Or che Mussolini
non si frutta più
L'hanno messo in alto
con la testa in giù
Tutta Milano l'ammirò
ma di sputacchi l'onorò
Questa è la giusta fin
del boia Mussolin.
Venticinque anni
solo lui parlò
E la folla schiava
per forza l'ascoltò
Sempre voleva aveva ragion
il delinquente di quel buffon
Or già non parla più
e sta col bel salum
Col manganello
con l'olio di ricinin
Conquistò il potere
il boia del Mussolin
Ma chi sorgevan suo rival
li eliminava col pugnal
L'infame traditor,
di belva aveva il cuor
Quando Mussolino
all'inferno andò
Appena che lo vide
il diavolo scappò
Subito un fascio rifondò
e duce ancora si proclamò
Stringendo con ardor
la sua Petacci al cuor
E la gerarchia
l'han raggiunto già
Che la maggior parte
son ancor di qua
Volevan viver di leon
ed ora fanno i pecoron
Ma andate per piacer
del vostro conto fier
non si frutta più
L'hanno messo in alto
con la testa in giù
Tutta Milano l'ammirò
ma di sputacchi l'onorò
Questa è la giusta fin
del boia Mussolin.
Venticinque anni
solo lui parlò
E la folla schiava
per forza l'ascoltò
Sempre voleva aveva ragion
il delinquente di quel buffon
Or già non parla più
e sta col bel salum
Col manganello
con l'olio di ricinin
Conquistò il potere
il boia del Mussolin
Ma chi sorgevan suo rival
li eliminava col pugnal
L'infame traditor,
di belva aveva il cuor
Quando Mussolino
all'inferno andò
Appena che lo vide
il diavolo scappò
Subito un fascio rifondò
e duce ancora si proclamò
Stringendo con ardor
la sua Petacci al cuor
E la gerarchia
l'han raggiunto già
Che la maggior parte
son ancor di qua
Volevan viver di leon
ed ora fanno i pecoron
Ma andate per piacer
del vostro conto fier
Contributed by Renato Stecca - 2007/7/5 - 23:20
Language: French
Version française – LA CHANSON DU DUCE – Marco valdo M.I. – 2011
Chanson italienne – Or che Mussolini – Anonyme
Sur l'air de Lili Marlène
Toujours par le biais d'e-mule, j'ai trouvé cette chanson-là ; elle est chantée par une personne âgée (elle semble un peu joyeuse) et probablement, c'est un enregistrement fait par un chercheur de chants partisans. J'ai transcrit le texte comme je l'ai compris (il y a un passage incompréhensible – à l'audition). Je vous l'envoie par curiosité... (Renato Stecca)
La chanson a ensuite été reprise par le Deposito, notre site jumeau, avec ce commentaire :
« Le chant, si je me souviens bien des notes de couverture, est d'un chantauteur anonyme de la seconde moitié des années 40. Je ne dispose pas actuellement du fichier audio et je ne peux vérifier certaine lacune. Donc, je le fais de mémoire. Le dernier vers de la seconde strophe a son final en milanais et il me semble que c'est quelque chose comme « il est comme un salami », en référence probablement à la façon dont il fut pendu la tête en bas, comme on fait pour les salamis. Dans l'enregistrement sur le vif, effectué durant un banquet, on entend le chanteur qui demande un peu de silence avant de commencer et dit, en dialecte, « voici la chanson du Duce ». Si je ne me trompe le second vers de l'ultime strophe « Même si pour la plus grande partie - Ils sont encore en vie. » est soulignée par le chanteur avec une phrase en dialecte et en tapant du poing sur la table, pour réclamer une « solution » pour ceux qui sont encore en vie... L'enregistrement sur le vif est seulement chanté, tandis que les accords de Lili Marlène sont ajoutés par moi...
Chanson italienne – Or che Mussolini – Anonyme
Sur l'air de Lili Marlène
Toujours par le biais d'e-mule, j'ai trouvé cette chanson-là ; elle est chantée par une personne âgée (elle semble un peu joyeuse) et probablement, c'est un enregistrement fait par un chercheur de chants partisans. J'ai transcrit le texte comme je l'ai compris (il y a un passage incompréhensible – à l'audition). Je vous l'envoie par curiosité... (Renato Stecca)
La chanson a ensuite été reprise par le Deposito, notre site jumeau, avec ce commentaire :
« Le chant, si je me souviens bien des notes de couverture, est d'un chantauteur anonyme de la seconde moitié des années 40. Je ne dispose pas actuellement du fichier audio et je ne peux vérifier certaine lacune. Donc, je le fais de mémoire. Le dernier vers de la seconde strophe a son final en milanais et il me semble que c'est quelque chose comme « il est comme un salami », en référence probablement à la façon dont il fut pendu la tête en bas, comme on fait pour les salamis. Dans l'enregistrement sur le vif, effectué durant un banquet, on entend le chanteur qui demande un peu de silence avant de commencer et dit, en dialecte, « voici la chanson du Duce ». Si je ne me trompe le second vers de l'ultime strophe « Même si pour la plus grande partie - Ils sont encore en vie. » est soulignée par le chanteur avec une phrase en dialecte et en tapant du poing sur la table, pour réclamer une « solution » pour ceux qui sont encore en vie... L'enregistrement sur le vif est seulement chanté, tandis que les accords de Lili Marlène sont ajoutés par moi...
LA CHANSON DU DUCE
À présent que Mussolini
A perdu son aura
Haut et court, on l'a mis
Avec la tête en bas.
Tout Milan l'admire
Et de crachats l'honore
Telle est la juste fin
Du bourreau mussolin.
Depuis vingt-cinq années
Lui seul parlait
Et la foule esclavagée
De force l'écoutait.
Il voulait toujours avoir raison
Ce délinquant, ce bouffon
Mais voilà, il ne parle plus
Avec sa tête plus bas que son cul.
Avec sa bande noire,
Avec la matraque et l'huile de ricin
Il conquit le pouvoir
Ce bourreau mussolin.
Celui qui osait le dénoncer
Finissait poignardé
Ce traître infernal
Avait l'âme d'un chacal.
Le diable s'est enfui
Quand Mussolini
En enfer arriva
À l'instant, un fascio, il recréa
Et Duce à nouveau, il se proclama
Serrant avec ardeur
Sa Pétasse sur son cœur.
Et les hiériarques déjà s'empressent
Se bousculent en serrant les fesses
Même si pour la plus grande partie
Ils sont encore en vie.
Ils ont voulu vivre en lions
Et voilà qu'ils font les moutons.
Mais allez-y vite s'il vous plaît
Auprès de votre comte replet.
À présent que Mussolini
A perdu son aura
Haut et court, on l'a mis
Avec la tête en bas.
Tout Milan l'admire
Et de crachats l'honore
Telle est la juste fin
Du bourreau mussolin.
Depuis vingt-cinq années
Lui seul parlait
Et la foule esclavagée
De force l'écoutait.
Il voulait toujours avoir raison
Ce délinquant, ce bouffon
Mais voilà, il ne parle plus
Avec sa tête plus bas que son cul.
Avec sa bande noire,
Avec la matraque et l'huile de ricin
Il conquit le pouvoir
Ce bourreau mussolin.
Celui qui osait le dénoncer
Finissait poignardé
Ce traître infernal
Avait l'âme d'un chacal.
Le diable s'est enfui
Quand Mussolini
En enfer arriva
À l'instant, un fascio, il recréa
Et Duce à nouveau, il se proclama
Serrant avec ardeur
Sa Pétasse sur son cœur.
Et les hiériarques déjà s'empressent
Se bousculent en serrant les fesses
Même si pour la plus grande partie
Ils sont encore en vie.
Ils ont voulu vivre en lions
Et voilà qu'ils font les moutons.
Mais allez-y vite s'il vous plaît
Auprès de votre comte replet.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2011/7/23 - 20:48
Non permetto che si chiami mio nonno assassino (Alessandra)
http://www.stopcensura.com/2011/07/org...
http://www.stopcensura.com/2011/07/org...
Questa stronza non tanto per il suo cognome ma per essere piu fascia di suo nonno non dovrebbe neanche sedere in Parlamento!
Francesca - 2011/7/24 - 08:34
Se è per questo, Alessandra è in "ottima" e numerosa compagnia, cara Francesca…(Il simpaticissimo 'vecchio ubriacone' della canzone sopra, ripete per ben due volte "che la maggior parte son ancor di qua".
Lucidissimo, benché ubriaco..:)
Lucidissimo, benché ubriaco..:)
giorgio - 2011/7/24 - 09:37
Non permetti che si chiami tuo nonno assassino, Alessandra?
Lo vogliamo ancora chiamare salvatore dell'Italia? Gli vogliamo dedicare una strada, una piazza?
Così per pacificare, e superare vecchi rancori ormai "privi di senso"?
Lo vogliamo ancora chiamare salvatore dell'Italia? Gli vogliamo dedicare una strada, una piazza?
Così per pacificare, e superare vecchi rancori ormai "privi di senso"?
Alberto - 2011/8/1 - 07:31
"A Gramsci che muor prigionero separato dai suoi, dalla famiglia, dagli amici, inviamo il nostro doloroso omaggio d'affetto, di fedeltà e di rispetto. -- e la nostra maledizione al carceriere suo, tiranno del suo popolo, trucidatore dei popoli liberi di Spagna e di Etiopia. Che la vindice istoria scriva a lettere di fuoco il ricordo sacro delle nobili vittime e l'infamia del carnefice!"
ROMAIN ROLLAND
Si Mussolini, según esta señora, no era un asesino, me pregunto que hacían sus tropas en Etiopía y en mi propio país, España...
ROMAIN ROLLAND
Si Mussolini, según esta señora, no era un asesino, me pregunto que hacían sus tropas en Etiopía y en mi propio país, España...
Gustavo Sierra Fernández - 2011/8/15 - 14:20
Vi spiego come ho trovato il testo di questa canzone. Oggi mio padre (che è del 1933), a pranzo a casa mia, ha raccontato che, nel 1945, quando andava il pomeriggio a Porta Palazzo (dove al mattino c'era il mercato), assisteva agli spettacoli di un cantastorie che raccontava le vicende del periodo in musica, cambiando le parole di canzoni famose del periodo, e si è ricordato del verso di una di queste, sulla musica di "Lili Marlene", "Quando mussolini all'inferno andò". Ho aperto google ed ho trovato questo testo come secondo risultato, gliel'ho fatto leggere e, più o meno, se lo ricordava tutto così. Ne deduco quindi (ma ovviamente non ho prove se non la memoria di mio padre) che dovrebbe essere opera di questo cantastorie torinese, a meno che....non l'abbia a sua volta ascoltata da qualcun altro!
Vito Vita - 2012/3/25 - 21:46
C'è un tempo per tutto. Io per esempio quando sarò vecchio , sempre che ci arrivi, voglio fare le cose che quell'età mi permetterà tipo andare al campo con la Graziella (la bici non la badante sudamericana) ad annaffiare le piante e dare da mangiare a polli e coniglioli poi prima di tornare a casa passare dal circolino a bere il bianchino fare due partite a carte con il giusto corredo di imprecazioni che ci vuole, berciare con altri tre duri d'orecchie coetanei sulla Fiorentina e sulla Juve che ruba , purtroppo certe cose non cambieranno neanche tra 40 anni , poi un brodino e a letto.
Ed invece certi vecchi , tranquilli non ce l'ho con i vostri santi nonni che vi venivano a pigliare all'asilo e vi hanno tirato su sani a forza di scapaccioni e covaccini con i ciccioli del Santoni, certi vecchi non si arrendano e nonostante che l'arteriosclerosi galoppi come se fosse al Visarno continuano ad occupare posti di potere invece che seggiole al circolo e finiscono a dire sfondoni del tipo "A parte le leggi razziali Mussolini è stato un buon capo di Stato".
Ed invece certi vecchi , tranquilli non ce l'ho con i vostri santi nonni che vi venivano a pigliare all'asilo e vi hanno tirato su sani a forza di scapaccioni e covaccini con i ciccioli del Santoni, certi vecchi non si arrendano e nonostante che l'arteriosclerosi galoppi come se fosse al Visarno continuano ad occupare posti di potere invece che seggiole al circolo e finiscono a dire sfondoni del tipo "A parte le leggi razziali Mussolini è stato un buon capo di Stato".
Fasciano - 2013/1/27 - 14:50
"Si Mussolini no era un asesino, me pregunto que hacían sus tropas en Etiopía y en mi propio país, España..." (Gustavo Sierra Fernández)
"... certi vecchi che continuano ad occupare posti di potere invece che seggiole al circolo e finiscono a dire sfondoni del tipo 'A parte le leggi razziali Mussolini è stato un buon capo di Stato'." (Fasciano)
Miguel Hernández, dalla raccolta “Viento del pueblo. Poesía en la guerra”, 1937.
CENICIENTO MUSSOLINI
Ven a Guadalajara, dictador de cadenas,
carcelaria mandíbula de canto:
verás la retirada miedosa de tu hienas,
verás el apogeo del espanto.
Rumorosa provincia de colmenas,
la patria del panal estremecido,
la dulce Alcarria, amarga como el llanto,
amarga te ha sabido.
Ven y verás, mortífero bandido,
ruedas de tus cañones,
banderas de tu ejército, carne de tus soldados,
huesos de tus legiones,
trajes y corazones destrozados.
Una extensión de muertos humeantes:
muertos que humean ante la colina,
muertos bajo la nieve,
muertos sobre los páramos gigantes,
muertos junto a la encina,
muertos dentro del agua que les llueve.
Sangre que no se mueve
de convertida en hielo.
Vuela sin pluma un ala numerosa,
rojo y audaz, que abarca todo el cielo
y abre a cada italiano la explosión de una fosa.
Un titánico vuelo
de aeroplanos de España
te vence, te tritura,
ansiosa telaraña,
con su majestuosa dentadura.
Ven y verás sobre la gleba oscura
alzarse como un fósforo glorioso,
sobreponerse al hambre, levantarse del barro,
desprenderse del barro con emoción y brío
vívidas esculturas sin reposo,
españoles del bronce más bizarro,
con el cabello blanco de rocío.
Los verás rebelarse contra el frío,
de no beber la boca dilatada,
mas vencida la sed con la sonrisa:
de no dormir extensa la mirada,
y destrozada a tiros la camisa.
Manda plomo y acero
en grandes emisiones combativas,
con esa voluntad de carnicero
digna de que la entierren las más sucias salivas.
Agota las riquezas italianas,
la cantidad preciosa de sus seres,
deja exhaustas sus minas, sin nadie sus ventanas,
desiertos sus arados y mudos sus talleres.
Enviuda y desangra sus mujeres:
nada podrás contra este pueblo mío,
tan sólido y tan alto de cabeza,
que hasta sobre la muerte mueve su poderío,
que hasta del junco saca fortaleza.
Pueblo de Italia, un hombre te destroza:
repudia su dictamen con un gesto infinito.
Sangre unánime viertes que ni roza,
ni da en su corazón de teatro y granito.
Tus muertos callan clamorosamente
y te indican un grito
liberador, valiente.
Dictador de patíbulos, morirás bajo el diente
de tu pueblo y de miles.
Ya tus mismos cañones van contra tus soldados,
y alargan hacia ti su hierro los fusiles
que contra España tienes vomitados.
Tus muertos a escupirnos se levanten:
a escupirnos el alma se levanten los nuestros
de no lograr que nuestros vivos canten
la destrucción de tantos eslabones siniestros.
"... certi vecchi che continuano ad occupare posti di potere invece che seggiole al circolo e finiscono a dire sfondoni del tipo 'A parte le leggi razziali Mussolini è stato un buon capo di Stato'." (Fasciano)
Miguel Hernández, dalla raccolta “Viento del pueblo. Poesía en la guerra”, 1937.
CENICIENTO MUSSOLINI
Ven a Guadalajara, dictador de cadenas,
carcelaria mandíbula de canto:
verás la retirada miedosa de tu hienas,
verás el apogeo del espanto.
Rumorosa provincia de colmenas,
la patria del panal estremecido,
la dulce Alcarria, amarga como el llanto,
amarga te ha sabido.
Ven y verás, mortífero bandido,
ruedas de tus cañones,
banderas de tu ejército, carne de tus soldados,
huesos de tus legiones,
trajes y corazones destrozados.
Una extensión de muertos humeantes:
muertos que humean ante la colina,
muertos bajo la nieve,
muertos sobre los páramos gigantes,
muertos junto a la encina,
muertos dentro del agua que les llueve.
Sangre que no se mueve
de convertida en hielo.
Vuela sin pluma un ala numerosa,
rojo y audaz, que abarca todo el cielo
y abre a cada italiano la explosión de una fosa.
Un titánico vuelo
de aeroplanos de España
te vence, te tritura,
ansiosa telaraña,
con su majestuosa dentadura.
Ven y verás sobre la gleba oscura
alzarse como un fósforo glorioso,
sobreponerse al hambre, levantarse del barro,
desprenderse del barro con emoción y brío
vívidas esculturas sin reposo,
españoles del bronce más bizarro,
con el cabello blanco de rocío.
Los verás rebelarse contra el frío,
de no beber la boca dilatada,
mas vencida la sed con la sonrisa:
de no dormir extensa la mirada,
y destrozada a tiros la camisa.
Manda plomo y acero
en grandes emisiones combativas,
con esa voluntad de carnicero
digna de que la entierren las más sucias salivas.
Agota las riquezas italianas,
la cantidad preciosa de sus seres,
deja exhaustas sus minas, sin nadie sus ventanas,
desiertos sus arados y mudos sus talleres.
Enviuda y desangra sus mujeres:
nada podrás contra este pueblo mío,
tan sólido y tan alto de cabeza,
que hasta sobre la muerte mueve su poderío,
que hasta del junco saca fortaleza.
Pueblo de Italia, un hombre te destroza:
repudia su dictamen con un gesto infinito.
Sangre unánime viertes que ni roza,
ni da en su corazón de teatro y granito.
Tus muertos callan clamorosamente
y te indican un grito
liberador, valiente.
Dictador de patíbulos, morirás bajo el diente
de tu pueblo y de miles.
Ya tus mismos cañones van contra tus soldados,
y alargan hacia ti su hierro los fusiles
que contra España tienes vomitados.
Tus muertos a escupirnos se levanten:
a escupirnos el alma se levanten los nuestros
de no lograr que nuestros vivos canten
la destrucción de tantos eslabones siniestros.
Bernart - 2013/10/16 - 14:27
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Sempre tramite e-mule ho trovato questa roba qua: è cantata da una persona anziana (sembra un po' brilla) e probabilmente è una registrazione fatta da qualche ricercatore di canti partigiani. Ho trascritto il testo per come lo capisco (qualche passaggio è proprio incomprensibile). Ve lo mando per curiosità. [Renato Stecca]
"Il canto, se non ricordo male le note di copertina, è di un anonimo cantastorie della seconda metà degli anni '40. Ora non ho il file audio e non posso verificare alcune lacune. Dunque vado a memoria. L'ultimo verso della seconda strofa ha il finale in milanese, e mi pare sia qualcosa del tipo "el sta com bel salum", riferimento probabile al suo essere appeso a testa in giù, come è uso fare coi salumi. Nella registrazione di campo, effettuata durante un banchetto, si sente l'informatore che chiede un po' di silenzio prima di iniziare e dice, in dialetto "questa è la canzon del duce". Se non ricordo male il secondo verso dell'ultima strofa "che la maggior parte son ancor di qua" viene sottolineato dall'informatore con una frase in dialetto, e battendo i pugni sul tavolo, come a richiedere una "soluzione" per quelli che sono "ancor di qua"... La registrazione di campo è solo cantata mentre gli accordi di Lili Marlen sono una mia semplificazione."