Puisqu’on nous traite en mercenaires,
Et que l’on veut nous asservir,
Travailleurs, vaillants prolétaires,
Tous en chœur, il est temps d’agir (bis)
Contre la basse politique,
Sachons revendiquer nos droits,
Luttons contre les gros bourgeois
Ennemis de la république.
Vivent les travailleurs !
A bas ! les exploiteurs !
Luttons (bis) pour assurer
L’aisance aux travailleurs.
Exigeons pour tout prolétaire,
Et pour toute l’humanité,
Du travail un juste salaire,
Le bien-être et la liberté (bis)
Révoltons-nous contre la clique,
Qui veut vivre sans travailler,
Et ceux qui veulent gouverner
Par une infâme politique.
Enfants du peuple et prolétaires,
Plus que jamais, soyons unis,
Travailleurs, combattons en frères,
Terrassons tous nos ennemis (bis),
Contre les rois de la finance
Et tous les riches exploiteurs,
Les hommes noirs et les voleurs
Levons-nous tous avec vaillance.
Que le Commerce et l’Industrie
Sachent s’unir et gouverner,
Car pour vaincre la tyrannie,
C’est le peuple qui doit régner (bis)
De nos enfants, de nos compagnes,
Sachons modérer le labeur ;
Assurons à tous le bonheur,
A la ville et dans les campagnes.
Et que l’on veut nous asservir,
Travailleurs, vaillants prolétaires,
Tous en chœur, il est temps d’agir (bis)
Contre la basse politique,
Sachons revendiquer nos droits,
Luttons contre les gros bourgeois
Ennemis de la république.
Vivent les travailleurs !
A bas ! les exploiteurs !
Luttons (bis) pour assurer
L’aisance aux travailleurs.
Exigeons pour tout prolétaire,
Et pour toute l’humanité,
Du travail un juste salaire,
Le bien-être et la liberté (bis)
Révoltons-nous contre la clique,
Qui veut vivre sans travailler,
Et ceux qui veulent gouverner
Par une infâme politique.
Enfants du peuple et prolétaires,
Plus que jamais, soyons unis,
Travailleurs, combattons en frères,
Terrassons tous nos ennemis (bis),
Contre les rois de la finance
Et tous les riches exploiteurs,
Les hommes noirs et les voleurs
Levons-nous tous avec vaillance.
Que le Commerce et l’Industrie
Sachent s’unir et gouverner,
Car pour vaincre la tyrannie,
C’est le peuple qui doit régner (bis)
De nos enfants, de nos compagnes,
Sachons modérer le labeur ;
Assurons à tous le bonheur,
A la ville et dans les campagnes.
envoyé par adriana - 4/5/2013 - 08:52
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Sur l'air de : La Marseillaise
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