L'angelo schiavo, accecato, impotente
sigilla di sangue innocente le porte
poi viene il signore onnipotente
e alle soglie imbiancate scombina la sorte
Siede per terra, la donna E soffia via la cenere
Guarda il cielo di sbieco E non può più attendere
Intorno tutto è infecondo Negli occhi il deserto
In fine è un grido che s'alza Dal suo seno aperto
Eccolo il dio dei denari
Che brucia vite e ne fa scorta
Macchina viva, carne morta
Non tutti gli umani sono uguali
Eccolo il dio dei denari
Il passato è davanti allo sguardo disperso ed impuro
La donna si strappa di bocca il tempo futuro
Si alza e conosce da un segno che è tempo di andare
Impone un ritmo al suo passo E' pronta a parlare
Questo tempo labile ha un segno indelebile
che chiama a raccolta la forza dei mari
per aprire bocche dischiudere mani
ed un'altra vita sia in salvo domani.
Eccolo il dio dei denari
Che brucia vite e ne fa scorta
Macchina viva, carne morta
Non tutti gli umani sono uguali
Eccolo il dio dei denari
sigilla di sangue innocente le porte
poi viene il signore onnipotente
e alle soglie imbiancate scombina la sorte
Siede per terra, la donna E soffia via la cenere
Guarda il cielo di sbieco E non può più attendere
Intorno tutto è infecondo Negli occhi il deserto
In fine è un grido che s'alza Dal suo seno aperto
Eccolo il dio dei denari
Che brucia vite e ne fa scorta
Macchina viva, carne morta
Non tutti gli umani sono uguali
Eccolo il dio dei denari
Il passato è davanti allo sguardo disperso ed impuro
La donna si strappa di bocca il tempo futuro
Si alza e conosce da un segno che è tempo di andare
Impone un ritmo al suo passo E' pronta a parlare
Questo tempo labile ha un segno indelebile
che chiama a raccolta la forza dei mari
per aprire bocche dischiudere mani
ed un'altra vita sia in salvo domani.
Eccolo il dio dei denari
Che brucia vite e ne fa scorta
Macchina viva, carne morta
Non tutti gli umani sono uguali
Eccolo il dio dei denari
envoyé par adriana - 19/4/2008 - 09:56
Langue: français
Version française – LE DIEU DE L'ARGENT – Marco Valdo M.I. - 2012
Chanson italienne – Il dio dei denari – Marco Rovelli – 2008
Chanson italienne – Il dio dei denari – Marco Rovelli – 2008
... « Travailler tue », le livre qui raconte mon voyage en Italie parmi les morts au travail. Comme exergue du livre, et à la fin, une chanson que j'ai écrit sur les femmes qui perdent leur homme au travail. Il s'intitule Le dieu des argent, et il fera partie du répertoire de mon nouveau projet musical Marco Rovelli Libertaire auquel maintenant, après l'immersion dans ce livre, je reviens à travailler avec constance.
SBANDATI le blog musical de Marco Rovelli
SBANDATI le blog musical de Marco Rovelli
LE DIEU DE L'ARGENT
L'ange esclave aveuglé, impuissant
Scelle de sang innocent les portes
Puis vient le maître omnipotent
Sur les seuils blanchis, il bouleverse le sort
La femme s'assied par terre
Et elle souffle la cendre
Elle regarde le ciel de travers
Elle ne peut plus attendre
Alentour tout est stérile
Dans ses yeux le désert
Pour finir, c'est un cri qui s'élève
De son sein découvert
Voici le dieu de l'argent
Qui brûle des vies et fait des provisions
Machine vivante, chair morte
Tous les humain ne sont pas égaux
Voici le dieu de l'argent
Le passé est devant son regard perdu et impur
La femme arrache de sa bouche le temps futur
Se lève et sait d'un signe qu'il est temps de partir
Impose un rythme à son pas ; elle est prête à parler
Ce temps éphémère a une marque indélébile
qu'il appelle au secours la force des mers
pour ouvrir les bouches, entrouvrir les mains
et qu'une autre vie soit sauve demain.
Voici le dieu de l'argent
Qui brûle des vies et fait des provisions
Machine vivante, chair morte
Tous les humain ne sont pas égaux
Voici le dieu de l'argent
L'ange esclave aveuglé, impuissant
Scelle de sang innocent les portes
Puis vient le maître omnipotent
Sur les seuils blanchis, il bouleverse le sort
La femme s'assied par terre
Et elle souffle la cendre
Elle regarde le ciel de travers
Elle ne peut plus attendre
Alentour tout est stérile
Dans ses yeux le désert
Pour finir, c'est un cri qui s'élève
De son sein découvert
Voici le dieu de l'argent
Qui brûle des vies et fait des provisions
Machine vivante, chair morte
Tous les humain ne sont pas égaux
Voici le dieu de l'argent
Le passé est devant son regard perdu et impur
La femme arrache de sa bouche le temps futur
Se lève et sait d'un signe qu'il est temps de partir
Impose un rythme à son pas ; elle est prête à parler
Ce temps éphémère a une marque indélébile
qu'il appelle au secours la force des mers
pour ouvrir les bouches, entrouvrir les mains
et qu'une autre vie soit sauve demain.
Voici le dieu de l'argent
Qui brûle des vies et fait des provisions
Machine vivante, chair morte
Tous les humain ne sont pas égaux
Voici le dieu de l'argent
envoyé par Marco Valdo M.I. - 7/3/2012 - 16:23
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Album: libertAria
Da:SBANDATIil blog musicale di Marco Rovelli