La guerre va chanter ses hymnes de colère
Moi je ne chanterai, ni tout haut, ni tout bas
Les mots d’amour, ici, sont de haine là-bas
« J’attendrai ton retour » et même « Il pleut bergère »
Repris par mille voix sont des chants de combat (bis)
La guerre va jeter ses éclairs à la ronde
Vers qui vais-je tirer ?
J’ai perdu le chemin
Où est-il l’ennemi ?
À qui est cette main ?
Le tonnerre a couvert nos voix qui se répondent
Ce soir, je vais tuer mon ami de demain (bis)
Dans cette brume, où es-tu, où es-tu ?
La guerre, elle est toujours perdue
La guerre va brûler toutes ses fleurs de soufre
Mes mains ne savent plus où porter leurs ciseaux
L’araignée a filé son étrange réseau
Quand je frappe en Norvège, en Chine un homme souffre
Quand je tire au matin, au soir tombe l’oiseau (bis)
La guerre va semer nos amours sur les routes
Nos corps au marché noir pour des rations de pain
À travers le black-out des vitres que l’on peint
Je vois briller des feux qui sont tes yeux sans doute…
La mort nous couchera dans son lit de sapin (bis)
Dans cette brume, où es-tu, où es-tu?
La guerre, elle est toujours perdue
La guerre va finir aux nouvelles dernières
Même si la victoire éclate sur mon seuil
En musiques de joie, en drapeaux créve-l’oeil
Elle est toujours perdue, toujours perdue la guerre
Le jour de gloire est là et c’est mon jour de deuil (bis)
Mais quand je vois venir, déguisée en colombe
Ou, la musique en tête, une bande exaltée
Pour ne pas vivre esclave, il faudra bien lutter
J’irai jusqu’à brandir le fusil ou la bombe
En chantant avec vous : « Vive la liberté » (bis)
Moi je ne chanterai, ni tout haut, ni tout bas
Les mots d’amour, ici, sont de haine là-bas
« J’attendrai ton retour » et même « Il pleut bergère »
Repris par mille voix sont des chants de combat (bis)
La guerre va jeter ses éclairs à la ronde
Vers qui vais-je tirer ?
J’ai perdu le chemin
Où est-il l’ennemi ?
À qui est cette main ?
Le tonnerre a couvert nos voix qui se répondent
Ce soir, je vais tuer mon ami de demain (bis)
Dans cette brume, où es-tu, où es-tu ?
La guerre, elle est toujours perdue
La guerre va brûler toutes ses fleurs de soufre
Mes mains ne savent plus où porter leurs ciseaux
L’araignée a filé son étrange réseau
Quand je frappe en Norvège, en Chine un homme souffre
Quand je tire au matin, au soir tombe l’oiseau (bis)
La guerre va semer nos amours sur les routes
Nos corps au marché noir pour des rations de pain
À travers le black-out des vitres que l’on peint
Je vois briller des feux qui sont tes yeux sans doute…
La mort nous couchera dans son lit de sapin (bis)
Dans cette brume, où es-tu, où es-tu?
La guerre, elle est toujours perdue
La guerre va finir aux nouvelles dernières
Même si la victoire éclate sur mon seuil
En musiques de joie, en drapeaux créve-l’oeil
Elle est toujours perdue, toujours perdue la guerre
Le jour de gloire est là et c’est mon jour de deuil (bis)
Mais quand je vois venir, déguisée en colombe
Ou, la musique en tête, une bande exaltée
Pour ne pas vivre esclave, il faudra bien lutter
J’irai jusqu’à brandir le fusil ou la bombe
En chantant avec vous : « Vive la liberté » (bis)
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2008/12/11 - 14:54
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Chanson française de Guy Béart