Album: "La Gale" (2012)
Du phosphore blanc pour mes peines
De la honte sur mes gènes
Ils nous ont exploités sans gêne
Toutes nos ressources sont taries à échelle surhumaine
Je suis la peur aux confinement de leurs nerfs
Et me larve avec torpeur aux quatre coins de leur Enfer
Je suis tout ce qu'ils haïssent, ils en ont décidé ainsi
Le jour qui m'a amené ici a amorcé mon sursis
Mon nom jamais épelé inscrit en lettres capitales
Sans drapeau, sans couleurs, sans base gouvernementale
Pour des nations baties à l'usure de nos sandales
Et qui se garderont bien de soulever tout scandale
Pour nous l'espoir lentement s'est tari par escale
Entre charter, expulsion, univers carcéral
être à jamais la bête noire de ces chacals
Est mon ambitions première, je considère que c'est normal
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
La force par-dessus tout d'être autre chose qu'hier
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Une brèche pour une guerre à ciel ouvert
J'ai claqué la porte, il y a de ça fort longtemps
Ne crois plus à la paix mais à un violent réajustement
Et je brûle, me consumme en quatre temps
Une ceinture à la taille, prête à faire feu sur vos gens
Pour des générations acquises par nettoyage mental
à qui je souhaite un examen de conscience radical
Si ce sol je foule encore
C'est pour que mes pas y restent imprimés après ma mort
"Tu es né poussière, tu retourneras poussière"
Les vautours, chaque jour dévoreront tes vicères
Tu verras que rien ne sert d'espérer en vain
Que la résignation pour toi est le plus court des chemins
Sur la brèche insolente et la branche qu'ils ont sciée
Se tient le rêve jamais brisé d'un à un les voir tomber
Des racines assèchées de nos précieux oliviers
Aux pieds des cubes de béton et des jardins aceptisés
On prend part à la réécriture du scénar'
Quand les lumières s'éteignent, quand à nous s'offre le soir
Les murs se taisent, nos morsures saignent mais réel est le cauchemard
Il ne s'agit que de temps pour que tous comprennent l'histoire
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
La force par-dessus tout d'être autre chose qu'hier
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Une brèche pour une guerre à ciel ouvert
De la honte sur mes gènes
Ils nous ont exploités sans gêne
Toutes nos ressources sont taries à échelle surhumaine
Je suis la peur aux confinement de leurs nerfs
Et me larve avec torpeur aux quatre coins de leur Enfer
Je suis tout ce qu'ils haïssent, ils en ont décidé ainsi
Le jour qui m'a amené ici a amorcé mon sursis
Mon nom jamais épelé inscrit en lettres capitales
Sans drapeau, sans couleurs, sans base gouvernementale
Pour des nations baties à l'usure de nos sandales
Et qui se garderont bien de soulever tout scandale
Pour nous l'espoir lentement s'est tari par escale
Entre charter, expulsion, univers carcéral
être à jamais la bête noire de ces chacals
Est mon ambitions première, je considère que c'est normal
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
La force par-dessus tout d'être autre chose qu'hier
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Une brèche pour une guerre à ciel ouvert
J'ai claqué la porte, il y a de ça fort longtemps
Ne crois plus à la paix mais à un violent réajustement
Et je brûle, me consumme en quatre temps
Une ceinture à la taille, prête à faire feu sur vos gens
Pour des générations acquises par nettoyage mental
à qui je souhaite un examen de conscience radical
Si ce sol je foule encore
C'est pour que mes pas y restent imprimés après ma mort
"Tu es né poussière, tu retourneras poussière"
Les vautours, chaque jour dévoreront tes vicères
Tu verras que rien ne sert d'espérer en vain
Que la résignation pour toi est le plus court des chemins
Sur la brèche insolente et la branche qu'ils ont sciée
Se tient le rêve jamais brisé d'un à un les voir tomber
Des racines assèchées de nos précieux oliviers
Aux pieds des cubes de béton et des jardins aceptisés
On prend part à la réécriture du scénar'
Quand les lumières s'éteignent, quand à nous s'offre le soir
Les murs se taisent, nos morsures saignent mais réel est le cauchemard
Il ne s'agit que de temps pour que tous comprennent l'histoire
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Le passage d'une frontière, le néant d'une carrière
La force par-dessus tout d'être autre chose qu'hier
Des drônes, des gravières, des dettes en surenchère
Une brèche pour une guerre à ciel ouvert
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