Keep your helmet, keep your life, son
Just a flesh wound, here's your rifle
Crawling up the beaches now
"Sir, I think he's bleeding out"
And some things you just can't speak about
With you I serve, with you I fall down, down
Watch you breathe in, watch you breathing out, out
Something med school did not cover
Someone's daughter, someone's mother
Holds your hand through plastic now
"Doc, I think she's crashing out"
And some things you just can't speak about
Only twenty minutes to sleep
But you dream of some epiphany
Just one single glimpse of relief
To make some sense of what you've seen
With you I serve, with you I fall down, down (Down)
Watch you breathe in, watch you breathing out, out
With you I serve (With you I serve), with you I fall down (Down), down (Down)
Watch you breathe in (Watch you breathe in),
watch you breathing out (Out), out (Out)
Only twenty minutes to sleep
But you dream of some epiphany
Just one single glimpse of relief
Just a flesh wound, here's your rifle
Crawling up the beaches now
"Sir, I think he's bleeding out"
And some things you just can't speak about
With you I serve, with you I fall down, down
Watch you breathe in, watch you breathing out, out
Something med school did not cover
Someone's daughter, someone's mother
Holds your hand through plastic now
"Doc, I think she's crashing out"
And some things you just can't speak about
Only twenty minutes to sleep
But you dream of some epiphany
Just one single glimpse of relief
To make some sense of what you've seen
With you I serve, with you I fall down, down (Down)
Watch you breathe in, watch you breathing out, out
With you I serve (With you I serve), with you I fall down (Down), down (Down)
Watch you breathe in (Watch you breathe in),
watch you breathing out (Out), out (Out)
Only twenty minutes to sleep
But you dream of some epiphany
Just one single glimpse of relief
Contributed by Lorenzo - 2020/7/27 - 22:29
Language: Italian
Traduzione italiana di Lorenzo Masetti
EPIFANIA
Tieni il tuo elmetto, tieni stretta la tua vita, figliolo
è solo una ferita superficiale, eccoti il fucile
Strisciando sulle spiagge adesso
"Signore, penso che stia morendo dissanguato"
e altre cose di cui proprio non riesci a parlare
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare, espirare, espirare
Qualcosa che non insegnano alla facoltà di medicina
La figlia di qualcuno, la madre di qualcuno
che ti stringe la mano attraverso una barriera di plastica
"Dottore, credo che stia collassando"
e altre cose di cui proprio non riesci a parlare
Solo venti minuti di sonno
ma sogni una qualche epifania
un solo barlume di sollievo
che dia un qualche senso a ciò che hai visto
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare, espirare, espirare
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare
Ti guardo espirare, espirare
Solo venti minuti di sonno
ma sogni una qualche epifania
un solo barlume di sollievo
Tieni il tuo elmetto, tieni stretta la tua vita, figliolo
è solo una ferita superficiale, eccoti il fucile
Strisciando sulle spiagge adesso
"Signore, penso che stia morendo dissanguato"
e altre cose di cui proprio non riesci a parlare
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare, espirare, espirare
Qualcosa che non insegnano alla facoltà di medicina
La figlia di qualcuno, la madre di qualcuno
che ti stringe la mano attraverso una barriera di plastica
"Dottore, credo che stia collassando"
e altre cose di cui proprio non riesci a parlare
Solo venti minuti di sonno
ma sogni una qualche epifania
un solo barlume di sollievo
che dia un qualche senso a ciò che hai visto
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare, espirare, espirare
Con te servo il mio paese, con te cado, cado
Ti guardo inspirare
Ti guardo espirare, espirare
Solo venti minuti di sonno
ma sogni una qualche epifania
un solo barlume di sollievo
Language: French
Version française – ÉPIPHANIE – Marco Valdo M.I. – 2024
d’après la traduction italienne de Lorenzo Masetti – EPIFANIA – 2024
Chanson étazunienne (Angloétazunien) – Epiphany - Taylor Swift - 2020
Écrite par Aaron Dessner (The National) & Taylor Swift
Commentaire de Lorenzo Masetti – 27 juillet 2020
Le nouvel album de Taylor Swift marque un tournant par rapport à la pop de ses deux précédents albums, revenant en quelque sorte à sa vieille passion de la country mais avec des atmosphères absolument minimalistes et éthérées grâce aussi aux arrangements d'Aaron Dessner de The National. L'album a été entièrement conçu et enregistré à distance pendant le lockdown.
Cette"épiphanie" commence par une dédicace au grand-père de Taylor, Archie Dean Swift (1914-1998), qui a participé à la campagne de Guadalcanal en 1942. L'expérience de la guerre, avec la privation de sommeil, fait rêver, dans les rares moments de repos, à quelque chose qui donne un sens aux horreurs vécues par le soldat. Il en va de même pour les médecins et les infirmières qui se sont retrouvés en première ligne lors de l'épidémie de Coronavirus. La chanson est aussi un hommage sincère à tous les travailleurs de la santé.
La comparaison entre les deux situations peut paraître saugrenue, pourtant la pandémie de Coronavirus a déjà fait au moins 148 000 victimes aux États-Unis ( Le commentaire d’origine date de 2020 ; en août 2023 : on recensait plus de 1.100.000 morts dus au Covid aux USA), soit près de trois (vingt ?) fois le nombre de victimes - alliées et japonaises - de la bataille de Guadalcanal.
d’après la traduction italienne de Lorenzo Masetti – EPIFANIA – 2024
Chanson étazunienne (Angloétazunien) – Epiphany - Taylor Swift - 2020
Écrite par Aaron Dessner (The National) & Taylor Swift
Commentaire de Lorenzo Masetti – 27 juillet 2020
Le nouvel album de Taylor Swift marque un tournant par rapport à la pop de ses deux précédents albums, revenant en quelque sorte à sa vieille passion de la country mais avec des atmosphères absolument minimalistes et éthérées grâce aussi aux arrangements d'Aaron Dessner de The National. L'album a été entièrement conçu et enregistré à distance pendant le lockdown.
Cette"épiphanie" commence par une dédicace au grand-père de Taylor, Archie Dean Swift (1914-1998), qui a participé à la campagne de Guadalcanal en 1942. L'expérience de la guerre, avec la privation de sommeil, fait rêver, dans les rares moments de repos, à quelque chose qui donne un sens aux horreurs vécues par le soldat. Il en va de même pour les médecins et les infirmières qui se sont retrouvés en première ligne lors de l'épidémie de Coronavirus. La chanson est aussi un hommage sincère à tous les travailleurs de la santé.
La comparaison entre les deux situations peut paraître saugrenue, pourtant la pandémie de Coronavirus a déjà fait au moins 148 000 victimes aux États-Unis ( Le commentaire d’origine date de 2020 ; en août 2023 : on recensait plus de 1.100.000 morts dus au Covid aux USA), soit près de trois (vingt ?) fois le nombre de victimes - alliées et japonaises - de la bataille de Guadalcanal.
ÉPIPHANIE
Tiens ton casque, tiens ta vie, fils ;
C’est juste une blessure, voici ton fusil.
Il rampe sur la plage maintenant :
"Monsieur, je crois qu'il se vide de son sang"
Certaines choses, jamais on ne les dit.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer, expirer, tu expires.
Ça, la médecine ne l'a pas enseigné.
Une fille, une mère de quelqu'un maintenant
Tient ta main à travers le plastique transparent.
"Doc, je pense qu'elle est en train de s'effondrer" ;
Il y a des choses dont on ne peut pas parler.
Vingt minutes endormi,
Tu rêves d’une épiphanie,
D'un seul clin d'œil de répit
Pour donner un sens à ceci.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer, expirer, tu expires.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer,
Je te regarder expirer, expirer.
Vingt minutes endormi,
Tu rêves d’une épiphanie,
D'un seul clin d'œil de répit.
Tiens ton casque, tiens ta vie, fils ;
C’est juste une blessure, voici ton fusil.
Il rampe sur la plage maintenant :
"Monsieur, je crois qu'il se vide de son sang"
Certaines choses, jamais on ne les dit.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer, expirer, tu expires.
Ça, la médecine ne l'a pas enseigné.
Une fille, une mère de quelqu'un maintenant
Tient ta main à travers le plastique transparent.
"Doc, je pense qu'elle est en train de s'effondrer" ;
Il y a des choses dont on ne peut pas parler.
Vingt minutes endormi,
Tu rêves d’une épiphanie,
D'un seul clin d'œil de répit
Pour donner un sens à ceci.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer, expirer, tu expires.
Avec toi je sers, avec toi je tombe, tombe ;
Je te regarde inspirer,
Je te regarder expirer, expirer.
Vingt minutes endormi,
Tu rêves d’une épiphanie,
D'un seul clin d'œil de répit.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2024/4/17 - 17:27
Riccardo Venturi - 2024/4/30 - 23:36
Tra tutti questi discorsi, non ho mica capito se a Alberto Piccinini questo nuovo album è garbato oppure no. A me in generale mi ha fatto abbastanza addormentare, anche se per motivi famigliari sono stato costretto ad ascoltarlo. Salvo solo la title track e "Florida" grazie alla voce di Florence + The Machine che porta un po' di brio.
Lorenzo - 2024/5/1 - 00:28
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Note for non-Italian users: Sorry, though the interface of this website is translated into English, most commentaries and biographies are in Italian and/or in other languages like French, German, Spanish, Russian etc.
Written By Aaron Dessner (The National) & Taylor Swift
Album: Folklore
Il nuovo disco di Taylor Swift segna una svolta rispetto al pop dei due album precedenti, ritornando in un certo senso alla sua vecchia passione del country ma con atmosfere assolutamente minimaliste e eteree grazie anche agli arrangiamenti di Aaron Dessner dei The National. Il disco è stato interamente concepito e registrato a distanza durante il lockdown.
Questa "epiphany" parte da una dedica al nonno di Taylor, Archie Dean Swift (1914-1998) che partecipò nel 1942 alla campagna di Guadalcanal. L'esperienza della guerra, con la privazione del sonno, fa sognare nei rari momenti di riposo a qualcosa che dia un senso agli orrori vissuti dal soldato. E lo stesso succede a medici infermieri che si sono trovati in prima linea durante l'epidemia di Coronavirus. La canzone è anche un sincero tributo a tutti gli operatori sanitari.
Il paragone tra le due situazioni potrebbe apparire azzardato, eppure la pandemia di Coronavirus ha già provocato negli Stati Uniti almeno 148000 morti, cioè quasi il triplo delle vittime - tra alleati e giapponesi - della battaglia di Guadalcanal.