma attuale si veda l'articolo di en:wikipedia.
The Belarusian version of the Internationale is not given here according to site standards, but in the so-called Łacinka, the Belarusian Latin alphabet which is still used, especially in the diaspora. On the Belarusian Latin alphabet (mostly based on the Polish spelling), see the relevant en:wikipedia article.
Una canzone di Aristide Bruant che credo non possa essere sfuggita a De André per la sua Marinella…
ROSE BLANCHE (RUE SAINT-VINCENT)
[1910 o 1911]
Parole e musica di Aristide Bruant, che visse al n.30 di Rue Saint-Vincent, Clignancourt-Montmartre.
Interpretata da moltissimi artisti tra cui Les Frères Jacques, Yves Montand, Cora Vaucaire, Marc Ogeret, Francesca Solleville e Renaud.
Alle avait, sous sa toque d’ martre,
Sur la butt’ Montmartre,
Un p’tit air innocent ;
On l’app’lait Rose, alle était belle,
A sentait bon la fleur nouvelle,
Ru’ Saint-Vincent.
All’ n’avait pas connu son père,
A n’avait pas d’mère,
Et depuis mil neuf cent,
A d’meurait chez sa vieille aïeule
Où qu’a s’él’vait, comm’ ça, tout’ seule,
Ru’ Saint-Vincent.
A travaillait, déjà, pour vivre,
Et les soirs de givre,
Sous l’ froid noir et glaçant,
Son... (continuer)
Dead End 4/1/2013 - 10:23
"Rose blanche" fu scritta da Bruant non nel 1910 o 11 ma sicuramente prima del 1895, anno di pubblicazione del terzo volume della raccolta "Dans la rue - Chansons & monologues" in cui è inclusa.
[1889?]
Monologo di Aristide Bruant.
Dalla raccolta “Dans la rue - Chansons & monologues”, volume primo, 1889.
“… Mi sono messo in sciopero per rispetto al mio corpo… Tutte le mattine apro il giornale e leggo di qualcuno che si è sfracellato sul lavoro… Si alzano al mattino, partono per il lavoro e la sera sono ridotti a marmellata… Invece di discutere tanto sulle condizioni di lavoro nelle miniere e nelle fabbriche, penso che sia meglio inventare dei lavori dove nessuno ci crepi… Fino a quel momento – vi ho avvertito – io a lavorare non ci vado, me ne resto in sciopero per rispetto al mio corpo…”
Parigo, quoi !... des Batigneule',
Toujours prêt à coller un paing,
Mais j' comprends pas qu'on s' cass' la gueule
Pour gagner d' quoi s'y fout' du pain.
El' travail... c'est ça qui nous crève,
Mêm' les ceux qu'est les mieux bâtis,
V'là porquoi que j' m'ai... (continuer)
Désolé, dit Lucien l'âne, je crois vraiment que les baladins sont tous simplement ce qu'on appelle aujourd'hi des "artistes de rue" et qu'on appelait généralement, des jongleurs, des saltimbanques et même, des comédiens.
Voir la chanson de Gilbert Bécaud Les Baladins.
La Ballade des Baladins – Gilbert Bécaud - 1953
Paroles: Louis Amade. Musique: 1953
Les baladins qui serpentent les routes
Viennent de loin parmi les champs de blé
Les bonnes gens regardent et les écoutent
Et les étoiles leur parlent de danser
Les vieux châteaux dressés du fond du Moyen Age
Semblent guider leurs pas légers comme un matin
Et parmi les donjons perchés dans les nuages
Des princesses leur font des signes avec les mains
Mais les gars de vingt ans qui ressemblent à des dieux
Insouciants et joyeux parmi leurs rondes folles
Passent sous les donjons sans dire une parole
Ils ne regardent pas les bras... (continuer)
Chanson de Gaston Couté – 1899 – en beauceron ou en orléanais, comme on voudra... Ce n'était pas du français d'Île de France, ni du patois, d'ailleurs.
Couté parlait et écrivait du Couté, comme on parlait chez lui, comme parlaient les gens de chez lui du côté de Meung. Mais le français commun évolue - tout comme les autres français parlés et écrits par les gens de langue française (en Europe, en Afrique, en Amérique, en Asie, en Océanie... et je ne sais où encore). J'ai donc établi une version en français d'aujourd'hui, tel qu'il est connu ici en Wallonie...
Marco Valdo M.I.
Putain, les villes sont déjà couvertes de sales gueules ! (Les élections arrivent !)
La distruzione dei raccolti di patate provocata dalla dorifora e la conseguente carestia furono affrontate da Sua Maestà Britannica con la politica del laissez faire.
Detto altrimenti, che gli irlandesi si arrangiassero; bastava che non sottraessero né un secchio di interiora né una libbra di grano dalla produzione destinata all'Inghilterra.