Mitraille amie qui fauche
L’herbe verte sous tes pieds
Pouvoir maudit tu fauches
Une révolution aux burkinabè
Frère d’armes qui a trahi
Te voilà ainsi couronné
Par cet allié qui t’a assis
Sur ton trône… d’aliéné
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing de la LIBERTÉ
Blanche est la fausse colombe
Qui par orgueil ou vanité
Commet son crime tapie dans l’ombre
D’un fratricide… bien ordonné
Noir est ton sang qui coule
Le long de ces rues sans pavés
Abreuvant cette terre ocre rouge
De ton esprit… de liberté
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing dans la DIGNITÉ
Mais si les corps des hommes trépassent
Et peuvent se faire désintégrer
L’esprit de l’homme intègre dépasse
Tous les mensonges du passé
Pâles pouvoirs, sombres cloaques
Bientôt sur vos décombres fermentés
Vous recevrez la grande claque
Pour vos longs règnes usurpés
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing pour l’ÉGALITÉ
Alors TOM SANK, tu ne seras plus très loin
D’être ressuscité
Tous unis en levant le poing
… le poing de la VÉRITÉ
L’herbe verte sous tes pieds
Pouvoir maudit tu fauches
Une révolution aux burkinabè
Frère d’armes qui a trahi
Te voilà ainsi couronné
Par cet allié qui t’a assis
Sur ton trône… d’aliéné
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing de la LIBERTÉ
Blanche est la fausse colombe
Qui par orgueil ou vanité
Commet son crime tapie dans l’ombre
D’un fratricide… bien ordonné
Noir est ton sang qui coule
Le long de ces rues sans pavés
Abreuvant cette terre ocre rouge
De ton esprit… de liberté
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing dans la DIGNITÉ
Mais si les corps des hommes trépassent
Et peuvent se faire désintégrer
L’esprit de l’homme intègre dépasse
Tous les mensonges du passé
Pâles pouvoirs, sombres cloaques
Bientôt sur vos décombres fermentés
Vous recevrez la grande claque
Pour vos longs règnes usurpés
TOM SANK, tu voyais si loin
TOM SANK, tu étais si près
Jusqu’au bout, en levant le poing
… le poing pour l’ÉGALITÉ
Alors TOM SANK, tu ne seras plus très loin
D’être ressuscité
Tous unis en levant le poing
… le poing de la VÉRITÉ
envoyé par Dq82 - 26/4/2018 - 12:48
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Burkin’Yam
Sur une rythmique reggae portée par une mélodie de balafon et des chœurs très dynamiques, Alex Parossi rend un vibrant hommage à Thomas Sankara. Sa façon d’écrire et de chanter fait de suite penser à Claude Nougaro, jouant avec les mots et les intonations.
thomassankara.net