In una nazione di nome Mandura
viveva un sovrano chiamato Paura
di certo non era il suo vero nome
ma è ricordato con quel soprannome.
La storia non dice chi gliel’abbia dato
però resta il fatto che fu appropriato
se proprio volete la mia opinione
a dargli quel nome fu la popolazione.
Costui ripeteva fra i suoi cortigiani
“Non esser severi non è da sovrani!
Credetemi pure, governa sicuro
chi ha polso fermo, chi ha pugno duro.”
Diceva ai ministri, “Non serve spiegare
il popolo deve lasciarsi guidare
se non lo si sgrida fa solo capricci
e se non vi teme combina pasticci.”
Pensava, un suddito è come un bambino
infatti non popolo ma popolino
veniva chiamata la gente a Mandura
dal suo sovrano di nome Paura.
E promulgò leggi per tutti e per tutto
persino su come tagliare il prosciutto
su come parlare, vestire, suonare
e guai se qualcuno osava sgarrare.
Con gli anni a Mandura successe una cosa
davvero incredibile e molto penosa
poichè di paura tremava la gente
ogni abitante diventò balbuziante.
Esprimersi era un duro mestiere
in breve ciascuno finì per tacere
e chi non articola è ormai risaputo
in men che si dica diventerà muto.
Così più nessuno sapeva parlare
i bimbi crescevano senza trovare
chi a loro insegnasse cos’è il bene e il male
che l’uomo è diverso dall’animale.
“Chi tace acconsente”, pensò re Paura
“un pò di castigo è un’ottima cura
il mio popolino è più muto di un pesce
son stato assai duro però mi rincresce.”
Così quel sovrano soltanto severo
ridusse ad un gregge un popolo intero
e quando i vicini gli mossero guerra
il popolo tutto fuggì sotto terra.
Perdendo il suo regno pagò amaramente
il fatto di aver reso vile la gente
perchè al suo popolo il re di Mandura
insegnò soltanto ad avere paura.
Qui termino anch’io la mia canzone
sperando sia chiara la sua lezione
non è certamente la severità
che aiuta a forgiare la personalità.
viveva un sovrano chiamato Paura
di certo non era il suo vero nome
ma è ricordato con quel soprannome.
La storia non dice chi gliel’abbia dato
però resta il fatto che fu appropriato
se proprio volete la mia opinione
a dargli quel nome fu la popolazione.
Costui ripeteva fra i suoi cortigiani
“Non esser severi non è da sovrani!
Credetemi pure, governa sicuro
chi ha polso fermo, chi ha pugno duro.”
Diceva ai ministri, “Non serve spiegare
il popolo deve lasciarsi guidare
se non lo si sgrida fa solo capricci
e se non vi teme combina pasticci.”
Pensava, un suddito è come un bambino
infatti non popolo ma popolino
veniva chiamata la gente a Mandura
dal suo sovrano di nome Paura.
E promulgò leggi per tutti e per tutto
persino su come tagliare il prosciutto
su come parlare, vestire, suonare
e guai se qualcuno osava sgarrare.
Con gli anni a Mandura successe una cosa
davvero incredibile e molto penosa
poichè di paura tremava la gente
ogni abitante diventò balbuziante.
Esprimersi era un duro mestiere
in breve ciascuno finì per tacere
e chi non articola è ormai risaputo
in men che si dica diventerà muto.
Così più nessuno sapeva parlare
i bimbi crescevano senza trovare
chi a loro insegnasse cos’è il bene e il male
che l’uomo è diverso dall’animale.
“Chi tace acconsente”, pensò re Paura
“un pò di castigo è un’ottima cura
il mio popolino è più muto di un pesce
son stato assai duro però mi rincresce.”
Così quel sovrano soltanto severo
ridusse ad un gregge un popolo intero
e quando i vicini gli mossero guerra
il popolo tutto fuggì sotto terra.
Perdendo il suo regno pagò amaramente
il fatto di aver reso vile la gente
perchè al suo popolo il re di Mandura
insegnò soltanto ad avere paura.
Qui termino anch’io la mia canzone
sperando sia chiara la sua lezione
non è certamente la severità
che aiuta a forgiare la personalità.
Contributed by Bernart Bartleby - 2016/3/28 - 21:15
Language: French
Version française – MANDURA – Marco Valdo M.I. – 2017
Chanson italienne – Mandura – Daisy Lumini – 1975
Paroles de Beppe Chierici
Musique de Daisy Lumini
Lucien l’âne mon ami, toi qui as parcouru de tes petits pas noirs et paisibles le monde depuis tant et tant de temps, tu as dû rencontrer souvent des gens plongés dans des atmosphères terrifiantes, des hommes écrasés par la crainte et tu dois donc bien connaître le sujet de la chanson de Mandura que je viens de mettre en langue française.
Peut-être, Marco Valdo M.I. mon ami, peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Je ne pourrai répondre à ta question que quand tu m’auras dit de quoi parle cette chanson.
En effet, Lucien l’âne mon ami, et je ne m’attendais à rien d’autre de toi. Tu es un âne intelligent, je le sais et je le dis ; mais, tu n’es pas un devin ; cela, je le sais aussi. Je me demande cependant si tes pieds si vaillants t’ont un jour mené au pays de Mandura, qui est – comme tu le sais certainement – là-bas quelque part en Éthiopie, une de ces régions où l’on parle (quand on parle, ce qui – tu le verras dans la canzone – n’est pas établi pour toujours avec certitude) le nilotique depuis la plus haute Antiquité ; un pays d’où provient la légende que rapporte la chanson.
Ah bien, l’Éthiopie, le nilotique, tout ça là-bas au fin fond de l’Afrique, sans doute m’y suis-je promené et je t’avoue que je ne me souviens pas particulièrement de Mandura. Il faut cependant se dire que les gens de Mandura ne doivznt pas me prendre en grippe pour autant. Oui, oui, dit Lucien l’âne, qu’ils ne prennent pas ombrage de ce manque de souvenirs les concernant, mais il y a tant de lieux et tant de gens dans le monde et tant des moments dans une existence et comme on commence à le savoir dans notre société, la faculté d’oubli est une nécessité et même une des fonctions essentielles de la mémoire ; surtout dans mon cas ; c’est le revers de la médaille de mon infinitude relative, car nul ne sait quand j’ai commencé, nul ne sait quand je finirai. Bref, concernant la nécessité de l’oubli, c’est facile à comprendre. Il y a d’abord un point de vue que je qualifierai de logistique, on ne peut pas plus entasser les souvenirs dans un cerveau que des choses dans un entrepôt. Aussi grand soit-il, un entrepôt a des limites et si on peut maximiser l’entreposage, cela passe par des aménagements spécifiques et des dépenses énergétiques (par exemple, pour empiler, stocker rationnellement) et par un triage, une mise en ordre pour pouvoir retrouver les divers éléments. Tout cela aussi suppose une dépense d’énergie qui a également ses limites. Comme disait ma grand-mère, il y des limites à tout. Cela dit, tu n’as pas répondu à mon attente ; je ne sais toujours pas ce que raconte la chanson.
En effet, Lucien l’âne mon ami, je ne t’ai pas encore dit ce que raconte cette chanson. Ce qu’elle raconte est finalement assez simple, si on s’en tient au premier niveau de lecture. C’est l’histoire d’un pays – en l’occurrence, Mandura, qui est sous la coupe d’un souverain qui est convaincu qu’il faut imposer son autorité par la force et la terreur. Il le fait si bien et si fort que le pays vit dans une ambiance de suspicion et de répression permanente et qu’il donne au roi le surnom de Peur. Dans ce pays, la population entière n’ose plus parler car, murmure-t-elle « les murs ont des oreilles ». Elle se réfugie dans le silence, Mandura devient mutique et s’éloigne totalement de ce royaume de Peur, si bien ou si mal que quand la guerre éclate, il n’y pas un habitant pour défendre le royaume et le roi.
Eh bien, Marco Valdo M.I., me voilà renseigné sur le sens général de la chanson, mais il m’a semblé que tu avais en tête d’autres éléments.
Bien sûr, Lucien l’âne mon ami, puisque je te l’avais laissé entendre. J’avais pensé et je le pense encore d’ailleurs que l’aventure du roi Peur – lequel est tout le contraire du roi Pausole de plaisante mémoire, rappelait assez celle qu’a connue l’Italie durant le fascisme et n’eût été la volte-face opérée en pleine course, le royaume d’Italie se serait trouvé proprement défait. On pourrait également l’appliquer à l’Allemagne nazie dont l’effondrement fut complet ou d’une certaine manière à l’Union Soviétique qui a proprement implosé, elle aussi. On pourrait chercher d’autres exemples ; je songe au régime de Salazar, qu’une chanson fit se dissoudre Grândola, vila morena ou à la Roumanie de Ceaucescu. J’aurais assez idée de voir là une sorte de parabole à usage assez général.
Soit, dit Lucien l’âne, on devrait en trouver beaucoup de tels épisodes dans la Guerre de Cent Mille Ans La Guerre de Cent mille ans que les riches font aux pauvres pour assurer leur domination et leur pouvoir ; de toute façon on ne va pas en faire un plus gros fromage ; il nous faut reprendre notre tâche et tisser le linceul de ce vieux monde terrorisé, brutal, oppressif et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
Chanson italienne – Mandura – Daisy Lumini – 1975
Paroles de Beppe Chierici
Musique de Daisy Lumini
Lucien l’âne mon ami, toi qui as parcouru de tes petits pas noirs et paisibles le monde depuis tant et tant de temps, tu as dû rencontrer souvent des gens plongés dans des atmosphères terrifiantes, des hommes écrasés par la crainte et tu dois donc bien connaître le sujet de la chanson de Mandura que je viens de mettre en langue française.
Peut-être, Marco Valdo M.I. mon ami, peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Je ne pourrai répondre à ta question que quand tu m’auras dit de quoi parle cette chanson.
En effet, Lucien l’âne mon ami, et je ne m’attendais à rien d’autre de toi. Tu es un âne intelligent, je le sais et je le dis ; mais, tu n’es pas un devin ; cela, je le sais aussi. Je me demande cependant si tes pieds si vaillants t’ont un jour mené au pays de Mandura, qui est – comme tu le sais certainement – là-bas quelque part en Éthiopie, une de ces régions où l’on parle (quand on parle, ce qui – tu le verras dans la canzone – n’est pas établi pour toujours avec certitude) le nilotique depuis la plus haute Antiquité ; un pays d’où provient la légende que rapporte la chanson.
Ah bien, l’Éthiopie, le nilotique, tout ça là-bas au fin fond de l’Afrique, sans doute m’y suis-je promené et je t’avoue que je ne me souviens pas particulièrement de Mandura. Il faut cependant se dire que les gens de Mandura ne doivznt pas me prendre en grippe pour autant. Oui, oui, dit Lucien l’âne, qu’ils ne prennent pas ombrage de ce manque de souvenirs les concernant, mais il y a tant de lieux et tant de gens dans le monde et tant des moments dans une existence et comme on commence à le savoir dans notre société, la faculté d’oubli est une nécessité et même une des fonctions essentielles de la mémoire ; surtout dans mon cas ; c’est le revers de la médaille de mon infinitude relative, car nul ne sait quand j’ai commencé, nul ne sait quand je finirai. Bref, concernant la nécessité de l’oubli, c’est facile à comprendre. Il y a d’abord un point de vue que je qualifierai de logistique, on ne peut pas plus entasser les souvenirs dans un cerveau que des choses dans un entrepôt. Aussi grand soit-il, un entrepôt a des limites et si on peut maximiser l’entreposage, cela passe par des aménagements spécifiques et des dépenses énergétiques (par exemple, pour empiler, stocker rationnellement) et par un triage, une mise en ordre pour pouvoir retrouver les divers éléments. Tout cela aussi suppose une dépense d’énergie qui a également ses limites. Comme disait ma grand-mère, il y des limites à tout. Cela dit, tu n’as pas répondu à mon attente ; je ne sais toujours pas ce que raconte la chanson.
En effet, Lucien l’âne mon ami, je ne t’ai pas encore dit ce que raconte cette chanson. Ce qu’elle raconte est finalement assez simple, si on s’en tient au premier niveau de lecture. C’est l’histoire d’un pays – en l’occurrence, Mandura, qui est sous la coupe d’un souverain qui est convaincu qu’il faut imposer son autorité par la force et la terreur. Il le fait si bien et si fort que le pays vit dans une ambiance de suspicion et de répression permanente et qu’il donne au roi le surnom de Peur. Dans ce pays, la population entière n’ose plus parler car, murmure-t-elle « les murs ont des oreilles ». Elle se réfugie dans le silence, Mandura devient mutique et s’éloigne totalement de ce royaume de Peur, si bien ou si mal que quand la guerre éclate, il n’y pas un habitant pour défendre le royaume et le roi.
Eh bien, Marco Valdo M.I., me voilà renseigné sur le sens général de la chanson, mais il m’a semblé que tu avais en tête d’autres éléments.
Bien sûr, Lucien l’âne mon ami, puisque je te l’avais laissé entendre. J’avais pensé et je le pense encore d’ailleurs que l’aventure du roi Peur – lequel est tout le contraire du roi Pausole de plaisante mémoire, rappelait assez celle qu’a connue l’Italie durant le fascisme et n’eût été la volte-face opérée en pleine course, le royaume d’Italie se serait trouvé proprement défait. On pourrait également l’appliquer à l’Allemagne nazie dont l’effondrement fut complet ou d’une certaine manière à l’Union Soviétique qui a proprement implosé, elle aussi. On pourrait chercher d’autres exemples ; je songe au régime de Salazar, qu’une chanson fit se dissoudre Grândola, vila morena ou à la Roumanie de Ceaucescu. J’aurais assez idée de voir là une sorte de parabole à usage assez général.
Soit, dit Lucien l’âne, on devrait en trouver beaucoup de tels épisodes dans la Guerre de Cent Mille Ans La Guerre de Cent mille ans que les riches font aux pauvres pour assurer leur domination et leur pouvoir ; de toute façon on ne va pas en faire un plus gros fromage ; il nous faut reprendre notre tâche et tisser le linceul de ce vieux monde terrorisé, brutal, oppressif et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
MANDURA
Dans une nation du nom de Mandura
Vivait un souverain, Peur était son nom.
Certes, ce n’était pas son vrai nom,
Mais on se souvient seulement de ce nom -là.
L’histoire ne dit pas qui l’a ainsi nommé.
Cependant, ce surnom est approprié
Et je veux bien parier
Que c’est la population qui lui a donné.
Ce triste sire répétait à ses courtisans :
« Être sévère est le lot des rois et des présidents !
Croyez-moi, pour gouverner, c’est sûr,
Il faut un tempérament de chef et la poigne dure. »
Il disait à ses ministres, « Il ne sert à rien de discuter,
Le peuple doit se laisser guider.
Si on ne le gronde pas, il fait des caprices
Et s’il ne vous craint pas, il manigance. »
Il pensait, un sujet, c’est comme un enfant.
Ce n’était pas de peuple, mais de populace
Qu’étaient qualifiés les habitants
Par leur roi Peur, l’homme sans face.
Il promulguait des lois pour tous et pour tout
Et même sur la façon de couper le chou,
Et sur comment parler, se vêtir, chanter
Et gare à qui osait regimber.
Avec les ans à Mandura, il arriva une chose
Vraiment incroyable et très pénible :
La peur terrifiait tant les gens,
Que chaque habitant devint balbutiant.
À la parole, il y avait de tels freins
Que rapidement, tout le monde s’est tu.
Et qui n’articule pas, c’est bien connu
En moins que rien, muet devient.
À Mandura, on ne pouvait plus parler
Et les enfants grandissaient sans trouver
Quelqu’un qui leur enseigne le bien et le mal,
En quoi l’homme est différent de l’animal.
« Qui ne dit mot consent », pensait le roi Peur
« Un peu de discipline, ma foi, c’est bon.
Cette populace est plus muette qu’un poisson ;
Si j’ai été fort dur, c’est pour leur bonheur. »
Ainsi ce souverain à force d’être sévère
Réduisit le peuple à un troupeau
Et quand les voisins déclarèrent la guerre,
Sous terre, le peuple se réfugia aussitôt.
Peur perdit son royaume et paya amèrement
Le fait d’avoir méprisé les gens,
Le fait que le roi de Mandura,
Au peuple, la peur seule inculqua.
Ici se termine ma chanson ;
Espérons que soit claire sa leçon :
Que ce n’est pas la sévérité
Qui forge la personnalité.
Dans une nation du nom de Mandura
Vivait un souverain, Peur était son nom.
Certes, ce n’était pas son vrai nom,
Mais on se souvient seulement de ce nom -là.
L’histoire ne dit pas qui l’a ainsi nommé.
Cependant, ce surnom est approprié
Et je veux bien parier
Que c’est la population qui lui a donné.
Ce triste sire répétait à ses courtisans :
« Être sévère est le lot des rois et des présidents !
Croyez-moi, pour gouverner, c’est sûr,
Il faut un tempérament de chef et la poigne dure. »
Il disait à ses ministres, « Il ne sert à rien de discuter,
Le peuple doit se laisser guider.
Si on ne le gronde pas, il fait des caprices
Et s’il ne vous craint pas, il manigance. »
Il pensait, un sujet, c’est comme un enfant.
Ce n’était pas de peuple, mais de populace
Qu’étaient qualifiés les habitants
Par leur roi Peur, l’homme sans face.
Il promulguait des lois pour tous et pour tout
Et même sur la façon de couper le chou,
Et sur comment parler, se vêtir, chanter
Et gare à qui osait regimber.
Avec les ans à Mandura, il arriva une chose
Vraiment incroyable et très pénible :
La peur terrifiait tant les gens,
Que chaque habitant devint balbutiant.
À la parole, il y avait de tels freins
Que rapidement, tout le monde s’est tu.
Et qui n’articule pas, c’est bien connu
En moins que rien, muet devient.
À Mandura, on ne pouvait plus parler
Et les enfants grandissaient sans trouver
Quelqu’un qui leur enseigne le bien et le mal,
En quoi l’homme est différent de l’animal.
« Qui ne dit mot consent », pensait le roi Peur
« Un peu de discipline, ma foi, c’est bon.
Cette populace est plus muette qu’un poisson ;
Si j’ai été fort dur, c’est pour leur bonheur. »
Ainsi ce souverain à force d’être sévère
Réduisit le peuple à un troupeau
Et quand les voisins déclarèrent la guerre,
Sous terre, le peuple se réfugia aussitôt.
Peur perdit son royaume et paya amèrement
Le fait d’avoir méprisé les gens,
Le fait que le roi de Mandura,
Au peuple, la peur seule inculqua.
Ici se termine ma chanson ;
Espérons que soit claire sa leçon :
Que ce n’est pas la sévérité
Qui forge la personnalité.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2017/7/23 - 23:03
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Parole di Beppe Chierici
Musica di Daisy Lumini
Nell’album di Daisy Lumini e Beppe Chierici intitolato “Il paese dei bambini con la testa”, pubblicato da I Dischi Dello Zodiaco