Donnez-moi des clefs pour les grilles
Un canon pour prendre la ville
Voilà comment je leur parlais
Donnez-moi trois cents uniformes
Faites rassembler tous vos hommes
Voilà ce que je leur disais
Je suis une fille d’Irlande
Ce que je veux, je le demande
Il ne sert à rien de rêver
Mon nom, mon visage, qu’importe
Mais si vous cognez à ma porte
Sachez qu’on m’appelle Mary
Donnez-moi un fusil, des bottes
Un manteau, un cheval qui trotte
Voilà comment je leur parlais
Donnez-moi donc pour ma gouverne
Le drapeau noir et la lanterne
Voilà ce que je leur disais
Je suis une fille, j’ai l’âge
Des amoureux sur mon corsage
Et des rendez-vous au café
L’amour, les enfants, oui, c’est l’heure
Mais pour l’instant l’Irlande pleure
Et moi, je m’appelle Mary
Donnez-moi donc un coin de terre
À Dublin pour que l’on m’enterre
Voilà tout ce que j’ai crié
Donnez-moi donc pour la mémoire
L’oubli de toute cette histoire
Mais laissez-moi vous raconter
Le jour s’était levé, fragile
Nous marchions pour prendre la ville
C’était Pâques et presque l’été
Mais nous avons perdu la guerre
J’ai passé des années entières
Dans une prison du comté
Si je vous raconte ma vie
C’est parce que je sors aujourd’hui
Et que je m’appelle Mary
Un canon pour prendre la ville
Voilà comment je leur parlais
Donnez-moi trois cents uniformes
Faites rassembler tous vos hommes
Voilà ce que je leur disais
Je suis une fille d’Irlande
Ce que je veux, je le demande
Il ne sert à rien de rêver
Mon nom, mon visage, qu’importe
Mais si vous cognez à ma porte
Sachez qu’on m’appelle Mary
Donnez-moi un fusil, des bottes
Un manteau, un cheval qui trotte
Voilà comment je leur parlais
Donnez-moi donc pour ma gouverne
Le drapeau noir et la lanterne
Voilà ce que je leur disais
Je suis une fille, j’ai l’âge
Des amoureux sur mon corsage
Et des rendez-vous au café
L’amour, les enfants, oui, c’est l’heure
Mais pour l’instant l’Irlande pleure
Et moi, je m’appelle Mary
Donnez-moi donc un coin de terre
À Dublin pour que l’on m’enterre
Voilà tout ce que j’ai crié
Donnez-moi donc pour la mémoire
L’oubli de toute cette histoire
Mais laissez-moi vous raconter
Le jour s’était levé, fragile
Nous marchions pour prendre la ville
C’était Pâques et presque l’été
Mais nous avons perdu la guerre
J’ai passé des années entières
Dans une prison du comté
Si je vous raconte ma vie
C’est parce que je sors aujourd’hui
Et que je m’appelle Mary
envoyé par Bernart Bartleby - 9/12/2013 - 13:25
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Parole di Michelle Senlis e Claude Delécluse
Musica di Jorge Milchberg.
Nell’album “La guerre, la gloire, le paradis…”.
Una canzone sull’ “Éirí Amach na Cásca”, l’ “Easter Rising”, l’insurrezione irlandese dell’aprile 1916 contro la dominazione britannica.