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Tout le travail de mes mains, et à crédit mes lendemains
Fabriquez-moi mes loisirs, trafiquez bien mes plaisirs
Mais laissez-moi mourir selon mon bon plaisir
Selon mon bon plaisir
Transformez mon oxygène en fumées cancérigènes
Industrialisez-moi jusqu'à mes plus pures joies
Vendez-moi n'importe quoi, baptisez-moi "client-roi"
Habillez, déshabillez-moi sur vos affiches,
Mais laissez-moi en finir selon mon bon plaisir
Selon mon bon plaisir
Montrez-vous humanitaire et en disant non à la guerre
Préparez-vous à la faire puis envoyez au canon
Celui qui est assez bon pour y trouver son plaisir
Ou pour y servir de cible, mais laissez-moi mourir
Comme je le désire et le plus tard possible
Et le plus tard possible
Mais ne venez surtout pas rôdailler autour de moi
À l'heure où je sentirai ma vie se retirer
Non, laissez-la s'en aller sur la pointe des pieds
Je veux, si je dois mourir, alors m'appartenir
Je veux, si je dois mourir, alors m'appartenir
Alors m'appartenir
Alors m'appartenir
Tout le travail de mes mains, et à crédit mes lendemains
Fabriquez-moi mes loisirs, trafiquez bien mes plaisirs
Mais laissez-moi mourir selon mon bon plaisir
Selon mon bon plaisir
Transformez mon oxygène en fumées cancérigènes
Industrialisez-moi jusqu'à mes plus pures joies
Vendez-moi n'importe quoi, baptisez-moi "client-roi"
Habillez, déshabillez-moi sur vos affiches,
Mais laissez-moi en finir selon mon bon plaisir
Selon mon bon plaisir
Montrez-vous humanitaire et en disant non à la guerre
Préparez-vous à la faire puis envoyez au canon
Celui qui est assez bon pour y trouver son plaisir
Ou pour y servir de cible, mais laissez-moi mourir
Comme je le désire et le plus tard possible
Et le plus tard possible
Mais ne venez surtout pas rôdailler autour de moi
À l'heure où je sentirai ma vie se retirer
Non, laissez-la s'en aller sur la pointe des pieds
Je veux, si je dois mourir, alors m'appartenir
Je veux, si je dois mourir, alors m'appartenir
Alors m'appartenir
Alors m'appartenir
envoyé par Bernart Bartleby - 6/12/2013 - 22:20
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Parole di Pierre Grosz
Musica di Alain Goldstein
Nell’album intitolato «Francesca Solleville chante la violence et l'espoir»