Déjà l’esprit quitte ses habits durs
Les bras qui s’ouvrent au puissant des regards
Les mots, le verbe et les vents d’ouverture
La main tendue, le geste du vouloir la vie
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
L’amour des autres, le salut du bon sens
Le rire ensemble et les mots d’amitié
Les jeux, les sports les rêves ou même la danse
Le pain, les fleurs la paix, la liberté
Le beau …
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
Salam aleykoum, shalom shalom
Siècle après siècle, livre après livre
Les phrases en laine, les peintres aux cimaises
Quand le laïque trace son chemin libre
Pour dire à Dieu qu’il n’est qu’une hypothèse
Ma foi …
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
Salam aleykoum, shalom shalom
Le prix des luttes, pour qu’ à tous une école
Pour qu’une femme ne soit plus un bouquet
Tant de discours qui de partout s’envolent
Cessez vos jeux! Baissez vos bras guerriers!
Toujours plus haut, un mur qui monte au ciel
Et vient toucher le coton des nuages
Laissant des deux cotés la vie sans ailes
Et casse en deux les bras du paysage:
Quoiqu’il en soit il reste des échelles
Des cordes à nœuds et des hélicoptères
S’il faut des fous pour creuser des tunnels
Nous ferons les souris dans le gruyère
Pour faire tomber les murs et les cloisons
Pour faire sauter les clés dans les serrures
Avec ou sans, je laisse ma chanson
Ouverte en deux des deux cotés du mur…
Qui tombe
Les bras qui s’ouvrent au puissant des regards
Les mots, le verbe et les vents d’ouverture
La main tendue, le geste du vouloir la vie
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
L’amour des autres, le salut du bon sens
Le rire ensemble et les mots d’amitié
Les jeux, les sports les rêves ou même la danse
Le pain, les fleurs la paix, la liberté
Le beau …
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
Salam aleykoum, shalom shalom
Siècle après siècle, livre après livre
Les phrases en laine, les peintres aux cimaises
Quand le laïque trace son chemin libre
Pour dire à Dieu qu’il n’est qu’une hypothèse
Ma foi …
Et toi, tu montes un mur, tu montes un mur?
Salam aleykoum, shalom shalom
Le prix des luttes, pour qu’ à tous une école
Pour qu’une femme ne soit plus un bouquet
Tant de discours qui de partout s’envolent
Cessez vos jeux! Baissez vos bras guerriers!
Toujours plus haut, un mur qui monte au ciel
Et vient toucher le coton des nuages
Laissant des deux cotés la vie sans ailes
Et casse en deux les bras du paysage:
Quoiqu’il en soit il reste des échelles
Des cordes à nœuds et des hélicoptères
S’il faut des fous pour creuser des tunnels
Nous ferons les souris dans le gruyère
Pour faire tomber les murs et les cloisons
Pour faire sauter les clés dans les serrures
Avec ou sans, je laisse ma chanson
Ouverte en deux des deux cotés du mur…
Qui tombe
envoyé par Bernart Bartleby - 23/3/2017 - 21:36
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Interpretata anche da Isabelle Aubret
Testo trovato sul sito dell'autore