Yellow Triangle
La versione svedese della poesia
(da sv.wikipedia)
I TYSKLAND HÄMTADE DE FÖRST KOMMUNISTERNA
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envoyé par Riccardo Venturi 29/6/2008 - 15:49
Il Futuro del Mondo
Ce n'est pas vraiment une chanson contre la guerre, mais contre les causes de nombreuses guerres, qui trop souvent sont seulement les causes déployées pour soutenir la « nécessité » de la guerre.
Si la « nécessité »s'effondrait, disparaitrait son support et comment justifieraient-ils la guerre ?
Réponse de Marco Valdo M.I. : la guerre n'a pas besoin de justification. Elle est impérieuse; elle s'impose, c'est tout. Aucun raisonnement au monde n'a jamais pu empêcher la connerie d'apparaître et de se développer.
Je conçois bien qu'une telle réponse est assez décourageante, mais comment limiter la connerie ? On raconte qu'Einstein en réponse à une question à propos de l'expansion de l'univers avait dit :
« Il y a deux choses en expansion continue : l'univers et la connerie. Encore que pour l'univers, je n'ai pas de certitude. »
Si la « nécessité »s'effondrait, disparaitrait son support et comment justifieraient-ils la guerre ?
Réponse de Marco Valdo M.I. : la guerre n'a pas besoin de justification. Elle est impérieuse; elle s'impose, c'est tout. Aucun raisonnement au monde n'a jamais pu empêcher la connerie d'apparaître et de se développer.
Je conçois bien qu'une telle réponse est assez décourageante, mais comment limiter la connerie ? On raconte qu'Einstein en réponse à une question à propos de l'expansion de l'univers avait dit :
« Il y a deux choses en expansion continue : l'univers et la connerie. Encore que pour l'univers, je n'ai pas de certitude. »
LE FUTUR DU MONDE
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envoyé par Marco Valdo M.I. 29/6/2008 - 21:58
Il Sergente nella Neve
À ce moment, nous n'étions pas ennemis... On songe à ce Noël de 1916, mais était-ce 1916 ? Entre deux tranchées, entre deux tueries. On devrait plus souvent manger ensemble...
Quarante hommes, huit chevaux : c'était la contenance d'un wagon pour les régiments de cavalerie, du temps où on se battait encore à cheval; une norme internationale. Alexandre Vialatte le répète assez. Il en a fait une sentence. Quarante hommes, huit chevaux.
Quarante hommes, huit chevaux : c'était la contenance d'un wagon pour les régiments de cavalerie, du temps où on se battait encore à cheval; une norme internationale. Alexandre Vialatte le répète assez. Il en a fait une sentence. Quarante hommes, huit chevaux.
LE SERGENT DANS LA NEIGE
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envoyé par Marco Valdo M.I. 29/6/2008 - 18:01
La pianura dei sette fratelli
THE PLAIN AND SEVEN BROTHERS
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envoyé par matteo88 29/6/2008 - 00:51
Rossana
Un texte superbe. Une conclusion des plus saines; digne de Vian. Déserte !
Chanson italienne – Rossana – Mercanti di liquore e Marco Paolini – 2008.
Chanson italienne – Rossana – Mercanti di liquore e Marco Paolini – 2008.
ROSSANA
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envoyé par Marco Valdo M.I. 28/6/2008 - 21:12
La ninna nanna de la guerra
Ora esiste anche una bellissima versione eseguita da Piero Brega (ex Canzoniere del Lazio) nel disco del 2007 di Sara Modigliani "Ma che razza de città" (i dischi del manifesto).
Luigi Piccioni 28/6/2008 - 18:21
L'uomo che non dorme mai
De l'album « Qu'as-tu à faire d'un titre ? » (2005)
« L'homme qui ne dort jamais est un éloge de la sensibilité. Je pense qu'il y a des différences, parfois je me demande si l'être humain est d'un seul ou de différents – ne disons pas races qui est malvenu; cependant, il y a différents modèles totalement différents. Il y a des personnes qui détruisent tellement de choses en une seconde et qui n'ont pourtant pas le moindre problème; il y a des personnes qui passent leur vie pour sauver un petit bout de quelque chose et qui souffrent atrocement pour tout ce qui ne va pas. Je fais un effort pour les considérer comme des parties appartenant à la même espèce. Et dès lors, oui, je la définirais comme un éloge à la sensibilité, qui est peut-être ce qui nous sauve. »
Entrevue de Lorenzo Monguzzi des Mercanti di Liquore, dans Bielle.
« L'homme qui ne dort jamais est un éloge de la sensibilité. Je pense qu'il y a des différences, parfois je me demande si l'être humain est d'un seul ou de différents – ne disons pas races qui est malvenu; cependant, il y a différents modèles totalement différents. Il y a des personnes qui détruisent tellement de choses en une seconde et qui n'ont pourtant pas le moindre problème; il y a des personnes qui passent leur vie pour sauver un petit bout de quelque chose et qui souffrent atrocement pour tout ce qui ne va pas. Je fais un effort pour les considérer comme des parties appartenant à la même espèce. Et dès lors, oui, je la définirais comme un éloge à la sensibilité, qui est peut-être ce qui nous sauve. »
Entrevue de Lorenzo Monguzzi des Mercanti di Liquore, dans Bielle.
L'HOMME QUI NE DORT JAMAIS
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envoyé par Marco Valdo M.I. 28/6/2008 - 16:41
Zu atrapatu arte
FINO A CHE NON ACCHIAPPANO ANCHE TE
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envoyé par Luca 'The River' 28/6/2008 - 06:38
Chansons de La bande à Bonnot: 06. La java des chaussettes à clous
27 giugno 2008
LA GIAVA DEGLI SCARPONI CHIODATI
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27/6/2008 - 20:15
Chansons de La bande à Bonnot: 02. Les joyeux bouchers
Da segnalare la versione italiana dell'intera commedia musicale di Henry-François Rey, con canzoni di Boris Vian, opera di Giangilberto Monti:
Giangilberto Monti
"LA BELLE EPOQUE DELLA BANDA BONNOT"
storia del bandito anarchico Jules Bonnot su canzoni originali di Boris Vian.
Roberto Carlotti, fisarmonica - Renata Mezenov Sa, voce e chitarra - Marco Mistrangelo, contrabbasso - Caroline Tallone, ghironda, violino, organetto diatonico.
Jules Bonnot, operaio, anarchico e poi bandito, viene braccato per anni dalla polizia in piena Belle Epoque e diventa suo malgrado un eroe popolare: la sua cattura avviene di fronte a cinquecento soldati e ventimila parigini, nell'aprile del 1912. Henry-François Rey nel 1954 trasforma questa storia in una commedia musicale e ne affida le canzoni all'eclettico artista francese Boris Vian. Dopo lo spettacolo gli spartiti originali si perdono e l'opera viene... (continuer)
Giangilberto Monti
"LA BELLE EPOQUE DELLA BANDA BONNOT"
storia del bandito anarchico Jules Bonnot su canzoni originali di Boris Vian.
Roberto Carlotti, fisarmonica - Renata Mezenov Sa, voce e chitarra - Marco Mistrangelo, contrabbasso - Caroline Tallone, ghironda, violino, organetto diatonico.
Jules Bonnot, operaio, anarchico e poi bandito, viene braccato per anni dalla polizia in piena Belle Epoque e diventa suo malgrado un eroe popolare: la sua cattura avviene di fronte a cinquecento soldati e ventimila parigini, nell'aprile del 1912. Henry-François Rey nel 1954 trasforma questa storia in una commedia musicale e ne affida le canzoni all'eclettico artista francese Boris Vian. Dopo lo spettacolo gli spartiti originali si perdono e l'opera viene... (continuer)
Riccardo Venturi 27/6/2008 - 14:53
99 Luftballons
Non ho capito perchè si ostinano a dire che la canzone è brutta......ignoranti se non vi piace in tedesco ascoltatela in italiano.....questa è una canzone solo per persone pure....gli anni ottanta sono favolosi.....non ne capite niente....noi ci accontentavamo anche di una piccola macchina per uscire oppure il gettone per telefonate....viva gli anni 80 e tutte le canzoni nate per fare del bene.....ciao nena......
A U F I D E R S E N
A U F I D E R S E N
MONICA 27/6/2008 - 14:11
Zangra
(da un po' di tempo non avevo più tradotto una di queste canzoni). un saluto da Nizza.
ZANGRA
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envoyé par Daniel Bellucci 27/6/2008 - 12:39
Le déserteur
FINLANDESE / FINNISH / FINNOIS [2] - Tuula Saarikoski / Kaisa Korhonen
Seison torilla, la versione artistica de Le déserteur in lingua finlandese, è opera della poetessa Tuula Saarikoski ed è stata interpretata nel 1970 dall'attrice teatrale e cantante Kaisa Korhonen e nel 1979 da Liisa Tavi (e incisa nel suo album Liisa Tavi). Il testo completo della canzone ci è stato inviato da Juha Rämö nel marzo 2015 (grazie! / Kiitos!).
Seison torilla, the artistic version of Le déserteur in Finnish, was written by the poet Tuula Saarikoski and performed 1970 by the actress and singer Kaisa Korhonen and 1979 by Liisa Tavi (and recorded in her album Liisa Tavi). The complete lyrics of the song were contributed by Juha Rämö in March 2015 (Thanks! Kiitos!) [CCG/AWS Staff]
Seison torilla, la versione artistica de Le déserteur in lingua finlandese, è opera della poetessa Tuula Saarikoski ed è stata interpretata nel 1970 dall'attrice teatrale e cantante Kaisa Korhonen e nel 1979 da Liisa Tavi (e incisa nel suo album Liisa Tavi). Il testo completo della canzone ci è stato inviato da Juha Rämö nel marzo 2015 (grazie! / Kiitos!).
Seison torilla, the artistic version of Le déserteur in Finnish, was written by the poet Tuula Saarikoski and performed 1970 by the actress and singer Kaisa Korhonen and 1979 by Liisa Tavi (and recorded in her album Liisa Tavi). The complete lyrics of the song were contributed by Juha Rämö in March 2015 (Thanks! Kiitos!) [CCG/AWS Staff]
SEISON TORILLA
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envoyé par Riccardo Venturi / Juha Rämö 27/6/2008 - 12:04
He Is Coming To Us Dead, or The Express Office
anonyme
26 giugno 2008
RITORNA A CASA MORTO, o L'UFFICIO POSTALE
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26/6/2008 - 23:14
A Change Is Gonna Come
Splendida canzone, ne ha fatto una cover anche Gavin DeGraw nel suo lavoro acustico Chariot Stripped. Un musicista giovane ma molto valido. Voce eccezionale.
Danilo 26/6/2008 - 17:21
Aida
Ora, d'accordo la "rinogaetanite" super-postuma di questi ultimi tempi, d'accordo l'autentica grandezza di Rino Gaetano, d'accordo tutto quanto; ma, sinceramente, mi fa un po' specie vedere dei commenti come quello di Aldo. La vita che non ha più senso? Verrò a trovarti presto? E che è, porca paletta, una dichiarazione di suicidio in diretta sulle CCG? Ehi, Aldo, take it easy! Ti vorrei fare presente che Rino Gaetano è morto a poco più di trent'anni, ma chissà quanti cazzo di anni avrebbe voluto vivere ancora se non ci fosse stata quella maledetta notte del 2 giugno 1981; e che, ne sono certo, se Rino potesse vedere quel che hai scritto ti tirerebbe un papagno di quelli da farti rotolare come una bombola di gas vuota lasciata sulla discesa del Gavia. Tienilo presente e torna a trovarci con un po' più di ottimismo, Aldo! Saluti! [RV]
Riccardo Venturi 25/6/2008 - 19:53
Knockin' On Heaven's Door
da/from lirama.net
KOPUTAN TAIVAAN OVEEN
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envoyé par Riccardo Venturi 25/6/2008 - 19:42
Blowin' in the Wind
FINLANDESE / FINNISH [3]
Versione finlandese da lirama.net. Si tratta di una versione letterale.
Finnish version from lirama.net. It is a word-for-word translation.
Finnish version from lirama.net. It is a word-for-word translation.
TUULENPUUSKA
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envoyé par Riccardo Venturi 25/6/2008 - 19:33
Re Federico
Version française de Marco Valdo M.I..
C'est une chanson sur le Roi Frédéric Ier de Prusse qui fut un grand roi militariste. Il créa la Prusse moderne et fit de l'armée prussienne une des plus puissantes de son temps. En somme, il est à l'origine des grandes catastrophes du siècle dernier. La chanson est un joyau d'ironie. Dans cette chanson, en tout cas, les Mercanti di Liquore sont des oiseaux persifleurs.
Originaires de Monza, les Mercanti forment un trio depuis le milieu des années 90. Depuis quelques années, ils travaillent aussi avec Marco Paolini. Tout en revendiquant nettement un attachement à Fabrizio De Andrè, ils évoluent maintenant dans un univers musical très contemporain, qui se fonde sur leur formation classique tout en intégrant rock, folk... et la dimension théâtrale.
C'est une chanson sur le Roi Frédéric Ier de Prusse qui fut un grand roi militariste. Il créa la Prusse moderne et fit de l'armée prussienne une des plus puissantes de son temps. En somme, il est à l'origine des grandes catastrophes du siècle dernier. La chanson est un joyau d'ironie. Dans cette chanson, en tout cas, les Mercanti di Liquore sont des oiseaux persifleurs.
Originaires de Monza, les Mercanti forment un trio depuis le milieu des années 90. Depuis quelques années, ils travaillent aussi avec Marco Paolini. Tout en revendiquant nettement un attachement à Fabrizio De Andrè, ils évoluent maintenant dans un univers musical très contemporain, qui se fonde sur leur formation classique tout en intégrant rock, folk... et la dimension théâtrale.
LE ROI FRÉDÉRIC
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envoyé par Marco Valdo M.I. 25/6/2008 - 18:15
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