Dreaming again of a train track ending at the edge of the sea
(Big black cloud was low and rolling our way)
Dog at the barbed wire barking at my buzz cut friends and me
(Sound of a switchblade shining in the summer rain)
No one on the corner had a quarter for the telephone
Everybody bitching, There's nothing on the radio
Dreaming again of a city full of fathers in their army clothes
(Chattering boys and a chicken at the chopping block)
All of us lost at the crosswalk waiting for the other to go
(Didn't find a friend but, boy, I really bought a lot)
Someone bet a dollar that my daddy wasn't coming home
Everybody bitching, There's nothing on the radio
Dreaming again that it's freezing and my mother's in her flowerbed
(Long dead rows of daffodils and marigolds)
Changing her face like a shadow on the gravel, this is what she said
(Blood on my chin still chewing on a red rose)
No one lives forever and the devil never sleeps alone
Everybody bitching, There's nothing on the radio
(Big black cloud was low and rolling our way)
Dog at the barbed wire barking at my buzz cut friends and me
(Sound of a switchblade shining in the summer rain)
No one on the corner had a quarter for the telephone
Everybody bitching, There's nothing on the radio
Dreaming again of a city full of fathers in their army clothes
(Chattering boys and a chicken at the chopping block)
All of us lost at the crosswalk waiting for the other to go
(Didn't find a friend but, boy, I really bought a lot)
Someone bet a dollar that my daddy wasn't coming home
Everybody bitching, There's nothing on the radio
Dreaming again that it's freezing and my mother's in her flowerbed
(Long dead rows of daffodils and marigolds)
Changing her face like a shadow on the gravel, this is what she said
(Blood on my chin still chewing on a red rose)
No one lives forever and the devil never sleeps alone
Everybody bitching, There's nothing on the radio
Contributed by Bernart Bartleby - 2014/5/26 - 10:30
Language: French
Traduzione francese di crimson antics da LyricsTranslate.com
LE DIABLE NE DORT JAMAIS
Je rêve encore de rails de chemin de fer se terminant au bord de la mer
(Le gros nuage noir était bas et se déplaçait vers nous)
Le chien derrière la clôture de fil barbelé aboyait en direction de moi et de mes amis au crâne rasé
(Le son d'un couteau à cran d'arrêt brillant sous la pluie estivale)
Personne au coin de la rue n'avait 25 sous pour le téléphone public
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Je rêve encore d'une ville pleine de pères dans leurs uniformes de l'armée
(Des garçons qui bavardent et un poulet prêt à se faire trancher la tête)
Tout le monde était perdu à la traverse, attendant que les autres y aillent
(Je n'ai pas trouvé d'ami mais, mec, j'ai beaucoup acheté)
Quelqu'un a parié un dollar que mon père ne rentrerait pas à la maison
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Je rêve encore qu'il fait très froid et que ma mère est dans son lit de fleurs
(De longues rangées mortes de jonquilles et de soucis)
Changeant son visage comme une ombre sur le gravier, c'est ce qu'elle a dit
(Du sang sur mon menton, mâchant encore une rose rouge)
Personne ne vit éternellement et le diable ne dort jamais seul
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Je rêve encore de rails de chemin de fer se terminant au bord de la mer
(Le gros nuage noir était bas et se déplaçait vers nous)
Le chien derrière la clôture de fil barbelé aboyait en direction de moi et de mes amis au crâne rasé
(Le son d'un couteau à cran d'arrêt brillant sous la pluie estivale)
Personne au coin de la rue n'avait 25 sous pour le téléphone public
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Je rêve encore d'une ville pleine de pères dans leurs uniformes de l'armée
(Des garçons qui bavardent et un poulet prêt à se faire trancher la tête)
Tout le monde était perdu à la traverse, attendant que les autres y aillent
(Je n'ai pas trouvé d'ami mais, mec, j'ai beaucoup acheté)
Quelqu'un a parié un dollar que mon père ne rentrerait pas à la maison
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Je rêve encore qu'il fait très froid et que ma mère est dans son lit de fleurs
(De longues rangées mortes de jonquilles et de soucis)
Changeant son visage comme une ombre sur le gravier, c'est ce qu'elle a dit
(Du sang sur mon menton, mâchant encore une rose rouge)
Personne ne vit éternellement et le diable ne dort jamais seul
Tout le monde se plaignait, il n'y avait rien à la radio
Contributed by Bernart Bartleby - 2014/5/26 - 10:31
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Parole e musica di Samuel Beam.
Nell’album intitolato “The Shepherd's Dog”