Les mères, les filles et les sœurs
Au berceau de leur jeunesse
À tous les hommes demeurent
Egales et naissent
Aussi libres que l’air
À l’échafaud ou à la tribune
Nous Citoyennes
Sommes invitées
Comme tout à chacun
A payer pour nos crimes
Et à clamer nos idées
Dans nos combats, nos irrévérences
On entonne le slogan
Ni dominantes ni dominées
Pour que demain s’habille d’équité
Alpha ce mal qui t’habite
Nourrie ta posture
Et quand l’objet du désir te frôle
Tu fends un peu vite l’armure
Aux grands maux les grands remèdes
Ne vous faites pas moins belles pour autant
Mères, filles et sœurs regardez au dela
Des politesses déguisées
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
Anarchistes et féministes
Pas pour autant alarmistes
L’utopie n’est pas un frein
Pas plus que l’bout de nos seins
C’est la quête de l’utile qui nous tient
Nos cris de femmes n’ont guère
Plus d’échos aux oreilles des pendus
Mais ce pouvoir politicard
Ne nous a pas encore corrompu
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
Soyez fières, mères, filles et soeurs
Plus que jamais vous êtes à l’heure
Au rendez-vous un peu partout
En gardiennes du Colisée
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
Au berceau de leur jeunesse
À tous les hommes demeurent
Egales et naissent
Aussi libres que l’air
À l’échafaud ou à la tribune
Nous Citoyennes
Sommes invitées
Comme tout à chacun
A payer pour nos crimes
Et à clamer nos idées
Dans nos combats, nos irrévérences
On entonne le slogan
Ni dominantes ni dominées
Pour que demain s’habille d’équité
Alpha ce mal qui t’habite
Nourrie ta posture
Et quand l’objet du désir te frôle
Tu fends un peu vite l’armure
Aux grands maux les grands remèdes
Ne vous faites pas moins belles pour autant
Mères, filles et sœurs regardez au dela
Des politesses déguisées
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
Anarchistes et féministes
Pas pour autant alarmistes
L’utopie n’est pas un frein
Pas plus que l’bout de nos seins
C’est la quête de l’utile qui nous tient
Nos cris de femmes n’ont guère
Plus d’échos aux oreilles des pendus
Mais ce pouvoir politicard
Ne nous a pas encore corrompu
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
Soyez fières, mères, filles et soeurs
Plus que jamais vous êtes à l’heure
Au rendez-vous un peu partout
En gardiennes du Colisée
On a bien su faire taire la voix des Dieux
Et coupé la tête des rois
Restez messieurs bien éduqués
Olympe de Gouges vous en saurait gré
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Album: Olympe
Auteurs : Frederic Goetzmann & Melissmell
Compositeurs : Melissmell & Matu
Olympe de Gouges, nata Marie Gouze a Montauban il 7 maggio 1748, fu una delle voci più coraggiose e lucide della Rivoluzione francese. Drammaturga e attivista, mise la sua penna al servizio della libertà e dell’uguaglianza, in un’epoca che concedeva ben poco spazio alle donne.
Nel 1788 pubblicò le Réflexions sur les hommes nègres, un testo con cui denunciava la schiavitù e difendeva la dignità dei popoli africani ridotti in catene. Tre anni dopo, nel 1791, scrisse la Dichiarazione dei diritti della donna e della cittadina, rivendicando per le donne gli stessi diritti politici e sociali degli uomini.
Il 3 novembre 1793 venne ghigliottinata per essersi opposta all’esecuzione di Luigi XVI e per aver criticato il Comitato di Salute Pubblica.