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Il topo (Signore delle Fogne)

Ivan Graziani
Langue: italien


Ivan Graziani

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[1994]
Parole e musica di Ivan Graziani
Nell'album "Malelingue"

Malelingue
Sono un topaccio dei bassifondi
Mangio di tutto, anche poliuretano
E fu così che andando a caccia
Mi sono ritrovato in una casa signorile

Ma chi l'avrebbe detto
Chi sospettava
Che stavo andando
Proprio incontro al mio destino

Mi hanno incastrato
Intrappolato
Poi mi han buttato
Nella gabbia di un pitone vivo

Lui si è mosso
Appena mi ha visto
Ero proprio io
La sua colazione

Lui mi voleva
Ipnotizzare
Poi l'ho sentito
Che era pronto ad attaccare

Signore delle fogne
Aiutami tu
Perché devo morire
Dimmelo tu, proprio quaggiù?

Coi gatti e con le scope
Me la cavo, lo sai
Ma un pitone e chi l'ha visto mai?
Io mai!

Lui si dondola un po', arretro
Poi salta dritto su me, mi sposto
Picchia duro la testa sul vetro
Resta stecchito lì, contorto

Con tutta calma
L'ho divorato
Non proprio tutto
Non sono mica esagerato

E i suoi padroni
Che bella festa
Hanno trovato
Il pitone senza testa
Il pitone senza testa
Senza testa

Signore delle fogne
Sei grande, lo sai!
C'è una logica in tutto
Anche se tu, tu non la vuoi

C'è chi vuol fregare
E rimane fregato
Come quel pitone
Che ho divorato, digerito...

envoyé par Bernart Bartleby - 23/2/2020 - 21:32



Langue: français

Version française – LE RAT (SEIGNEUR DES ÉGOUTS) – Marco Valdo M.I. – 2020
Chanson italienne – Il topo (Signore delle Fogne) – Ivan Graziani – 1994
Paroles et musique : Ivan Graziani
Album "Malelingue"

confrontation d'un python et d'un rongeur
LE RAT (SEIGNEUR DES ÉGOUTS)

Je suis un rat des bas-fonds,
Je mange de tout, même du carton
Et c’est ainsi qu’allant à la chasse,
Je me suis retrouvé dans une maison bourgeoise

Mais qui aurait pensé,
Qui l’aurait soupçonné
Que j’allais mon chemin
À l’encontre de mon destin ?

J’ai été piégé, capturé,
Enfermé sur le champ.
Puis, on m’a jeté
Dans la cage d’un python vivant.

Il a bougé.
Dès qu’il m’a vu,
J’étais devenu
Son petit déjeuner.

Lui aurait voulu
M’hypnotiser,
J’ai soudain perçu
Qu’il était prêt à attaquer.

Seigneur des égouts,
Aidez-moi, vous.
Pourquoi moi, je dois mourir
Maintenant, dites-moi ?

Avec les chats et les balais
Je m’en sors, vous le savez.
Mais un python, comment se sauver ?
Qui l’a su ? Moi, jamais !

Il se balance un peu, recule.
Puis il saute sur moi, je m’écarte
Il cogne fort sa tête sur la vitre
Allongé là, tordu, ridicule.

Très calmement,
Je l’ai dévoré vraiment
Mais pas tout entier,
Je n’ai pas exagéré.

Et ses maîtres étonnés –
Quelle belle fête ! –
Ont retrouvé
Le python sans tête,
Le python sans tête,
Sans tête.

Seigneur des égouts,
Vous êtes grand, vous le savez !,
Il y a une logique à tout,
Même si vous, vous la refusez.

Il y a celui qui veut tricher
Et qui se fait avoir,
Comme ce python noir
Que j’ai dévoré, digéré.

envoyé par Marco Valdo M.I. - 5/3/2020 - 11:03




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