Des millions de regards
Et de larmes à peine essuyées
Des millions de pas sur les boulevards
Un dimanche de Janvier
J'avais ta main petite
Dans la mienne recroquevillée
Nos cœurs battaient de plus en plus vite
Ce dimanche de Janvier
Là nous avions marché en silence
Au milieu de la foule immense
Et le vent à notre place
Chantait sans fin sur la place
Pour apaiser la peine
De tout un pays soulevé
Nous étions venus sans peur et sans haine
Ce dimanche de Janvier
Pour garder en mémoire
Nos héros d'encre et de papier
Nous étions restés debout jusqu'au soir
Ce dimanche de Janvier
Là nous avions marché en silence
Au milieu de la foule immense
Et le vent à notre place
Chantait sans fin sur la place
Mais depuis dans nos villes
Et nos villages fatigués
Oh dis-le-moi que nous reste-t-il
Du dimanche de Janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
Et de larmes à peine essuyées
Des millions de pas sur les boulevards
Un dimanche de Janvier
J'avais ta main petite
Dans la mienne recroquevillée
Nos cœurs battaient de plus en plus vite
Ce dimanche de Janvier
Là nous avions marché en silence
Au milieu de la foule immense
Et le vent à notre place
Chantait sans fin sur la place
Pour apaiser la peine
De tout un pays soulevé
Nous étions venus sans peur et sans haine
Ce dimanche de Janvier
Pour garder en mémoire
Nos héros d'encre et de papier
Nous étions restés debout jusqu'au soir
Ce dimanche de Janvier
Là nous avions marché en silence
Au milieu de la foule immense
Et le vent à notre place
Chantait sans fin sur la place
Mais depuis dans nos villes
Et nos villages fatigués
Oh dis-le-moi que nous reste-t-il
Du dimanche de Janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
Que reste-t-il de ce dimanche de janvier ?
envoyé par Bernart Bartleby - 11/1/2016 - 00:12
"Mais depuis dans nos villes et nos villages fatigués"... per carità, ma vallo però a chiedere a quelli delle villes e dei villages in Siria, Libia, Iraq, Afghanistan, etc...! O non li avete bombardati allegramente per anni pure voi franzosi?!?
B.B. - 11/1/2016 - 00:20
Eh, sì: in francese, dimanche è maschile. E anche la sera: un soir. Ma fin qui va quasi bene, la vera cosa impossibile è far capire che "dente" in francese è femminile (la dent) :-P
Riccardo Venturi - 11/1/2016 - 04:08
Chissà cosa avrebbe da dire di questo omaggio il povero Cabu che già nel 1993 diceva di Hallyday: " "Il nous vérole les tympans... Depuis que je suis né, il me casse les oreilles et ça continue."
Lorenzo - 11/1/2016 - 08:29
E perché, il buon Gionnì che sosteneva la campagna di Sarcozzì, dove lo mettiamo...? Mi ricordo la definizione perfida che si dava di lui in Francia: "Mondialement connu en France". Salud!
Riccardo Venturi - 11/1/2016 - 12:54
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Parole di Jeanne Cherhal (1978-), cantante, autrice, compositrice
Musica di Yodelice, nome d’arte di Maxim Nucci (nato Maxime Nouchy, 1979-), cantante e compositore
Nell’album intitolato “De l'amour” di Johnny Hallyday
Non so dire se il vecchio Hallyday sia un paraculo o meno...
“Un dimanche de janvier” - e pensare che ho sempre creduto che domenica fosse femminile, come da noi! - è invece dedicata alle vittime degli attentati del gennaio 2015, alla redazione del Charlie Hebdo e all’ipermercato Hyper Cacher.
L’album “De l'amour” ha avuto pure la “fortuna” di uscire il 13 novembre, proprio nel giorno dei nuovi attentati all’Île-de-France (Saint Denis, 10e e 11e arrondissements, Bataclan).
Dal giorno successivo Johnny Hallyday ha dedicato ogni interpretazione di “Un dimanche de janvier” alle vittime degli attentati e ai loro familiari e l’ha eseguita in tutte le commemorazioni ufficiali, quella del 27 novembre così come quella del 10 gennaio 2016.
Non so dire se il vecchio Hallyday sia un paraculo o meno... ma però porta sfiga!