Le vent transportait les cris des mourants
L’aurore éclairait le sol tout sanglant
Dans l’odeur putride des chairs calcinés
En volutes épaisses jusqu’au ciel
Sous l’oeil indifférent de l’éternel
La même violence
La même puissance
Les faisait hurler
Devant les corps brisés
Faces à leurs carnages
Ces bêtes sauvages
Trouvaient ça excitant
Sur les blessés crachant
Dans le ciel les charognes tournoyaient
Impatientes de pouvoir festoyer
Sur les chairs vives fondaient, fouillaient
De leurs becs, des lambeaux engloutissaient
Aujourd’hui encore
N’a changé le décor
La même violence
Aux cris de vengeance
Des hommes en fureur
Qui perpétuent l’horreur
De l’orient aux confins d’Afrique
En passant par l’occident, l’Amérique
Sans cesse les mêmes cris hystériques
Sous l’œil indifférent des politiques
Les soldats en tyrans de ville en ville
Assassinent, violent nos mères nos filles
Devant leurs enfants leurs maris leurs pères
A leurs tours torturés. Rouge la terre
Les charognes attendent leurs festins
Font ripailles des tripes des intestins
Sous leurs serres les corps convulsionnés
Dans leurs chairs vives ces becs acérés
Hier, aujourd’hui, demain
C’est une histoire sans fin
Plus encore aujourd’hui
Sans réelle raison
La haine seule passion
Le racisme à l’infini
Fertilise la terre
La Paix. Est dans la guerre
L’aurore éclairait le sol tout sanglant
Dans l’odeur putride des chairs calcinés
En volutes épaisses jusqu’au ciel
Sous l’oeil indifférent de l’éternel
La même violence
La même puissance
Les faisait hurler
Devant les corps brisés
Faces à leurs carnages
Ces bêtes sauvages
Trouvaient ça excitant
Sur les blessés crachant
Dans le ciel les charognes tournoyaient
Impatientes de pouvoir festoyer
Sur les chairs vives fondaient, fouillaient
De leurs becs, des lambeaux engloutissaient
Aujourd’hui encore
N’a changé le décor
La même violence
Aux cris de vengeance
Des hommes en fureur
Qui perpétuent l’horreur
De l’orient aux confins d’Afrique
En passant par l’occident, l’Amérique
Sans cesse les mêmes cris hystériques
Sous l’œil indifférent des politiques
Les soldats en tyrans de ville en ville
Assassinent, violent nos mères nos filles
Devant leurs enfants leurs maris leurs pères
A leurs tours torturés. Rouge la terre
Les charognes attendent leurs festins
Font ripailles des tripes des intestins
Sous leurs serres les corps convulsionnés
Dans leurs chairs vives ces becs acérés
Hier, aujourd’hui, demain
C’est une histoire sans fin
Plus encore aujourd’hui
Sans réelle raison
La haine seule passion
Le racisme à l’infini
Fertilise la terre
La Paix. Est dans la guerre
envoyé par Alessandro - 21/5/2009 - 11:29
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