Pas facile ce matin
De se voir dans la glace
Sans songer aux gamins
Aux mômes qui boivent la tasse
Juste la à nos pieds
Sur nos côtes ensablés
Là où quand on y pense
On passe toutes nos vacances
Au pays des lumières
Y'a plus interrupteurs
Notre phare dans la mer
N'était qu'un leurre
Le parcours des combattants
Pour en arriver là
Le passeur, les truands
Les regards vers le bas
Dans nos fauteuil en cuir,
S'il y'avait ce courage
Y'aurait rien à écrire
Y'aurait plus de naufrage
Au pays des lumières
Faut changer l'éclairage
Pour que nos ministère
Voit le carnage
Si par chance ils arrivent
Dans leurs bateaux de fortune
À rejoindre la rive, à décrocher la lune
Y'a des gens pour brandir
Encore cette phrase immonde
On peut pas accueillir
Toutes la misère du monde
Au pays des lumières
Tout ces slogans m’écœure
En retourne en arrière
Et ça fait peur
C'est bien d'humanité
Dont ici nous parlons
Quelles que soit les idées
Les points de vue, l'opinion
Aux larmes citoyens
Faudrait se mettre à leur place
Pour pouvoir le matin
Se regarder dans la glace
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
De se voir dans la glace
Sans songer aux gamins
Aux mômes qui boivent la tasse
Juste la à nos pieds
Sur nos côtes ensablés
Là où quand on y pense
On passe toutes nos vacances
Au pays des lumières
Y'a plus interrupteurs
Notre phare dans la mer
N'était qu'un leurre
Le parcours des combattants
Pour en arriver là
Le passeur, les truands
Les regards vers le bas
Dans nos fauteuil en cuir,
S'il y'avait ce courage
Y'aurait rien à écrire
Y'aurait plus de naufrage
Au pays des lumières
Faut changer l'éclairage
Pour que nos ministère
Voit le carnage
Si par chance ils arrivent
Dans leurs bateaux de fortune
À rejoindre la rive, à décrocher la lune
Y'a des gens pour brandir
Encore cette phrase immonde
On peut pas accueillir
Toutes la misère du monde
Au pays des lumières
Tout ces slogans m’écœure
En retourne en arrière
Et ça fait peur
C'est bien d'humanité
Dont ici nous parlons
Quelles que soit les idées
Les points de vue, l'opinion
Aux larmes citoyens
Faudrait se mettre à leur place
Pour pouvoir le matin
Se regarder dans la glace
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Au pays des lumières
Il n'est jamais trop tard
Pour que nos réverbères
Deviennent des phares
Contributed by Pascal BORTOT - 2022/3/27 - 13:40
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Les Oubliés
La France Pays des Lumières , Gauvin parle ici de notre indifférence collective aux drames qui se déroulent en méditerranée , à la fameuse phrase " on ne peut accueillir toute la misère du monde"... Le dernier couplet il n'est jamais trop tard comme un appel à un reveil des consciences et a des actes.