CORDIALI SALUTI e SOTTOSOPRA sont deux chansons présentes dans le spectacle que Gianmaria a monté avec l'acteur Giuseppe Battiston, “18 mila giorni – Il pitone”, mais ici, elles apparaissent sous une tout autre manière musicale. SALUTATIONS CORDIALES, une lettre de licenciement sordide et mielleuse...
Du Site officiel - Dal sito ufficiale
Bravo à ce Testa qui n'est pas moi, malheureusement. De mon côté, une lettre comme celle-là, on l'appelle « menavia » (lettre de renvoi, lettre de remerciement, billet de sortie... et plus cynique : faire-part). Et on ne sait jamais s'il vaut mieux recevoir le coup de pied avec une délicatesse onctueuse ou plus virilement et sans dentelles à l'endroit où il est destiné.
(Gian Piero Testa)
Impossible de commencer à parler de Merle Travis sans citer, au moins, "Sixteen Tons", chanson emblématique et parfaitement représentative de son génie et de ses racines.
La forme d'esclavage que constituait la technique des sociétés minières, sous une apparence de pratique sociale, de s'attacher les travailleurs en leur fournissant à crédit le minimum vital, de sorte que leur dette augmentait peu à peu et qu'il ne pouvaient la rembourser qu'en prolongeant toujours plus leur contrat aux conditions imposées par l'employeur, reçoit un nouvel éclairage aujourd'hui :
Dans les pays pauvres (ou"en voie de développement, comme on dit pudiquement"), cette pratique est encore courante et enchaîne littéralement les personnes les plus démunies à leur employeur, tandis que, dans les pays riches, la pratique du crédit facile a précipité des millions de famille dans la pauvreté, et menace maintenant le fragile équilibre mondial.
Si la chanson Sixteen Tons est une chanson étazunienne, de Merle Travis (1947), elle fut adaptée en français par Jacques Larue et reprise par une série d'interprètes, dont Jean Bertola – jeune à l'époque. On relève des versions d'Armand Mestral, des Quatres de Paris, John William...
Juste un mot pour dire le succès de cette chanson à l'époque où le charbon était l'énergie première et où l'Europe était peuplée de millions de mineurs... et certaines régions couvertes de chevalets, de terrils et de charbonnages. Tout cela presque disparu, à présent. Le mineur, dans nos régions, n'est plus fort présent...
Salve. Segnalo che sul retro della versione cd di Σάλπισμα (che non ho "fisicamente" ma ne posseggo un'immagine) ho appena letto che la musica appartiene sì a Λουκάς Θάνος, ma il testo è di un certo Δ.Θάνου. A presto :)
Chanson italienne – Tutti anno un cuore – Francesco De Gregori – 1996
« Tous ont un cœur » fait surgir de sinistres éclairs d'inquiétude juvénile... « Dans la première partie, on parle de gêne sociale. La seconde par contre est inspirée d'un voyage au Chili avec des amis chiliens qui pour la première fois rentraient au pays après la chute de la dictature de Pinochet. J'arrivai à Santiago aux premières heures de l'aube. De l'avion s'écoula un flot de personnes qui se dirigeait avec des charrettes et des caisses vers une décharge de détritus pour chercher quelque chose à vendre ou à manger. C'est le thème de la démocratie manquée. En somme, les Chiliens libres d'aller leur chemin, de dire ce qu'ils ont envie, mais pas encore libres ? La démocratie en fait peu manquer soit de la faute de colonels, soit car on empêche les jeunes de grandir et d'étudier. Et alors, ce n'est pas seulement un problème du tiers-Monde. »
Nel 1962, Roger Corman dirige il film Tales of Terror (Racconti del Terrore), formato da tre episodi basati su racconti di Edgar Allan Poe: Morella, Il gatto nero e La verità sul caso del sig. Valdemar. Nel film, tutti e tre gli episodi sono introdotti da uno dei "mostri sacri" della cinematografia del terrore, Vincent Price, che ugualmente vi recita assieme a Peter Lorre e a Basil Rathbone (forse il più noto Sherlock Holmes del cinema di tutti i tempi, ma che svariò dai personaggi shakespeariani a Robin Hood e persino a Zorro).
Il secondo episodio, Il gatto nero, è in realtà una "contaminazione" tra due racconti di Poe: lo stesso The black cat e The cask of Amontillado (in italiano: Un barile di amontillado). Qualche appassionato di fumetti si ricorderà forse di quest'ultimo per la resa che ne venne fatta dallo Uncle Creepy (in italiano: Zio Tibia)... (continuer)
mia nonna, nella versione toscana, aggiungeva altre strofe, con riferimento alla Regina:
"la moglie di Gambine la gli fa le corna
l'ha un sacco di figlioli, son tutti di Cadorna"
"la moglie di Gambine non sa come si fare
l'ha un sacco di figlioli, son tutti del generale"
Bellissima la contrapposizione tra la dolce ed innocua follia che scaturisce dal vizio che "affligge" Anacreonte e tutto il sangue ed il dolore che invece accompagnano le azioni furiose e violente dei possenti eroi della mitologia greca, disdegnati dal Anacreonte e descritti come pazzi invasati grondanti del sangue dei loro stessi amici, madri, compagne...
SUL PROPRIO DELIRIO (continuer)
envoyé par Bartleby 8/2/2012 - 09:10
Note:
(1) Alcmeone ed Oreste, personaggi della mitologia greca, uccisero le proprie madri, Erifile e Clitennestra, ed impazzirono, perseguitati dalle Erinni, le personificazioni femminili della vendetta.
(2) Eracle (Ercole) fu perseguitato per molto tempo dalla maledizione di Era, e più volte fece cose atroci in preda alla furia, come quando uccise l’amata moglie Megara o l’amico Ifito, figlio del suo maestro d’arco Eurito.
(3) Si riferisce ai diversi cruenti scontri tra l’acheo Aiace ed il troiano Ettore.
Credo che l'espressione "fouler aux pieds" abbia un significato diverso che "calpestare"... Penso che sia meglio tradurla con "non c'è nulla che mi turbi", nel senso che non c'è nulla che indurrebbe Anacreonte ad arrabbiarsi e a combattere una volta che è tra le braccia di Bacco...
Bella scelta, Bartleby. Nei titoli, però, vanno messi accenti e spiriti, trattandosi di lingua greca antica. Se RV volesse provvedere agli σκουλίκια, cioè ai vermetti, come si chiamano nel gergo studentesco greco, potrebbe approfittare per sistemare anche il titolo di una canzone inviata tempo fa da me: l'Arkadia di Theodorakis su testi di Kalvos, dove Ωδαί esibisce un accento mal collocato.
In realtà questa canzone è originariamente di Jimmy Webb (del 1977), solo nel 1984 ne è stata incisa la versione più famosa degli Highwaymen (Johnny Cash, Willie Nelson, Kris Kristofferson e Waylon Jennings).