Viva la pa-pa-pappa
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
La storia del passato
Ormai ce l´ha insegnato
Che un popolo affamato
Fa la rivoluzion
Ragion per cui affamati
Abbiamo combattuto
Perciò "buon appetito"
Facciamo colazion
Viva la pa-pa-pappa
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
La pancia che borbotta
È causa del complottto
È causa della lotta:
"abbasso il Direttor!"
La zuppa ormai l´è cotta
E noi cantiamo tutti
Vogliamo detto fatto
La pappa al pomodor!
Viva la pa-pa-pappa
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor!
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
La storia del passato
Ormai ce l´ha insegnato
Che un popolo affamato
Fa la rivoluzion
Ragion per cui affamati
Abbiamo combattuto
Perciò "buon appetito"
Facciamo colazion
Viva la pa-pa-pappa
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
La pancia che borbotta
È causa del complottto
È causa della lotta:
"abbasso il Direttor!"
La zuppa ormai l´è cotta
E noi cantiamo tutti
Vogliamo detto fatto
La pappa al pomodor!
Viva la pa-pa-pappa
Col po-po-po-po-po-po-pomodoro
Ah viva la pa-pa-pappa
Che è un capo-po-po-po-polavoro
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor
Viva la pa-pappa pa-ppa
Col po-po-pomodor!
Contributed by Riccardo Venturi - 2013/4/26 - 17:08
Giusto ricordare la grande Lina Wertmüller sulla "Canzone arrabbiata" del Film d'Amore e d'Anarchia, come è stato fatto; la canzone sulla quale era stata ricordata anche Mariangela Melato nel giorno della sua scomparsa. Però, a me va di farlo anche sulla Pappaippomodoro, la canzone che Lina Wertmüller aveva scritto per il Gianburrasca. Ciao Lina!
Riccardo Venturi - 2021/12/9 - 22:10
Language: French
Version française – VIVE LA PAPE À LA TOMATE – Marco Valdo M.I. – 2021
Chanson italienne – Viva la pappa col pomodoro – Lina Wertmüller (Rita Pavone) – 1964
Texte : Lina Wertmüller
Musique : Nino Rota
Du feuilleton télévisé :
Il Giornalino di Gian Burrasca (tiré du roman de Luigi Bertelli “Vamba”)
Réalisation : Lina Wertmüller
Chanson interprétée également par Irene Grandi con Stefano Bollani
Chanson italienne – Viva la pappa col pomodoro – Lina Wertmüller (Rita Pavone) – 1964
Texte : Lina Wertmüller
Musique : Nino Rota
Du feuilleton télévisé :
Il Giornalino di Gian Burrasca (tiré du roman de Luigi Bertelli “Vamba”)
Réalisation : Lina Wertmüller
Chanson interprétée également par Irene Grandi con Stefano Bollani
Quand, l’autre soir, on me l’a fait entendre au CPA Firenze Sud, ma première réaction a été de ricasser : « On devrait mettre pappaaippomodòro (La pape à la tomate) dans les Chansons contre la Guerre. » Je l’ai dit comme ça, à la florentine, parce que ça ne sert à rien de tourner autour du pot : la pape à la tomate (et non pas “aux” tomates !) n’est connue qu’à Florence (une de ces choses très simples que peu de gens savent faire correctement). Il ne m’a fallu qu’une minute à peine pour y repenser ; je me suis souvenu de la plus célèbre “chansonnette” du « Giornalino di Gian Burrasca » (Le Journal de Jean Bourrasque), et je me suis dit qu’il devait y avoir eu d’autres temps, autres et lointains, où dans une chanson écrite pour une série télévisée consacrée à « l’enfance » (mais seulement jusqu’à un certain point…) où on chantait des choses comme : « L’histoire du passé / nous a appris maintenant / qu’un peuple affamé / fait une révolution ». Comprends qui peut. Puis je me suis souvenu que le scénario en question avait été réalisé par Lina Wertmüller ; et tout est alors devenu plus clair pour moi, étant donné que Wertmüller elle-même a également écrit les paroles de la chanson, avec une musique de Nino Rota (!!!). Lina Wertmüller et Nino Rota ; les mêmes que dans Canzone arrabbiata. Ceci étant, pappaaippomodòro (La pape à la tomate) a vraiment fini par arriver dans les GCC, car c’est une véritable chanson de combat. Nous n’entrerons pas dans tous ces détails ici ; et je pense que, si elle nous lisait, même Lina Wertmüller serait d’accord de tout cœur.
Rappelons brièvement l’histoire de cette chanson. Le « Giornalino di Gian Burrasca », écrit en 1907 par Luigi “Vamba” Bertelli, journaliste et écrivain florentin, a voulu être et a été l’hymne de sincérité d’un garçon de neuf ans (Giannino Stoppani, appelé « Gian Burrasca » en raison de son comportement résolument exubérant) contre l’hypocrisie des adultes et, donc, de la société entière. Luigi Bertelli n’est pas exactement un « révolutionnaire » ; au contraire, il est en perpétuelle polémique contre les socialistes de l’époque qui, d’ailleurs, dans la figure de l’avocat Maralli (le mari de la sœur aînée de Giannino, littéralement déchiré mis en pièces par ce dernier), sont visés et moqués dans le “Giornalino”. Mais, en même temps, le « Giornalino di Gian Burrasca » est une œuvre anarchique, dans laquelle les “gamineries” d’un enfant (et quelles gamineries !) mettent à nu toute une société, celle de l'“Italietta” des années d’avant-guerre, dans toutes ses composantes. À la fin, Giannino est placé dans un pensionnat, la punition ultime pour un garçon, un peu comme une prison. Le pensionnat Pierpaolo Pierpaoli est dirigé par le strict et avide M. Stanislao, grand et maigre, et sa femme Geltrude, basse et grasse. Dans ce nouvel environnement, Gian Burrasca se fait rapidement des amis malgré son âge, et rejoint notamment la société secrète locale « Un pour tous et tous pour un ». Quand, à la suite d’une énième gaminerie, Giannino est enfermé dans une sorte de prison et découvre que la délicieuse soupe maigre du vendredi n’est autre que le fruit de la reconversion des plats de la semaine, il décide de révéler la porcherie en laissant, jour après jour, avec ses camarades, de petites boules d’aniline sur les assiettes : la couleur rouge de la soupe révélera à tous son origine le vendredi suivant. Les directeurs de l’internat tentent d’abord de minimiser l’incident et fournissent d’autres excuses pour la couleur anormale du plat, mais ils sont contraints d’admettre la fraude et de remplacer le plat par de la pappa al pomodoro, très désirée par les enfants, lorsque l’un des conspirateurs met en garde les convives contre l’ingestion du colorant artificiel. Face au harcèlement de M. et Mme Stanislao, ils décident de s’enfuir et Giannino est également renvoyé chez lui suite au scandale.
Une révolte, donc : « Le peuple affamé fait la révolution », et la « révolution » provoquée par la concomitance des ventres vides et les tromperies de qui commande, tromperies dérivées du profit. Il y a de quoi voir beaucoup, beaucoup de choses dans cette petite chanson, et la personne qui me l’a fait remarquer avait raison. La voici donc, interprétée par une toute jeune Rita Pavone, qui jouait le rôle de Giannino dans la série télévisée (qui a connu un succès retentissant : tout le monde s’en souvient encore aujourd’hui, même ceux qui n’étaient pas encore nés à l’époque). À propos, la pappa al pomodoro est l’une des “constantes” de la CPA ; si vous voulez la déguster correctement, vous devez venir dans un endroit où la “révolution” coûte, à tous, dénonciations, prison et assignation à résidence. [RV].
Rappelons brièvement l’histoire de cette chanson. Le « Giornalino di Gian Burrasca », écrit en 1907 par Luigi “Vamba” Bertelli, journaliste et écrivain florentin, a voulu être et a été l’hymne de sincérité d’un garçon de neuf ans (Giannino Stoppani, appelé « Gian Burrasca » en raison de son comportement résolument exubérant) contre l’hypocrisie des adultes et, donc, de la société entière. Luigi Bertelli n’est pas exactement un « révolutionnaire » ; au contraire, il est en perpétuelle polémique contre les socialistes de l’époque qui, d’ailleurs, dans la figure de l’avocat Maralli (le mari de la sœur aînée de Giannino, littéralement déchiré mis en pièces par ce dernier), sont visés et moqués dans le “Giornalino”. Mais, en même temps, le « Giornalino di Gian Burrasca » est une œuvre anarchique, dans laquelle les “gamineries” d’un enfant (et quelles gamineries !) mettent à nu toute une société, celle de l'“Italietta” des années d’avant-guerre, dans toutes ses composantes. À la fin, Giannino est placé dans un pensionnat, la punition ultime pour un garçon, un peu comme une prison. Le pensionnat Pierpaolo Pierpaoli est dirigé par le strict et avide M. Stanislao, grand et maigre, et sa femme Geltrude, basse et grasse. Dans ce nouvel environnement, Gian Burrasca se fait rapidement des amis malgré son âge, et rejoint notamment la société secrète locale « Un pour tous et tous pour un ». Quand, à la suite d’une énième gaminerie, Giannino est enfermé dans une sorte de prison et découvre que la délicieuse soupe maigre du vendredi n’est autre que le fruit de la reconversion des plats de la semaine, il décide de révéler la porcherie en laissant, jour après jour, avec ses camarades, de petites boules d’aniline sur les assiettes : la couleur rouge de la soupe révélera à tous son origine le vendredi suivant. Les directeurs de l’internat tentent d’abord de minimiser l’incident et fournissent d’autres excuses pour la couleur anormale du plat, mais ils sont contraints d’admettre la fraude et de remplacer le plat par de la pappa al pomodoro, très désirée par les enfants, lorsque l’un des conspirateurs met en garde les convives contre l’ingestion du colorant artificiel. Face au harcèlement de M. et Mme Stanislao, ils décident de s’enfuir et Giannino est également renvoyé chez lui suite au scandale.
Une révolte, donc : « Le peuple affamé fait la révolution », et la « révolution » provoquée par la concomitance des ventres vides et les tromperies de qui commande, tromperies dérivées du profit. Il y a de quoi voir beaucoup, beaucoup de choses dans cette petite chanson, et la personne qui me l’a fait remarquer avait raison. La voici donc, interprétée par une toute jeune Rita Pavone, qui jouait le rôle de Giannino dans la série télévisée (qui a connu un succès retentissant : tout le monde s’en souvient encore aujourd’hui, même ceux qui n’étaient pas encore nés à l’époque). À propos, la pappa al pomodoro est l’une des “constantes” de la CPA ; si vous voulez la déguster correctement, vous devez venir dans un endroit où la “révolution” coûte, à tous, dénonciations, prison et assignation à résidence. [RV].
VIVE LA PAPE À LA TOMATE
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
L’histoire du passé
Nous a fait la leçon
Qu’un peuple affamé
Fait la révolution ;
Affamés,
Nous avons raison de nous révolter.
Alors, sans façon,
Mangeons la collation.
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Le ventre qui barbote
Est cause d’aigreurs
Et cause qu’on complote.
« À bas le directeur ! »
La soupe est cuite
Et chantons en chœur :
Nous voulons sur l’heure,
La pape à la tomate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
L’histoire du passé
Nous a fait la leçon
Qu’un peuple affamé
Fait la révolution ;
Affamés,
Nous avons raison de nous révolter.
Alors, sans façon,
Mangeons la collation.
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Le ventre qui barbote
Est cause d’aigreurs
Et cause qu’on complote.
« À bas le directeur ! »
La soupe est cuite
Et chantons en chœur :
Nous voulons sur l’heure,
La pape à la tomate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Ah ! Vive la papapape,
À la saveur écaca, écarlate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Vive la papapape
À la totototototomamate !
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2021/12/12 - 11:11
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Testo di Lina Wertmüller
Musica di Nino Rota
Dallo sceneggiato televisivo:
Il Giornalino di Gian Burrasca (dal romanzo di Luigi Bertelli "Vamba")
diretto da Lina Wertmüller
Interpretata anche da Irene Grandi con Stefano Bollani
Quando, poche sere fa, me l'hanno fatto presente al CPA Firenze Sud, la prima reazione è stata di farmi qualche risatina; “Dovresti mettere la pappaaippomodòro su 'Canzoni contro la guerra'. Detto così, alla fiorentina, perché è inutile starci a girare sopra: la pappa al pomodoro (non “col” pomodoro!) si conosce solo a Firenze (una di quelle cose semplicissime che pochi, però, sanno fare a dovere). Mi ci è voluto un minuto scarso per ripensarci; me la sono ricantata, la “canzoncina” più famosa del “Giornalino di Gian Burrasca”, e mi son detto che dovevano proprio essere altri tempi, altri e lontani, quelli in cui in una canzone scritta per uno sceneggiato televisivo dedicato all' “infanzia” (ma fino a un certo punto...) si cantavano cose del tipo: ”La storia del passato / ormai ce lo ha insegnato / che un popolo affamato / fa la rivoluzion”. Ma pensa un po' te. Poi mi sono ricordato che lo sceneggiato in questione era stato diretto da Lina Wertmüller; e, allora tutto m'è apparso più chiaro, dato che la stessa Wertmüller è autrice anche del testo della canzone, su musica di Nino Rota (!!!). Lina Wertmüller e Nino Rota; gli stessi della Canzone arrabbiata. Stante questo, sulle CCG la “pappaaippomodòro” ci è finita per davvero; perché è una vera e propria canzone di lotta. Non stiamo a raccontarcela più di tanto; e penso che, se leggesse, anche Lina Wertmüller concorderebbe in pieno.
Ricordiamo brevemente la vicenda della canzone. Il “Giornalino di Gian Burrasca”, scritto nel 1907 da Luigi “Vamba” Bertelli, giornalista e scrittore fiorentino, voleva essere ed è stato l'inno della sincerità di un ragazzino di nove anni (Giannino Stoppani, detto “Gian Burrasca” per il suo comportamento decisamente esuberante) contro l'ipocrisia degli adulti e, quindi, dell'intera società. Luigi Bertelli non era propriamente un “rivoluzionario”; fu, anzi, in perenne polemica contro i socialisti dell'epoca che, del resto, nella figura dell'avvocato Maralli (il marito della sorella maggiore di Giannino, fatto letteralmente a pezzi da quest'ultimo), vengono presi di mira e sbeffeggiati nel “Giornalino”. Ma, al contempo, il “Giornalino di Gian Burrasca” è un'opera anarchica, nelle quali le “marachelle” di un bambino (e che marachelle!) mettono a nudo tutta una società, quella dell' “Italietta” degli anni del primo anteguerra, in tutte le sue componenti. Alla fine Giannino viene messo in collegio, la somma punizione per un ragazzino, non dissimile da una galera. Il collegio Pierpaolo Pierpaoli, è gestito dai severi e avidi signor Stanislao, alto e magrissimo, e la moglie Geltrude, bassa e grassa. Nel nuovo ambiente Gian Burrasca si fa rapidamente degli amici nonostante la sua età, ed entra in particolare a far parte della locale società segreta "Uno per Tutti e Tutti per Uno". Quando a causa di un'ennesima marachella Giannino viene rinchiuso in una specie di prigione, e scopre che la deliziosa minestra di magro del venerdì non è altro che il frutto della rigovernatura dei piatti della settimana, decide di svelare la porcheria lasciando giorno dopo giorno insieme ai suoi consociati delle palline di anilina nei piatti: il colore rosso della minestra ne avrebbe svelata a tutti l'origine al venerdì successivo. I direttori del collegio inizialmente tentano di minimizzare l'accaduto e fornire altre scuse per la tinta anomala del piatto, ma sono costretti ad ammettere la frode e a sostituire la pietanza con la pappa al pomodoro, tanto desiderata dai ragazzi, quando uno dei congiurati mette in guardia i commensali dall'inghiottire il colorante artificiale. Di fronte al mobbing del signor Stanislao e signora, si deciderà poi alla fuga e anche Giannino viene rimandato a casa in seguito allo scandalo.
Una rivolta, quindi: “Il popolo affamato fa la rivoluzion”, e la “rivoluzion” data dal concorso delle pance vuote e dagli inganni di chi comanda, inganni derivati dal profitto. Ce n'è abbastanza per vedere molte, molte cose in questa piccola canzoncina, e aveva ragione chi me la aveva segnalata. Eccola dunque qui, interpretata da una giovanissima Rita Pavone cui era stata affidata la parte di Giannino nello sceneggiato (che ebbe un successo sfolgorante: ancora oggi viene ricordato da tutti, anche da chi non era ancora nato allora). Fra parentesi, la pappa al pomodoro è una delle “costanti” del CPA; se volete assaggiarla fatta come si deve, dovete venire in un posto dove la “rivoluzion” costa, a tutti, denunce, galere e arresti domiciliari. [RV]