Il avait nom Trump de Moumout, okay, okay !
Tout le monde ne peut pas s’appeler Johnny, okay, okay !
Il avait nom Trump de Moumout, okay, okay !
Tout le monde ne peut pas s’appeler Johnny, okay, okay !
En le regardant avec un œil de poète,
On aurait pu croire à son frontal de prophète,
Qu’il a les eaux du Mississippi dans la tête,
Trump de Moumout !
Mais que le monde lui pardonne, okay, okay !
Ce sont les eaux du cabinet, okay, okay !
Que le monde lui pardonne, okay, okay !
Ce sont les eaux du cabinet, okay, okay !
Il proclame à sons de trompe à tous les carrefours :
« Il n’y a que moi qui sais bien faire l’amour !
La virilité, c’est une affaire de balourd ! »,
Trump de Moumout !
Il poursuit les demoiselles, okay, okay !
De ses obsessions sexuelles, okay, okay !
Et sur les femmes nues des télés, okay, okay !
Il entraîne sa rigidité, okay, okay !
Petit à petit, okay, okay !
On a tout su de lui, okay, okay !
On a su qu’il était enfant de l’Amérique,
Qu’il est incapable de freiner sa trique
Face à une actrice pornographique,
Trump de Moumout !
Qu’il a un de ses amis, okay, okay !
Très haut placé en Russie, okay, okay !
Et que les jours de pénurie, okay, okay !
Il cherche des crédits chez lui, okay, okay !
C’est avec l’aide de cet antipathique,
Qu’il fit une campagne politique
Et devint président des États d’Amérique,
Trump de Moumout !
Son grand-père était un Allemand, okay, okay !
Qui avait émigré il y a longtemps, okay, okay !
Son grand-père était un Allemand, okay, okay !
Qui avait émigré il y a longtemps, okay, okay !
Quand il rendra son mandat national
Et foutra aux gens une paix royale,
Le monde oubliera ce pantin infernal,
Trump de Moumout !
Alors le peuple en rigolant, okay, okay !
Elira son remplaçant, okay, okay !
Alors sa veuve en souriant, okay, okay !
Elira son remplaçant, okay, okay !
Tout le monde ne peut pas s’appeler Johnny, okay, okay !
Il avait nom Trump de Moumout, okay, okay !
Tout le monde ne peut pas s’appeler Johnny, okay, okay !
En le regardant avec un œil de poète,
On aurait pu croire à son frontal de prophète,
Qu’il a les eaux du Mississippi dans la tête,
Trump de Moumout !
Mais que le monde lui pardonne, okay, okay !
Ce sont les eaux du cabinet, okay, okay !
Que le monde lui pardonne, okay, okay !
Ce sont les eaux du cabinet, okay, okay !
Il proclame à sons de trompe à tous les carrefours :
« Il n’y a que moi qui sais bien faire l’amour !
La virilité, c’est une affaire de balourd ! »,
Trump de Moumout !
Il poursuit les demoiselles, okay, okay !
De ses obsessions sexuelles, okay, okay !
Et sur les femmes nues des télés, okay, okay !
Il entraîne sa rigidité, okay, okay !
Petit à petit, okay, okay !
On a tout su de lui, okay, okay !
On a su qu’il était enfant de l’Amérique,
Qu’il est incapable de freiner sa trique
Face à une actrice pornographique,
Trump de Moumout !
Qu’il a un de ses amis, okay, okay !
Très haut placé en Russie, okay, okay !
Et que les jours de pénurie, okay, okay !
Il cherche des crédits chez lui, okay, okay !
C’est avec l’aide de cet antipathique,
Qu’il fit une campagne politique
Et devint président des États d’Amérique,
Trump de Moumout !
Son grand-père était un Allemand, okay, okay !
Qui avait émigré il y a longtemps, okay, okay !
Son grand-père était un Allemand, okay, okay !
Qui avait émigré il y a longtemps, okay, okay !
Quand il rendra son mandat national
Et foutra aux gens une paix royale,
Le monde oubliera ce pantin infernal,
Trump de Moumout !
Alors le peuple en rigolant, okay, okay !
Elira son remplaçant, okay, okay !
Alors sa veuve en souriant, okay, okay !
Elira son remplaçant, okay, okay !
envoyé par Marco Valdo M.I. - 15/2/2018 - 19:06
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Chanson française – Trump de Moumout – Marco Valdo M.I. – 2018
Salut à toi, Marco Valdo M.I. mon ami, quel bon vent t’amène ici aujourd’hui ?
Salut à toi, mon ami Lucien l’âne parvenu sur tes petits sabots depuis la plus haute Antiquité, comme je l’avais annoncé l’autre jour, j’ai achevé cette chanson « Trump de Moumout ». L’idée m’en était venue en me remémorant la chanson de Georges Brassens intitulée « Corne d’Aurochs »; je m’étais attelé à en faire une parodie afin de stigmatiser comme il se doit un certain monsieur Trump, éminent porteur de moumoute ; ici, nommé Moumout Trump. Il me plaît de préciser qu’une moumoute est une sorte de perruque mal fagotée qui dessert celui qui la porte, bien plus qu’elle ne lui redonne sa pilosité perdue.
Un remède de charlatan pour l’alopécie, dit en gloussant de plaisir Lucien l’âne. Il me semble cependant que l’exégèse de ce nom ne s’arrête pas là.
En effet, Lucien l’âne mon ami, chaque élément de ce nom comporte sa propre aura, dévoile tout un arrière-plan qui n’est pas sans rapport avec celui de Corne d’Aurochs, à savoir la préhistoire, car le personnage visé par la parodie, alias Moumout Trump, m’a tout l’air d’être un homme des cavernes, égaré dans le siècle.
Marco Valdo M.I. mon ami, laisse-moi te dire que tu n’est pas correct avec les hommes des cavernes ; c’étaient des gens des temps anciens, mais c’étaient des gens biens.
Sans doute, Lucien l’âne et je le regrette ; mais celui que je vise, je te le dis clairement, est un abruti – intellectuellement et moralement ; tout ce qu’il dit et tout ce qu’il fait le démontre. Reprenons donc où nous en étions. Son patronyme habituel – Trump – lui est conservé, mais il faut tenir compte de la relation entre les deux termes. Au temps de l’auroch préhistorique, comme tu dois le savoir, vivait le mammouth, une très grosse bête et ce délicat mammifère était un proboscide, c’est-à-dire un animal affublé d’une trompe.
Oh, s’esclaffe Lucien l’âne, je vois : une trompe de mammouth – Trump de Moumout. Je pense quand même que la chanson ne s’arrête pas là.
Bien sûr que non, rétorque Marco Valdo M.I., tu la découvriras bientôt. Sache cependant qu’elle fait une sorte d’analyse du sujet. Elle insinue qu’il n’arrive pas à la cheville de Johnny (Hallyday) – « Tout le monde ne peut pas s’appeler Johnny, okay, okay ! », que son génie s’exerce dans le lieu réservé à la merde (ramené des grandioses eaux du Mississippi à celles de la chasse d’eau domestique) – « C’étaient les eaux du cabinet, okay, okay ! », qu’il gonfle sa sexymanie débridée auprès de dames terrorisées – « sur les femmes nues des télés, okay, okay ! Il entraîne sa rigidité, okay, okay ! », qu’il va redorer ses finances au Kremlin – « il a un de ses amis, okay, okay ! Très haut placé en Russie, okay, okay ! » et qu’il y trouve des crédits – « les jours de pénurie, okay, okay ! Il cherche des crédits chez lui, okay, okay ! » et de l’aide pour ses ambitions politiques – « C’est avec l’aide de cet antipathique, qu’il fit une campagne politique et devint président des États d’Amérique. Trump de Moumout ! », qu’il est momentanément président, tout en lui rappelant qu’il est petit-fils d’immigré palatin – « Son grand-père était un Allemand, okay, okay ! Qui avait émigré il y a longtemps, okay, okay ! » et qu’une fois qu’il sera sorti de charge, on s’empressera de l’oublier – « Quand il rendra son mandat national Et foutra aux gens une paix royale, Le monde oubliera ce pantin infernal, Trump de Moumout ! »
Si ce n’est pas déjà le cas, dit Lucien l’âne, car vraiment, c’est à se demander comment ils ne l’ont pas encore tout simplement interné. Enfin, pour ce qui nous concerne, il nous faut rependre notre tâche et tisser le linceul de ce vieux monde abruti, inconscient, caricatural, vaniteux et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane