Va, che il tempo non da
Qualcosa di più
Qualcosa che non abbiamo qua
Che non basterà che non durerà
Nemmeno per chi l'aveva.
Mi chiedo domani cosa avremo da trovare
Il treno è lontano e chissà quando ripasserà.
So che non troverò
Un posto per me
E' già troppo tardi, si lo so
Davvero potrò?
Che poi si vedrà
Il modo di sopravvivere.
Ma penso domani cosa avremo da cercare
Il treno è passato e chissà quando ritornerà.
Guardi quanti saremo
Circus la pauvretè
Immaginavo di fare parte
Di questa pauvretè
Il carro va conosce già
Con chi viaggerà
Non tornerà, non salverà
Dalla povertà.
Si, che poi ci sarà
Chi ci svilirà
Tenendoci nella povertà
Che ci comprerà
E ci svenderà
Tessendo per la disparità.
Che cazzo ridete, non c'è niente da scherzare
Il treno non passa e non intende di passare.
Guardi quanti saremo
Circus la pauvretè
Immaginavo di fare parte
Di questa pauvretè
Il carro va conosce già
Con chi viaggerà
Non tornerà, non salverà
Dalla povertà.
Qualcosa di più
Qualcosa che non abbiamo qua
Che non basterà che non durerà
Nemmeno per chi l'aveva.
Mi chiedo domani cosa avremo da trovare
Il treno è lontano e chissà quando ripasserà.
So che non troverò
Un posto per me
E' già troppo tardi, si lo so
Davvero potrò?
Che poi si vedrà
Il modo di sopravvivere.
Ma penso domani cosa avremo da cercare
Il treno è passato e chissà quando ritornerà.
Guardi quanti saremo
Circus la pauvretè
Immaginavo di fare parte
Di questa pauvretè
Il carro va conosce già
Con chi viaggerà
Non tornerà, non salverà
Dalla povertà.
Si, che poi ci sarà
Chi ci svilirà
Tenendoci nella povertà
Che ci comprerà
E ci svenderà
Tessendo per la disparità.
Che cazzo ridete, non c'è niente da scherzare
Il treno non passa e non intende di passare.
Guardi quanti saremo
Circus la pauvretè
Immaginavo di fare parte
Di questa pauvretè
Il carro va conosce già
Con chi viaggerà
Non tornerà, non salverà
Dalla povertà.
envoyé par dq82 - 24/12/2015 - 15:52
Langue: français
Version française – CIRCUS LA PAUVRETÉ – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson italienne – Circus la pauvreté – Casa Del Vento – 2001
Chanson italienne – Circus la pauvreté – Casa Del Vento – 2001
Comme dirait Marco Valdo, une chanson sur la guerre de 100, 1000 ans.
Vois-tu, Lucien l’âne mon ami, notre ami des Chansons contre la Guerre, DQ82, dit que cette chanson est une canzone sur la guerre de 100, 1000 ans. Et pourquoi pas ? Ce n’est pas faux. Il se peut qu’il y ait aussi des guerres de cent (100) ans (j’en connais au moins une), des guerres de mille (1000) ans et une telle chanson pourrait s’y référer.
Ah, dit Lucien l’âne en souriant, on dirait que cette idée de Guerre de Cent Mille Ans fait son petit bonhomme de chemin.
C’est vrai et j’en suis bien content. Cependant, la Guerre de Cent Mille Ans La Guerre de Cent mille ans, telle que je l’avais imaginée, est une guerre un peu particulière, car c’est la Guerre qui contient à la fois les épisodes de guerre (militaire) et les épisodes intercalaires de paix (militaire) ; mais en plus, elle est bien plus vaste, car elle postule que la guerre militaire n’est qu’une des formes possibles de la guerre. C’est une modélisation d’une conception dont le fondement est que la guerre durera tant que les conditions qui la fondent se maintiendront. Le chiffre de Cent Mille Ans servait à montrer son ampleur par rapport à la durée de vie humaine ; c’est un nombre arbitraire qui veut signifier que cette guerre n’est pas un phénomène momentané (disons par exemple une guerre de cent ans pour fixer les frontières entre des États), mais un phénomène de l’évolution comme qui dirait, intrinsèque à l’espèce humaine. Cette Guerre de Cent Mille Ans est le résultat d’une aberration, d’un raté de l’évolution – au sens darwinien.
Je pense bien suivre ton idée, Marco Valdo M.I. mon ami, en disant que dans le domaine du spectacle, on parlerait d’une erreur de casting ou quelque chose du genre.
On peut en effet dire quelque chose du genre, même si ce n’est pas vraiment ça. L’essentiel pourrait bien être que d’une part, il faut tenir compte de sa longueur – qui balaye bien des illusions et d’autre part, de sa nature particulière. Elle est le résultat, lui-même évolutif, d’un processus – toujours en cours – de privatisation du monde, d’un processus d’accaparement par certains humains ou groupes d’humains de ce que l’ensemble de l’espèce produit dans sa relation avec la nature.
Alors, dit Lucien l’âne soudain pensif, le problème est donc de savoir comment l’espèce humaine va se sortir du piège de la richesse, dans lequel elle s’est elle-même enferrée.
Tu parles d’or, Lucien l’âne mon ami. Pour être plus net quant à la richesse (aux richesses…), on la définira comme : « ce que l’ensemble de l’espèce humaine produit ». Il faut également préciser ce qu’elle produit, à savoir : elle-même (des êtres humains), de la vie, des groupes, de l’organisation, des vivres, des objets, des soins, etc. C’est tout cela qu’ils accaparent et bien d’autres choses encore
Arrêtons là, si tu veux bien, car…
Arrêtons, arrêtons, on n’en finirait pas. Je veux juste ajouter ceci que la réflexion sur la nature de la guerre me paraît le sujet central des Chansons contre la Guerre. Cela dit, je n’en ferai pas un traité. D’ailleurs, ici, il se fait tout seul : chanson après chanson.
Admettons ; il doit bien y avoir du vrai dans tout ce que tu racontes, dit Lucien l’âne en agitant la queue. Reprenons notre tâche et tissons le linceul de ce vieux monde polémophile, belliqueux, guerroyant, malade de la richesse et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
Vois-tu, Lucien l’âne mon ami, notre ami des Chansons contre la Guerre, DQ82, dit que cette chanson est une canzone sur la guerre de 100, 1000 ans. Et pourquoi pas ? Ce n’est pas faux. Il se peut qu’il y ait aussi des guerres de cent (100) ans (j’en connais au moins une), des guerres de mille (1000) ans et une telle chanson pourrait s’y référer.
Ah, dit Lucien l’âne en souriant, on dirait que cette idée de Guerre de Cent Mille Ans fait son petit bonhomme de chemin.
C’est vrai et j’en suis bien content. Cependant, la Guerre de Cent Mille Ans La Guerre de Cent mille ans, telle que je l’avais imaginée, est une guerre un peu particulière, car c’est la Guerre qui contient à la fois les épisodes de guerre (militaire) et les épisodes intercalaires de paix (militaire) ; mais en plus, elle est bien plus vaste, car elle postule que la guerre militaire n’est qu’une des formes possibles de la guerre. C’est une modélisation d’une conception dont le fondement est que la guerre durera tant que les conditions qui la fondent se maintiendront. Le chiffre de Cent Mille Ans servait à montrer son ampleur par rapport à la durée de vie humaine ; c’est un nombre arbitraire qui veut signifier que cette guerre n’est pas un phénomène momentané (disons par exemple une guerre de cent ans pour fixer les frontières entre des États), mais un phénomène de l’évolution comme qui dirait, intrinsèque à l’espèce humaine. Cette Guerre de Cent Mille Ans est le résultat d’une aberration, d’un raté de l’évolution – au sens darwinien.
Je pense bien suivre ton idée, Marco Valdo M.I. mon ami, en disant que dans le domaine du spectacle, on parlerait d’une erreur de casting ou quelque chose du genre.
On peut en effet dire quelque chose du genre, même si ce n’est pas vraiment ça. L’essentiel pourrait bien être que d’une part, il faut tenir compte de sa longueur – qui balaye bien des illusions et d’autre part, de sa nature particulière. Elle est le résultat, lui-même évolutif, d’un processus – toujours en cours – de privatisation du monde, d’un processus d’accaparement par certains humains ou groupes d’humains de ce que l’ensemble de l’espèce produit dans sa relation avec la nature.
Alors, dit Lucien l’âne soudain pensif, le problème est donc de savoir comment l’espèce humaine va se sortir du piège de la richesse, dans lequel elle s’est elle-même enferrée.
Tu parles d’or, Lucien l’âne mon ami. Pour être plus net quant à la richesse (aux richesses…), on la définira comme : « ce que l’ensemble de l’espèce humaine produit ». Il faut également préciser ce qu’elle produit, à savoir : elle-même (des êtres humains), de la vie, des groupes, de l’organisation, des vivres, des objets, des soins, etc. C’est tout cela qu’ils accaparent et bien d’autres choses encore
Arrêtons là, si tu veux bien, car…
Arrêtons, arrêtons, on n’en finirait pas. Je veux juste ajouter ceci que la réflexion sur la nature de la guerre me paraît le sujet central des Chansons contre la Guerre. Cela dit, je n’en ferai pas un traité. D’ailleurs, ici, il se fait tout seul : chanson après chanson.
Admettons ; il doit bien y avoir du vrai dans tout ce que tu racontes, dit Lucien l’âne en agitant la queue. Reprenons notre tâche et tissons le linceul de ce vieux monde polémophile, belliqueux, guerroyant, malade de la richesse et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
CIRCUS LA PAUVRETÉ
Il se fait, que le temps ne donne plus
Quelque chose de plus,
Quelque chose que nous n’avons pas là,
Qui ne suffira pas, qui ne durera pas,
Même pas pour celui qui l’a eu.
Je me demande ce que demain on trouvera ;
Le train est loin et qui sait quand il repassera.
Je sais que je ne trouverai pas
Une place pour moi
Il est déjà trop tard, si je le sais
Vraiment je pourrai ?
On verra ce qui va suivre
Le moyen de survivre.
Je me demande ce que demain on cherchera ;
Le train est passé et qui sait quand il reviendra.
Regarde combien nous sommes
Circus la pauvreté
J’imaginais être un homme
Dans cette pauvreté
Le chariot sait déjà
Avec qui il voyagera
Ne reviendra pas, n’échappera pas
À la pauvreté.
Ce qu’ensuite, il y aura
Celui qui nous avilira
Nous tenant dans la pauvreté
Qui nous achètera
Et nous liquidera
En tissant pour la disparité.
Pourquoi vous riez, il ne faut pas se moquer.
Le train ne passe pas et il n’entend pas passer.
Regarde combien nous sommes
Circus la pauvreté
J’imaginais être un homme
Dans cette pauvreté
Le chariot sait déjà
Avec qui il voyagera
Ne reviendra pas, n’échappera pas
À la pauvreté.
Il se fait, que le temps ne donne plus
Quelque chose de plus,
Quelque chose que nous n’avons pas là,
Qui ne suffira pas, qui ne durera pas,
Même pas pour celui qui l’a eu.
Je me demande ce que demain on trouvera ;
Le train est loin et qui sait quand il repassera.
Je sais que je ne trouverai pas
Une place pour moi
Il est déjà trop tard, si je le sais
Vraiment je pourrai ?
On verra ce qui va suivre
Le moyen de survivre.
Je me demande ce que demain on cherchera ;
Le train est passé et qui sait quand il reviendra.
Regarde combien nous sommes
Circus la pauvreté
J’imaginais être un homme
Dans cette pauvreté
Le chariot sait déjà
Avec qui il voyagera
Ne reviendra pas, n’échappera pas
À la pauvreté.
Ce qu’ensuite, il y aura
Celui qui nous avilira
Nous tenant dans la pauvreté
Qui nous achètera
Et nous liquidera
En tissant pour la disparité.
Pourquoi vous riez, il ne faut pas se moquer.
Le train ne passe pas et il n’entend pas passer.
Regarde combien nous sommes
Circus la pauvreté
J’imaginais être un homme
Dans cette pauvreté
Le chariot sait déjà
Avec qui il voyagera
Ne reviendra pas, n’échappera pas
À la pauvreté.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 28/12/2015 - 23:32
Caro Marco Valdo M.I. non parlo francese e non lo capisco, provo ad arrangiarmi a senso con i traduttori automatici (vergogna e ignominia, che non mi appaia di note lo spirito di Riccardo a tirarmi i piedi, anche se è ancora vivo e in buona salute), e quella dei 100, 1000 anni è chiaramente un equivoco, ma a me ricordava il motto "10, 100, 1000 Vietnam" di anni fa, e il significato, un po' come 100.000 era per indicare una sorta di atemporalità, come dire che è una guerra che c'è da sempre e ci sarà sempre, come l'antico motto voleva significare "Vietnam ovunque".
DonQuijote82 - 30/12/2015 - 14:31
Vedi, Lucien l'asino amico mio, il nostro amico delle canzoni contro la guerra, DQ82, dice che questa canzone è una canzone sulla guerra dei 10,100,1000 anni. E perché no ? Non è falso. Può darsi che ci siano anche guerre di cento (100) anni (ne conosco almeno una), guerre di mille (1000) anni e tale canzone potrebbe riferirsi.
Ah, dice Lucien l'asino sorridendo, si direbbe che quest'idea di guerra di centomila anni fa la sua (piccola) strada.
È vero e ne sono contento. Tuttavia, la Guerre de Cent Mille Ans, così come lo avevo immaginato, è una guerra un po' particolare, poiché è la guerra che contiene allo stesso tempo gli episodi di guerra (militare) e gli episodi intercalari di pace (militare); ma di più, è molto più vasta, poiché postula che la guerra militare è soltanto una delle forme possibili della guerra. È una costruzione di modelli di una concezione la cui base è che la guerra durerà finché le condizioni che la fondano si manterranno. La cifra di centomila anni serviva a mostrare la sua ampiezza rispetto alla durata della vita umana; è un numero arbitrario che vuole significare che questa guerra non è un fenomeno momentaneo (diciamo ad esempio una guerra di cento anni per fissare le frontiere tra stati), ma un fenomeno dell'evoluzione come dire, intrinseco alla razza umana. Questa guerra di centomila anni è il risultato di un'aberrazione, di un colpo non esploso dell'evoluzione – nel senso darwiniano.
Penso bene di seguire la tua idea, Marco Valdo M.I amico mio, dicendo che nel campo dello spettacolo, si parlerebbe di un errore di casting o qualcosa del genere.
Si può infatti dire qualcosa del genere, anche se non è realmente quello. L'essenziale potrebbe essere che da un lato, occorre tenere conto della sua lunghezza – che spazza molte illusioni e d'altra parte, della sua natura particolare. È il risultato, evolutivo, di un processo – sempre in corso – di privatizzazione del mondo, di un processo d'accaparramento per alcuni umani o gruppi di umani di ciò che tutta la specie produce nella sua relazione con la natura.
Allora, dice Lucien l'asino improvvisamente pensieroso, il problema è dunque di sapere come la razza umana uscirà dalla trappola della ricchezza, che essa stessa si è preparata.
Parole d'oro, Lucien l'asino amico mio. Per essere più netto quanto alla ricchezza (alle ricchezze…), la definirà come: “ciò che l'insieme della razza umana produce „. Occorre anche precisare ciò che produce, cioè: essa stessa (degli esseri umani), della vita, dei gruppi, dell'organizzazione, dei prodotti alimentari, degli oggetti, delle cure, ecc. È tutto ciò che si accaparrino e molte di altre cose ancora.
Fermiamo là, se vuoi, poiché…
Fermiamoci, fermiamoci, se non si finirebbe. Vorrei solo aggiungere questo che la riflessione sulla natura della guerra mi sembra l'argomento centrale delle canzoni contro la guerra. Detto ciò, non ne farò un trattato. Del resto, qui,molto si fa da solo: canzone dopo canzone.
Ammettiamo; dovrebbe esserci della verità in tutto ciò che racconti, dice Lucien l'asino agitando la coda. Riprendiamo il nostro compito e tessiamo il sudario di questo vecchio mondo polemofilo, bellicoso, guerreggiante, malato della ricchezza e cacochimo. (κακόχυμος, kakokhumos – debole, morboso) Fortunatamente!
Così Parlavano Marco Valdo M.I. e Lucien Lane.
Ah, dice Lucien l'asino sorridendo, si direbbe che quest'idea di guerra di centomila anni fa la sua (piccola) strada.
È vero e ne sono contento. Tuttavia, la Guerre de Cent Mille Ans, così come lo avevo immaginato, è una guerra un po' particolare, poiché è la guerra che contiene allo stesso tempo gli episodi di guerra (militare) e gli episodi intercalari di pace (militare); ma di più, è molto più vasta, poiché postula che la guerra militare è soltanto una delle forme possibili della guerra. È una costruzione di modelli di una concezione la cui base è che la guerra durerà finché le condizioni che la fondano si manterranno. La cifra di centomila anni serviva a mostrare la sua ampiezza rispetto alla durata della vita umana; è un numero arbitrario che vuole significare che questa guerra non è un fenomeno momentaneo (diciamo ad esempio una guerra di cento anni per fissare le frontiere tra stati), ma un fenomeno dell'evoluzione come dire, intrinseco alla razza umana. Questa guerra di centomila anni è il risultato di un'aberrazione, di un colpo non esploso dell'evoluzione – nel senso darwiniano.
Penso bene di seguire la tua idea, Marco Valdo M.I amico mio, dicendo che nel campo dello spettacolo, si parlerebbe di un errore di casting o qualcosa del genere.
Si può infatti dire qualcosa del genere, anche se non è realmente quello. L'essenziale potrebbe essere che da un lato, occorre tenere conto della sua lunghezza – che spazza molte illusioni e d'altra parte, della sua natura particolare. È il risultato, evolutivo, di un processo – sempre in corso – di privatizzazione del mondo, di un processo d'accaparramento per alcuni umani o gruppi di umani di ciò che tutta la specie produce nella sua relazione con la natura.
Allora, dice Lucien l'asino improvvisamente pensieroso, il problema è dunque di sapere come la razza umana uscirà dalla trappola della ricchezza, che essa stessa si è preparata.
Parole d'oro, Lucien l'asino amico mio. Per essere più netto quanto alla ricchezza (alle ricchezze…), la definirà come: “ciò che l'insieme della razza umana produce „. Occorre anche precisare ciò che produce, cioè: essa stessa (degli esseri umani), della vita, dei gruppi, dell'organizzazione, dei prodotti alimentari, degli oggetti, delle cure, ecc. È tutto ciò che si accaparrino e molte di altre cose ancora.
Fermiamo là, se vuoi, poiché…
Fermiamoci, fermiamoci, se non si finirebbe. Vorrei solo aggiungere questo che la riflessione sulla natura della guerra mi sembra l'argomento centrale delle canzoni contro la guerra. Detto ciò, non ne farò un trattato. Del resto, qui,molto si fa da solo: canzone dopo canzone.
Ammettiamo; dovrebbe esserci della verità in tutto ciò che racconti, dice Lucien l'asino agitando la coda. Riprendiamo il nostro compito e tessiamo il sudario di questo vecchio mondo polemofilo, bellicoso, guerreggiante, malato della ricchezza e cacochimo. (κακόχυμος, kakokhumos – debole, morboso) Fortunatamente!
Così Parlavano Marco Valdo M.I. e Lucien Lane.
Marco Valdo M.I. - 30/12/2015 - 19:01
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La prima, intitolata "Genova chiama", parafrasando una famosa canzone dei Clash (London Calling), rappresenta un vibrante richiamo ad un impegno sociale che parta "dal basso" e che porta le persone a manifestare sia il proprio dissenso verso le posizioni neo-liberiste, sia la propria voglia e necessità di costruire un mondo più giusto e con regole diverse. "Genova Chiama" è stata scelta dai portavoce del Social Forum (No Global) come inno ufficiale del movimento italiano. La seconda, "La Canzone di Carlo", citazione tratta da un film del regista inglese Ken Loach (La canzone di Carla), è una ballata dedicata a Carlo Giuliani, brano che affronta con poesia e con passione, ciò che è successo quel maledetto 20 luglio 2001.
A breve ci sarà la pubblicazione di un EP, intitolato "Genova Chiama". L'album sarà distribuito da Il Manifesto e Carta, e verrà venduto nelle Librerie Feltrinelli e in altri punti vendita della rete del quotidiano Il Manifesto. Includerà 4 brani: Genova chiama, La canzone di Carlo, Carne da cannone e Notte di San Severo (queste ultime due estratte dall'album "900" ). I proventi verranno interamente devoluti al Social Forum per il finanziamento di progetti a scopo sociale. L’operazione sarà promossa, per ciò che riguarda la carta stampata, da Il Manifesto, Carta, Liberazione e L'Unità, oltre a godere della collaborazione di Smomoranda. Vi sarà un intensa campagna di promozione e un live di presentazione su Popolare Network, partecipe nei mesi preparatori dell’anno scorso alle manifestazioni anti G8 e in seguito testimone dei gravissimi fatti di Genova. Popolare Network vuole accompagnare in modo significativo, col suo sostegno e la sua presenza, le iniziative del movimento. In questa cornice, le radio indipendenti che compongono il network sono felici di promuovere il progetto Casa del Vento & Social Forum accanto alle altre testate con cui condividono principi e valori fondamentali, che si traducono anche in informazione, cultura e musica.
Infine verranno realizzate delle presentazioni con mini set live (es: Librerie Feltrinelli). Il tutto associato ad un tam-tam con la Rete dei Forum Sociali di di tutta Italia.
La Casa del Vento si propone nella prossima estate come una delle band più attente verso le tematiche legate al No Global, trasportando nei concerti l'energia che tale progetto sta delineando. Ma nel live estivo non solo "Genova Chiama" e "La canzone di Carlo", verranno affiancate ai brani contenuti in "900" (Carne da cannone, A Las Barricadas, Novecento, Brucia la città, Notte di San Severo e altre). Saranno infatti proposte in anteprima le nuove canzoni inedite, che faranno parte del prossimo album della Casa del Vento, previsto per l’autunno 2002.