— Papa, papa, papa !
— Dis donc, qu’est-ce que tu fais encore debout toi à cette heure-ci ? Veux-tu aller te coucher
— Oui papa.
— Oui, qu’est-ce qu’il y a encore ? Hein ?
— Je voudrais savoir qui est-ce le bon Dieu.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Dort la capitale de l’Italie,
Rome, la ville éternelle ;
Dort au cœur de Rome le Vatican,
Cette succursale du Ciel ;
Dorment les ministres et les trésors,
Dorment les Jésus de bois,
Une seule fenêtre est allumée,
Un seul homme ne dort pas.
C’est le grand vieillard en robe blanche,
Obsédé par l’insomnie,
Le Vicaire du Christ au cœur qui flanche
Qui se traîne et sort du lit,
Demandant la force qui lui manque
À son chapelet d’ivoire,
Le vieux pape tente une sortie
Dans la nuit des grands couloirs.
« Je suis malade,
Je suis malade,
Je sens les forces m’abandonner.
Maître céleste,
Il ne me reste
Même plus le temps pour me racheter.
Sur les plaies sanglantes de la Terre,
J’ai souvent pleuré,
Mais par prudence, oui mon Père,
Je n’ai jamais donné une voix à ta colère
Au nom de quoi ai-je cru bon de me taire ?
Combien de lèvres ont baisé cet anneau,
Lèvres sinistres de cuistres et de bourreaux ?
Oui, ton Église pour rester forte
Trompe le peuple et flatte les rois,
Les séminaires ferment les portes
Faute de frères, faute de foi,
Quand l’Évangile n’est plus qu’un trône
Et quand un pape n’est qu’un fantôme
Et ce fantôme, un homme malade.
Je ne suis qu’un vieillard,
Un pauvre vieillard,
Pour moi, c’est trop tard
Tiens, Saint Pierre, je rends les clefs
Vu qu’elles n’ouvrent plus de portes.
Mea culpa Domine !,
Si l’Église des hommes est morte.
J’ai été un père impardonnable
Et l’Église, une mère sans tendresse ;
Nous avons trahi chaque jeunesse
Et tous nos enfants ont déserté la table !
Mea culpa Domine ! »
En disant ces mots, le grand vieillard
Écrasé par la souffrance
Se retrouve presque par hasard
Dans la salle des audiences.
Tandis que dort la capitale,
Un homme presque centenaire
Traverse l’ombre et puis, s’installe
Dessus le trône de Saint Pierre.
« Frère, on t’attendait ;
Frère, on t’attendait
Depuis toujours et te voici. »
« Qui me parle ainsi ? »
« Nous, les sans-patrie de l’autre monde,
Nous les expulsés,
Nous les interdits du paradis et de l’enfer »
« Que me voulez-vous ? »
« Presque rien du tout,
Nous voulons un nom sur une tombe.
Vieux, regarde-nous !
Nous sommes les victimes des injustices de l’histoire,
Jaunes, rouges ou noirs,
Morts deux fois à cause de ton silence,
Torturés, gazés, massacrés aux quatre coins
D’un monde sans mémoire.
Père des chrétiens,
Nous voulons la fin,
Nous voulons la fin de nos souffrances. »
« Oh ! Mes orphelins,
je n’ai qu’une place
Et cette place, c’est mon cœur.
Approchez, venez !
Que je puisse ensemble vous étreindre.
Fils de la douleur,
Non, mes chers enfants, vous n’êtes pas venus en vain
Donnez-moi la main
Pour vous rejoindre,
Pour vous rejoindre !
Tiens, Saint Pierre, je rends les clefs
Vu qu’elles n’ouvrent plus de portes,
Même les morts se sont levés
Pour me dire l’Église est morte.
Oh, Seigneur, écoute ma prière,
Dieu, fais-moi le don d’un autre jour,
Et demain, au nom de ton amour,
Je dirais aux hommes toute ta colère.
Oui, Saint Pierre, rends-moi les clefs,
J’ouvrirai toutes les portes ;
Je veux dire enfin la vérité,
Et puis,
Que la mort m’emporte,
Que la mort m’emporte,
Que la mort m’emporte ! »
Le monde chrétien est en deuil.
Le pape est mort cette nuit à 4 heures 12 au Vatican.
Sa Sainteté Jean XXV a succombé après une longue agonie qui a duré 38 jours.
Dans les 10 jours qui viennent, le conclave de cardinaux se réunira pour lui trouver un successeur.
— Dis donc, qu’est-ce que tu fais encore debout toi à cette heure-ci ? Veux-tu aller te coucher
— Oui papa.
— Oui, qu’est-ce qu’il y a encore ? Hein ?
— Je voudrais savoir qui est-ce le bon Dieu.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Dort la capitale de l’Italie,
Rome, la ville éternelle ;
Dort au cœur de Rome le Vatican,
Cette succursale du Ciel ;
Dorment les ministres et les trésors,
Dorment les Jésus de bois,
Une seule fenêtre est allumée,
Un seul homme ne dort pas.
C’est le grand vieillard en robe blanche,
Obsédé par l’insomnie,
Le Vicaire du Christ au cœur qui flanche
Qui se traîne et sort du lit,
Demandant la force qui lui manque
À son chapelet d’ivoire,
Le vieux pape tente une sortie
Dans la nuit des grands couloirs.
« Je suis malade,
Je suis malade,
Je sens les forces m’abandonner.
Maître céleste,
Il ne me reste
Même plus le temps pour me racheter.
Sur les plaies sanglantes de la Terre,
J’ai souvent pleuré,
Mais par prudence, oui mon Père,
Je n’ai jamais donné une voix à ta colère
Au nom de quoi ai-je cru bon de me taire ?
Combien de lèvres ont baisé cet anneau,
Lèvres sinistres de cuistres et de bourreaux ?
Oui, ton Église pour rester forte
Trompe le peuple et flatte les rois,
Les séminaires ferment les portes
Faute de frères, faute de foi,
Quand l’Évangile n’est plus qu’un trône
Et quand un pape n’est qu’un fantôme
Et ce fantôme, un homme malade.
Je ne suis qu’un vieillard,
Un pauvre vieillard,
Pour moi, c’est trop tard
Tiens, Saint Pierre, je rends les clefs
Vu qu’elles n’ouvrent plus de portes.
Mea culpa Domine !,
Si l’Église des hommes est morte.
J’ai été un père impardonnable
Et l’Église, une mère sans tendresse ;
Nous avons trahi chaque jeunesse
Et tous nos enfants ont déserté la table !
Mea culpa Domine ! »
En disant ces mots, le grand vieillard
Écrasé par la souffrance
Se retrouve presque par hasard
Dans la salle des audiences.
Tandis que dort la capitale,
Un homme presque centenaire
Traverse l’ombre et puis, s’installe
Dessus le trône de Saint Pierre.
« Frère, on t’attendait ;
Frère, on t’attendait
Depuis toujours et te voici. »
« Qui me parle ainsi ? »
« Nous, les sans-patrie de l’autre monde,
Nous les expulsés,
Nous les interdits du paradis et de l’enfer »
« Que me voulez-vous ? »
« Presque rien du tout,
Nous voulons un nom sur une tombe.
Vieux, regarde-nous !
Nous sommes les victimes des injustices de l’histoire,
Jaunes, rouges ou noirs,
Morts deux fois à cause de ton silence,
Torturés, gazés, massacrés aux quatre coins
D’un monde sans mémoire.
Père des chrétiens,
Nous voulons la fin,
Nous voulons la fin de nos souffrances. »
« Oh ! Mes orphelins,
je n’ai qu’une place
Et cette place, c’est mon cœur.
Approchez, venez !
Que je puisse ensemble vous étreindre.
Fils de la douleur,
Non, mes chers enfants, vous n’êtes pas venus en vain
Donnez-moi la main
Pour vous rejoindre,
Pour vous rejoindre !
Tiens, Saint Pierre, je rends les clefs
Vu qu’elles n’ouvrent plus de portes,
Même les morts se sont levés
Pour me dire l’Église est morte.
Oh, Seigneur, écoute ma prière,
Dieu, fais-moi le don d’un autre jour,
Et demain, au nom de ton amour,
Je dirais aux hommes toute ta colère.
Oui, Saint Pierre, rends-moi les clefs,
J’ouvrirai toutes les portes ;
Je veux dire enfin la vérité,
Et puis,
Que la mort m’emporte,
Que la mort m’emporte,
Que la mort m’emporte ! »
Le monde chrétien est en deuil.
Le pape est mort cette nuit à 4 heures 12 au Vatican.
Sa Sainteté Jean XXV a succombé après une longue agonie qui a duré 38 jours.
Dans les 10 jours qui viennent, le conclave de cardinaux se réunira pour lui trouver un successeur.
Contributed by Lorenzo - 2020/11/15 - 13:11
Language: Italian
Versione italiana di Marco Valdo M.I. rivista da Lorenzo Masetti
IL P.A.P.A.
- Papà, papà, papà, papà!
- Ehi, cosa ci fai ancora in piedi a quest'ora? Vuoi andare a letto?
- Sì, papà.
- Sì, cosa c'è adesso? Che succede?
- Vorrei sapere chi è il buon Dio.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Dorme la capitale d'Italia,
Roma, la città eterna;
Dorme nel cuore di Roma il Vaticano,
Questa succursale del Cielo;
Dormono i ministri e i tesori,
Dormono i Gesù di legno,
Solo una finestra è illuminata,
Solo un uomo non dorme.
È il grande vecchio vestito di bianco,
Ossessionato dall'insonnia,
Il Vicario di Cristo con il cuore a pezzi,
Si trascina e si alza dal letto,
Domandando la forza che gli manca
Al suo rosario d'avorio,
Il vecchio papa sta cercando una via d'uscita
Nella notte dei grandi corridoi.
« Sono malato,
Sono malato,
Sento le forze che mi abbandonano.
Maestro celeste,
Non mi resta
Neanche il tempo di riscattarmi.
Sulle ferite insanguinate della Terra,
Ho pianto spesso,
Ma per prudenza, sì, Padre,
Non ho mai dato voce alla tua collera.
Perché ho pensato di dover tenere la bocca chiusa?
Quante labbra hanno baciato quell'anello,
Labbra sinistre di pedanti e dei boia?
Sì, la tua Chiesa per rimanere forte
Imbroglia il popolo e lusinga i re,
I seminari chiudono le porte
Per mancanza di fratelli, mancanza di fede,
Quando il Vangelo è solo un trono
E quando un papa è solo un fantasma,
E questo fantasma, un uomo malato.
Sono solo un vecchio,
Un povero vecchio,
È troppo tardi per me.
Ecco, San Pietro, ti restituisco le chiavi,
Visto che non aprono più le porte.
Mea culpa Domine!,
Se la Chiesa degli uomini è morta.
Sono stato un padre imperdonabile
E la Chiesa, una madre senza tenerezza;
Abbiamo tradito tutta la gioventù
E tutti i nostri figli hanno disertato la tavola!
Mea culpa Domine! »
Dicendo queste parole, il grande vecchio
Schiacciato dalla sofferenza,
Si ritrova quasi per caso,
nella sala delle udienze.
Mentre la capitale dorme,
Un uomo quasi centenario
Attraversa l'ombra e poi si sistema
Sopra il trono di San Pietro.
«Fratello, ti stavamo aspettando;
Fratello, ti stavamo aspettando
Da sempre ed eccoti qui. »
« Chi mi parla così? »
« Noi, i senza patria dell'altro mondo,
Noi gli espulsi,
Noi gli interdetti dal paradiso e dall'inferno. »
« Cosa volete da me? »
« Quasi niente,
Vogliamo un nome su una tomba.
Vecchio, guardaci!
Siamo le vittime delle ingiustizie della storia,
Gialli, rossi o neri,
Morti due volte a causa del tuo silenzio,
Torturati, gassati, massacrati ai quattro angoli
D’un mondo senza memoria.
Padre dei Cristiani,
Vogliamo la fine,
Vogliamo porre fine alle nostre sofferenze. »
« Oh! I miei orfani,
Ho solo un posto
E questo posto è il mio cuore.
Avvicinatevi, venite !
Per potervi abbracciare insieme.
Figli del dolore,
No, miei cari figli, non siete venuti invano...
Datemi la mano
Per unirmi a voi,
Per unirmi a voi!
Ecco, San Pietro, restituisco le chiavi
Visto che non aprono più le porte,
Anche i morti sono risorti
Per dirmi che la Chiesa è morta.
Oh, Signore, ascolta la mia preghiera,
Dio, fammi il dono di un altro giorno,
E domani, in nome del tuo amore,
Dirò agli uomini tutta la tua collera.
Sì, San Pietro, rendimi le chiavi,
Aprirò tutte le porte;
Voglio dire finalmente la verità,
E poi,
Che la morte mi prenda,
Che la morte mi prenda,
Che la morte mi prenda ! »
Il mondo cristiano è in lutto.
Il Papa è morto ieri sera alle 4:12 in Vaticano.
Sua Santità Giovanni XXV è morto dopo una lunga agonia durata 38 giorni.
Nei prossimi 10 giorni, il conclave dei cardinali si riunirà per trovargli un successore.
- Papà, papà, papà, papà!
- Ehi, cosa ci fai ancora in piedi a quest'ora? Vuoi andare a letto?
- Sì, papà.
- Sì, cosa c'è adesso? Che succede?
- Vorrei sapere chi è il buon Dio.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Christus vincit,
Christus regnat,
Christus Christus imperat.
Dorme la capitale d'Italia,
Roma, la città eterna;
Dorme nel cuore di Roma il Vaticano,
Questa succursale del Cielo;
Dormono i ministri e i tesori,
Dormono i Gesù di legno,
Solo una finestra è illuminata,
Solo un uomo non dorme.
È il grande vecchio vestito di bianco,
Ossessionato dall'insonnia,
Il Vicario di Cristo con il cuore a pezzi,
Si trascina e si alza dal letto,
Domandando la forza che gli manca
Al suo rosario d'avorio,
Il vecchio papa sta cercando una via d'uscita
Nella notte dei grandi corridoi.
« Sono malato,
Sono malato,
Sento le forze che mi abbandonano.
Maestro celeste,
Non mi resta
Neanche il tempo di riscattarmi.
Sulle ferite insanguinate della Terra,
Ho pianto spesso,
Ma per prudenza, sì, Padre,
Non ho mai dato voce alla tua collera.
Perché ho pensato di dover tenere la bocca chiusa?
Quante labbra hanno baciato quell'anello,
Labbra sinistre di pedanti e dei boia?
Sì, la tua Chiesa per rimanere forte
Imbroglia il popolo e lusinga i re,
I seminari chiudono le porte
Per mancanza di fratelli, mancanza di fede,
Quando il Vangelo è solo un trono
E quando un papa è solo un fantasma,
E questo fantasma, un uomo malato.
Sono solo un vecchio,
Un povero vecchio,
È troppo tardi per me.
Ecco, San Pietro, ti restituisco le chiavi,
Visto che non aprono più le porte.
Mea culpa Domine!,
Se la Chiesa degli uomini è morta.
Sono stato un padre imperdonabile
E la Chiesa, una madre senza tenerezza;
Abbiamo tradito tutta la gioventù
E tutti i nostri figli hanno disertato la tavola!
Mea culpa Domine! »
Dicendo queste parole, il grande vecchio
Schiacciato dalla sofferenza,
Si ritrova quasi per caso,
nella sala delle udienze.
Mentre la capitale dorme,
Un uomo quasi centenario
Attraversa l'ombra e poi si sistema
Sopra il trono di San Pietro.
«Fratello, ti stavamo aspettando;
Fratello, ti stavamo aspettando
Da sempre ed eccoti qui. »
« Chi mi parla così? »
« Noi, i senza patria dell'altro mondo,
Noi gli espulsi,
Noi gli interdetti dal paradiso e dall'inferno. »
« Cosa volete da me? »
« Quasi niente,
Vogliamo un nome su una tomba.
Vecchio, guardaci!
Siamo le vittime delle ingiustizie della storia,
Gialli, rossi o neri,
Morti due volte a causa del tuo silenzio,
Torturati, gassati, massacrati ai quattro angoli
D’un mondo senza memoria.
Padre dei Cristiani,
Vogliamo la fine,
Vogliamo porre fine alle nostre sofferenze. »
« Oh! I miei orfani,
Ho solo un posto
E questo posto è il mio cuore.
Avvicinatevi, venite !
Per potervi abbracciare insieme.
Figli del dolore,
No, miei cari figli, non siete venuti invano...
Datemi la mano
Per unirmi a voi,
Per unirmi a voi!
Ecco, San Pietro, restituisco le chiavi
Visto che non aprono più le porte,
Anche i morti sono risorti
Per dirmi che la Chiesa è morta.
Oh, Signore, ascolta la mia preghiera,
Dio, fammi il dono di un altro giorno,
E domani, in nome del tuo amore,
Dirò agli uomini tutta la tua collera.
Sì, San Pietro, rendimi le chiavi,
Aprirò tutte le porte;
Voglio dire finalmente la verità,
E poi,
Che la morte mi prenda,
Che la morte mi prenda,
Che la morte mi prenda ! »
Il mondo cristiano è in lutto.
Il Papa è morto ieri sera alle 4:12 in Vaticano.
Sua Santità Giovanni XXV è morto dopo una lunga agonia durata 38 giorni.
Nei prossimi 10 giorni, il conclave dei cardinali si riunirà per trovargli un successore.
×
Note for non-Italian users: Sorry, though the interface of this website is translated into English, most commentaries and biographies are in Italian and/or in other languages like French, German, Spanish, Russian etc.
dall'album Megalopolis
Parole di Herbert Pagani
Musica di Beppe Moraschi
Testo rivisto grazie a Marco Valdo M.I.
Un papa soffre d'insonnia ed è l'unico a rimanere sveglio in tutta la Città Eterna. Inizia a vagare per i corridoi del Vaticano e a parlare con le anime dei perseguitati della storia. Probabilmente un riferimento a Pio XII e al silenzio sull'olocausto ebraico (anche se all'interno della storia fantascientifica di Megapolis il papa si chiama Giovanni XXV). In punto di morte, in preda ai sensi di colpa, decide di rivelare al mondo tutta la verità.
Un pape souffre d'insomnie et est le seul à rester éveillé dans toute la Ville éternelle. Il commence à errer dans les couloirs du Vatican et à parler aux âmes des persécutés de l'histoire. Probablement une référence à Pie XII et à son silence sur l'holocauste juif (bien que dans l'histoire fantasmatique de Megapolis, le nom du pape soit Jean XXV). Sur le point de mourir, en proie à la culpabilité, il décide de révéler toute la vérité au monde.