Adieu les fill's du Dauphiné,
Nous allons bientôt les quitter.
C'est pour aller à la guerre,
Mais bientôt je reviendrai
Bell' si tu veux m'attendre.
— Mon cher amant, je t'attendrai,
De pas à pas je te suivrai.
N'as-tu pas mon cœur en gage,
Tu promis de m'épouser
Au nom du mariage.
— Ma chère amie, de t'épouser
C'est la dernière de mes pensées.
Je dois aller à la guerre,
A la guerre, au régiment,
Rejoindr' mes camarades.
— Si j'avais connu ta pensée,
Je me serais bien engardée
De te suivre en promenade.
Tu n'aurais pas pu jouer
Mon petit cœur en gage.
Vous autres filles à marier,
Ne vous laissez pas attraper,
Car ces amants sont si volages :
Font semblant de vous aimer
Et voilà qu'ils s'engagent.
Nous allons bientôt les quitter.
C'est pour aller à la guerre,
Mais bientôt je reviendrai
Bell' si tu veux m'attendre.
— Mon cher amant, je t'attendrai,
De pas à pas je te suivrai.
N'as-tu pas mon cœur en gage,
Tu promis de m'épouser
Au nom du mariage.
— Ma chère amie, de t'épouser
C'est la dernière de mes pensées.
Je dois aller à la guerre,
A la guerre, au régiment,
Rejoindr' mes camarades.
— Si j'avais connu ta pensée,
Je me serais bien engardée
De te suivre en promenade.
Tu n'aurais pas pu jouer
Mon petit cœur en gage.
Vous autres filles à marier,
Ne vous laissez pas attraper,
Car ces amants sont si volages :
Font semblant de vous aimer
Et voilà qu'ils s'engagent.
envoyé par Bernart Bartleby - 7/8/2017 - 11:47
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Canzone dalla regione storica e culturale francese del Dauphiné
Ho trovato il testo su Chants populaires français ma la fonte principale è il volume “Chants et chansons de la Savoie”, edito nel 1910 (in seguito con il titolo “Vieilles chansons savoyardes”), a cura di Claudius Servettaz (1871-1926), professore di musica e ricercatore folklorico dell’Haute Savoie
Amore e guerra, due concetti assolutamente contrapposti. A fare le spese delle guerre, sempre le donne prima di ogni altro: “Ragazze da marito, non fatevi abbindolare, che i vostri amanti sono volubili: fanno finta di amarvi, promettono di sposarvi, e poi ecco che si arruolano per la prima guerra e vi abbandonano...”