Ils étaient des milliers ruminant sur le sol
Essayant de lutter contre ces années folles
Ils venaient de nulle part ou bien d'un autre monde
Où depuis leur départ ils vivaient comme une ombre
Ils avaient tout quitté ou on leur a tout pris
Les frères qu'ils aimaient jusqu'à leur propre vie
Ils n'avaient plus d'espoirs de revoir leurs pays
Ils signaient dans l'histoire leurs derniers jours de vie
Peu importe le temps, les mois ou les années
On ne pourra jamais savoir ce qu’ils vivaient
Dans ce camp de misère ils se sont retrouvés
Par cette triste guerre au regard des armées
Portant sur son épaule l’incrédule soldat
Un fusil dont pour rôle était d’ouvrir le pas
A ces gens épuisés et figés par le froid
Et sans s’imaginer vivre ces choses-là
Que l'on soit espagnol, juif, ou polonais
Y avait-il une raison pour qu'ils soient déportés?
Avaient-ils fait du mal ou est-ce qu'ils dérangeaient
Tous ces hommes et ces femmes, ces enfants du passé?
Que faut-il aujourd'hui ou bien même à jamais
Retenir de ces cris, des pleurs qu'ils ont versés
Garder en nos mémoires pour que nos héritiers
Puissent sécher les larmes que ces gens ont versées
Garder en nos mémoires pour que nos héritiers
Gravent enfin cette histoire, pour ne pas oublier.
Essayant de lutter contre ces années folles
Ils venaient de nulle part ou bien d'un autre monde
Où depuis leur départ ils vivaient comme une ombre
Ils avaient tout quitté ou on leur a tout pris
Les frères qu'ils aimaient jusqu'à leur propre vie
Ils n'avaient plus d'espoirs de revoir leurs pays
Ils signaient dans l'histoire leurs derniers jours de vie
Peu importe le temps, les mois ou les années
On ne pourra jamais savoir ce qu’ils vivaient
Dans ce camp de misère ils se sont retrouvés
Par cette triste guerre au regard des armées
Portant sur son épaule l’incrédule soldat
Un fusil dont pour rôle était d’ouvrir le pas
A ces gens épuisés et figés par le froid
Et sans s’imaginer vivre ces choses-là
Que l'on soit espagnol, juif, ou polonais
Y avait-il une raison pour qu'ils soient déportés?
Avaient-ils fait du mal ou est-ce qu'ils dérangeaient
Tous ces hommes et ces femmes, ces enfants du passé?
Que faut-il aujourd'hui ou bien même à jamais
Retenir de ces cris, des pleurs qu'ils ont versés
Garder en nos mémoires pour que nos héritiers
Puissent sécher les larmes que ces gens ont versées
Garder en nos mémoires pour que nos héritiers
Gravent enfin cette histoire, pour ne pas oublier.
envoyé par Bernart Bartleby - 10/12/2013 - 19:12
×
Parole et musique de Michel Ronchi.
Nell’album intitolato "Entre Nous" con il gruppo Les Ostrogoths
Testo trovato su Musique dans les camps d'internement en France sul sito dedicato alla musica ebraica curato da Claude Torres di Montpellier.
Anche il campo di Judes-Septfonds in Tarn-et-Garonne, come quello di Gurs, nacque per ospitare i profughi della guerra di Spagna ma poi, con l’armistizio franco-tedesco e l’avvento del governo collaborazionista di Vichy, divenne un campo di concentramento, prima per prigionieri di guerra alleati, poi per «individui pericolosi», in gran parte ebrei non francesi che verranno quasi tutti (alcune centinaia) spediti a morire ad Auschwitz, via Drancy...