A chacun son chemin, la liberté se jette
Au delta, au-delà, où l'océan reflète
On dit que tout est grand à y perdre la tête
On y goûte un instant et dedans tout s'émiette
J'ai choisi mon chemin, ma liberté, ma quête
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
Ici bas, elles se gavent de ferraille, de plastique,
D'arbres, de betteraves et d'amours synthétiques
Devant ce grand festin, la liberté regrette
Les brebis ont vomis, l'indigestion les guette
Qu'y a-t-il donc après? Plus rien
Les brebis sont tentées par les sentiers divins
Crapahuter là-haut pendant les transhumances
Dans l'auberge il fait chaud, elles remplissaient leur panse
De sermons asservis sans une prière et au lit sans
Sans s'inquiéter du temps, sans redouter l'errance
Le pasteur rabâchant ses conseils de prudence
Mettez-vous ça dans la tête, les brebis ne sont pas faites
Pour apprécier le large, pour apprendre à voler
Gambader dans les marges, aimer la liberté
Tôt ou tard, tout penaud, on rejoint le troupeau
A chacun son chemin, la liberté se jette
Au delta, au-delà, où l'océan reflète
On dit que tout est grand à y perdre la tête
On y goûte un instant et dedans tout s'émiette
J'ai choisi mon chemin, ma liberté, ma quête
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
Ici bas, elles se gavent du premier fanatique,
Le vent, le sourcil grave, ou le doigt prophétique
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
On les a déjà vues foncer à l'aveuglette,
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
Au delta, au-delà, où l'océan reflète
On dit que tout est grand à y perdre la tête
On y goûte un instant et dedans tout s'émiette
J'ai choisi mon chemin, ma liberté, ma quête
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
Ici bas, elles se gavent de ferraille, de plastique,
D'arbres, de betteraves et d'amours synthétiques
Devant ce grand festin, la liberté regrette
Les brebis ont vomis, l'indigestion les guette
Qu'y a-t-il donc après? Plus rien
Les brebis sont tentées par les sentiers divins
Crapahuter là-haut pendant les transhumances
Dans l'auberge il fait chaud, elles remplissaient leur panse
De sermons asservis sans une prière et au lit sans
Sans s'inquiéter du temps, sans redouter l'errance
Le pasteur rabâchant ses conseils de prudence
Mettez-vous ça dans la tête, les brebis ne sont pas faites
Pour apprécier le large, pour apprendre à voler
Gambader dans les marges, aimer la liberté
Tôt ou tard, tout penaud, on rejoint le troupeau
A chacun son chemin, la liberté se jette
Au delta, au-delà, où l'océan reflète
On dit que tout est grand à y perdre la tête
On y goûte un instant et dedans tout s'émiette
J'ai choisi mon chemin, ma liberté, ma quête
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
Ici bas, elles se gavent du premier fanatique,
Le vent, le sourcil grave, ou le doigt prophétique
Je n'm'en fais pas pour moi, mais les brebis m'inquiètent
On les a déjà vues foncer à l'aveuglette,
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
La la la la la la
Quand elles ont peur de tout, droit dans la gueule du loup
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Album: Droit dans la gueule du loup
Parole e musica di Guillaume Favray
interpretata anche insieme a Les Ogres de Barback