Où es-tu ?
Derrière quel mur ?
Souffres-tu ?
Torture, ordure
Le temps est suspendu
Mais vis-tu encore
Ou bien es-tu MORT ?
.
.
.
Moi je sais que c’est horrible
Horrible, ce qu’on te fait
Moi je sais que c’est terrible
Terrible que ce soit fait
.
.
.
.
Mon amour, mon coeur
Ma vie, j’ai peur
Je tomberai dans tes bras
Dans tes bras
Comme un oiseau blessé...
Tu me prendras dans tes bras
Dans tes bras
Comme une fleur éclatée...
Et je crierai dans tes bras
Dans tes bras
Comme une femme...
.
.
.
Dans tes yeux comme la mer
Où je coule, où je me perds
Dans tes yeux comme le ciel
Passe l’été et passe l’hiver...
.
.
.
Moi je sais bien
Tout ce que dit ta bouche
Sur mes lèvres, sur ma joue...
Moi je sais bien
Tout ce que veut ta bouche
Rose tatouée sur mon cou...
Moi je sais bien
Tout ce que fait ta bouche
Sur ma peau nue, à genoux...
.
.
.
.
.
.
Je tomberai dans tes bras
Dans tes bras
Comme un oiseau...
Tu me prendras dans tes bras
Comme une fleur
Et je crierai dans tes bras
Dans tes bras
Comme une femme...
.
.
.
.
.
.
Plutôt la MORT
Plutôt la mort
Que ma vie...
.
Je ne parlerai pas...
.
Je ne parlerai pas...
Sang qui bat
Sang qui cogne
Chair qui hurle
Chair qui brûle
.
.
.
.
J’ai mal
.
.
Je ne parlerai pas
.
.
...Brisé, écartelé
Transpercé, foudroyé
.
.
.
NOIR, nuit du monde
Désespoir...aveugle
.
.
J’étouffe
.
.
Un peu d’eau
.
.
Mon amour
Mon amour
Je n’ai plus rien
Plus de bouche
Plus de mains
Plus de voix
Plus de mots...
.
.
Blessé...
.
Eclatée...
.
.
AIMER AIMER AIMER
AIMER AIMER AIMER
Derrière quel mur ?
Souffres-tu ?
Torture, ordure
Le temps est suspendu
Mais vis-tu encore
Ou bien es-tu MORT ?
.
.
.
Moi je sais que c’est horrible
Horrible, ce qu’on te fait
Moi je sais que c’est terrible
Terrible que ce soit fait
.
.
.
.
Mon amour, mon coeur
Ma vie, j’ai peur
Je tomberai dans tes bras
Dans tes bras
Comme un oiseau blessé...
Tu me prendras dans tes bras
Dans tes bras
Comme une fleur éclatée...
Et je crierai dans tes bras
Dans tes bras
Comme une femme...
.
.
.
Dans tes yeux comme la mer
Où je coule, où je me perds
Dans tes yeux comme le ciel
Passe l’été et passe l’hiver...
.
.
.
Moi je sais bien
Tout ce que dit ta bouche
Sur mes lèvres, sur ma joue...
Moi je sais bien
Tout ce que veut ta bouche
Rose tatouée sur mon cou...
Moi je sais bien
Tout ce que fait ta bouche
Sur ma peau nue, à genoux...
.
.
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.
.
.
Je tomberai dans tes bras
Dans tes bras
Comme un oiseau...
Tu me prendras dans tes bras
Comme une fleur
Et je crierai dans tes bras
Dans tes bras
Comme une femme...
.
.
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.
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.
Plutôt la MORT
Plutôt la mort
Que ma vie...
.
Je ne parlerai pas...
.
Je ne parlerai pas...
Sang qui bat
Sang qui cogne
Chair qui hurle
Chair qui brûle
.
.
.
.
J’ai mal
.
.
Je ne parlerai pas
.
.
...Brisé, écartelé
Transpercé, foudroyé
.
.
.
NOIR, nuit du monde
Désespoir...aveugle
.
.
J’étouffe
.
.
Un peu d’eau
.
.
Mon amour
Mon amour
Je n’ai plus rien
Plus de bouche
Plus de mains
Plus de voix
Plus de mots...
.
.
Blessé...
.
Eclatée...
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AIMER AIMER AIMER
AIMER AIMER AIMER
envoyé par Riccardo Venturi - 13/8/2006 - 20:40
Langue: italien
Versione italiana di Riccardo Venturi
13 agosto 2006
13 agosto 2006
LA TORTURA
Dove sei ?
Dietro quale muro ?
Stai soffrendo ?
Tortura, spazzatura
Il tempo è sospeso
Sei ancora vivo
oppure sei MORTO ?
.
.
.
Il lo so che è orribile,
orribile quel che ti fanno
Lo so che è terribile,
terribile che ciò sia fatto
.
.
.
.
Amore mio, cuore mio,
vita mia, ho apura
cadrò nelle tue braccia
nelle tue braccia
come un uccello ferito…
Mi prenderai fra le braccia
come un fiore sbocciato…
E piangerò fra le tue braccia
fra le tue braccia
come una donna…
.
.
.
Nei tuoi occhi come il mare
dove mi verso, dove mi perdo
nei tuoi occhi come il cielo
passa l’estate e l’inverno
.
.
.
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca dice
sulle mie labbra, sulla mia guancia…
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca vuole,
rosa tatuata sul mio collo…
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca fa
sulla mia pelle nuda, in ginocchio…
.
.
.
.
.
.
Cadrò nelle tue braccia
nelle tue braccia
come un uccello…
Tu mi prenderai fra le braccia
come un fiore
e piangerò fra le tue braccia
nelle tue braccia
come una donna…
.
.
.
.
.
.
Piuttosto la MORTE
piuttosto la morte
che la mia vita…
.
Non parlerò...
.
Non parlerò...
Sangue che batte
Sangue che pulsa
Carne che urla
Carne che brucia
.
.
.
.
Ho male
.
.
Non parlerò
.
.
...Spezzato, squartato,
trafitto, folgorato
.
.
.
NERO, notte del mondo
Disperazione...cieca
.
.
Sto soffocando
.
.
Un po’ d’acqua
.
.
Amore mio
Amore mio
non ho più nulla
Non ho più bocca
Non ho più mani
Non ho più voce
Non ho più parole...
.
.
Ferito...
.
Schiantata...
.
.
AMARE AMARE AMARE
AMARE AMARE AMARE
Dove sei ?
Dietro quale muro ?
Stai soffrendo ?
Tortura, spazzatura
Il tempo è sospeso
Sei ancora vivo
oppure sei MORTO ?
.
.
.
Il lo so che è orribile,
orribile quel che ti fanno
Lo so che è terribile,
terribile che ciò sia fatto
.
.
.
.
Amore mio, cuore mio,
vita mia, ho apura
cadrò nelle tue braccia
nelle tue braccia
come un uccello ferito…
Mi prenderai fra le braccia
come un fiore sbocciato…
E piangerò fra le tue braccia
fra le tue braccia
come una donna…
.
.
.
Nei tuoi occhi come il mare
dove mi verso, dove mi perdo
nei tuoi occhi come il cielo
passa l’estate e l’inverno
.
.
.
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca dice
sulle mie labbra, sulla mia guancia…
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca vuole,
rosa tatuata sul mio collo…
Conosco bene
tutto quel che la tua bocca fa
sulla mia pelle nuda, in ginocchio…
.
.
.
.
.
.
Cadrò nelle tue braccia
nelle tue braccia
come un uccello…
Tu mi prenderai fra le braccia
come un fiore
e piangerò fra le tue braccia
nelle tue braccia
come una donna…
.
.
.
.
.
.
Piuttosto la MORTE
piuttosto la morte
che la mia vita…
.
Non parlerò...
.
Non parlerò...
Sangue che batte
Sangue che pulsa
Carne che urla
Carne che brucia
.
.
.
.
Ho male
.
.
Non parlerò
.
.
...Spezzato, squartato,
trafitto, folgorato
.
.
.
NERO, notte del mondo
Disperazione...cieca
.
.
Sto soffocando
.
.
Un po’ d’acqua
.
.
Amore mio
Amore mio
non ho più nulla
Non ho più bocca
Non ho più mani
Non ho più voce
Non ho più parole...
.
.
Ferito...
.
Schiantata...
.
.
AMARE AMARE AMARE
AMARE AMARE AMARE
×
Parole e musica di Annie Nobel
Nel suo disco intitolato “Chroniques terriennes”, con Philippe Richeux
Testo trovato sul sito dell'autrice
13 agosto 2006, ore 20.38. Inizio a inserire la CCG n° 4225. Una canzone di Annie Nobel. Piena di punti di sospensione. Arrivo alla fine e ho il respiro mozzato. E non mi sento di scrivere nient'altro. [RV]