Les années coulent
En captivité
Les heures déroulent
Leur fil désenchanté
Et tous nos espoirs tour à tour
Se sont envolés sans retour :
Reviendrons-nous un jour ?
Reviendrons-nous un jour ?
Inexorable
Le temps passe sur nous
Et nous accable
Sous le plus dur des jougs
Et chaque instant devient plus lourd
A désespérer du retour :
Reviendrons-nous un jour ?
Reviendrons-nous un jour ?
Quand l'espérance
Quitte nos coeurs las,
Songeons à la France
Qui ne nous oublie pas.
Gardons lui bien grand notre amour
Nous aurons aussi notre tour :
Nous reviendrons un jour !
Nous reviendrons un jour !
En captivité
Les heures déroulent
Leur fil désenchanté
Et tous nos espoirs tour à tour
Se sont envolés sans retour :
Reviendrons-nous un jour ?
Reviendrons-nous un jour ?
Inexorable
Le temps passe sur nous
Et nous accable
Sous le plus dur des jougs
Et chaque instant devient plus lourd
A désespérer du retour :
Reviendrons-nous un jour ?
Reviendrons-nous un jour ?
Quand l'espérance
Quitte nos coeurs las,
Songeons à la France
Qui ne nous oublie pas.
Gardons lui bien grand notre amour
Nous aurons aussi notre tour :
Nous reviendrons un jour !
Nous reviendrons un jour !
Contributed by Bernart Bartleby - 2018/2/5 - 08:34
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Versi di Marius Bailly, soldato francese prigioniero dei tedeschi prima nello Stalag di Rowen a Rumbske (oggi Równo a Rumsko) e poi nello Stalag II B di Hammerstein (oggi Czarne), campi che sorgevano entrambi in Pomerania, Polonia, non lontani da Danzica.
Sulla melodia di Lili Marleen
Testo trovato su questo sito dedicato allo Stalag II B