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La mienne à moi

Jean Arnulf
Langue: français



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[1966]
Parole di Martine Merri, compagna di Arnulf
Musica di Jean Arnulf

La mienne à moi
La mienne à moi, tous mes amours
C'est sûr, à nulle autre ressemble
Depuis qu'on s'est connu un jour
On a toujours dormi ensemble

Notre amour est comme un été
Qui n'aurait jamais de sommeil
Notre amour est comme un été
Qui n'aurait jamais de sommeil
Et ce serait bête à pleurer
Qu'on nous cache notre soleil

Et j'entends venir les tambours
Il me faut partir à la guerre
Et j'entends venir les tambours
Qui rigolent de mes amours

La mienne à moi a deux bras blancs
Où mes nuits s'en vont en voyage
Dans son regard deux océans
Et j'y refais toujours naufrage

Le vent d'hiver l'a apportée
Transie sous la neige du ciel
Le vent d'hiver l'a apportée
Transie sous la neige du ciel
Et ce serait bête à pleurer
Qu'on casse mon plus beau Noël

La mienne à moi m'a dit un jour
"Si tu pars, j'en mourrai de peine"
Sans la mienne, se meurt le jour
C'est vrai, Monsieur le capitaine

Une seule vie m'est donnée
Je viens juste d'avoir vingt ans
Une seule vie m'est donnée
Je viens juste d'avoir vingt ans
Et ce serait bête à pleurer
Qu'on nous vole notre printemps

J'ai laissé passer les tambours
Et je n'irai pas à la guerre
J'ai laissé passer les tambours
Qui résonnent comme vautours

La mienne à moi, tous mes amours
Ils sont partis, sèche tes larmes
Nous avons jusqu'au petit jour
Pour courir devant les gendarmes

Je t'aime et on est bien caché
Nos baisers sont comme le miel
Je t'aime et on est bien caché
Nos baisers sont comme le miel
Et c'est trop bête de pleurer
Regarde tomber le soleil

envoyé par Bernart Bartleby - 20/3/2018 - 09:53




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