Ihr Brüder in den Städten dort
In Dörfern und im Schacht.
Ihr Brüder in Süd, West und Nord
Aus Ost die Sonn´ uns lacht.
Heraus zu uns in Wald und Flur
Gewehr zur Hand und treu dem Schwur:
Zu kämpfen und zu sterben
Bis Öst´rreich frei von Schand´.
Zu kämpfen und zu sterben
Bis Öst´rreich frei von Schand´.
Die Schande die uns alle drückt
Ist Hitlers Tyrannei.
Doch nur durch uns´ren Freiheitskampf
Wird Öst´rreich wieder frei.
Die Freiheit die wir meinen
Gilt Bauer dir und dir Prolet.
Doch wird die Sonn´ uns scheinen
Solang die Fahne weht.
Doch wird die Sonn´ uns scheinen
Solang die Fahne weht.
Die Fahne die wir tragen
Sie leuchtet rot voran
Und zeigt in schweren Tagen
Den Weg zu Frau und Mann.
Ihr Flammenzeichen in uns glüht,
Bis rings die Welt in Frieden blüht.
Bis Freiheit dir geworden,
Dir Bauer und Prolet.
Bis Freiheit dir geworden,
Dir Bauer und Prolet.
In Dörfern und im Schacht.
Ihr Brüder in Süd, West und Nord
Aus Ost die Sonn´ uns lacht.
Heraus zu uns in Wald und Flur
Gewehr zur Hand und treu dem Schwur:
Zu kämpfen und zu sterben
Bis Öst´rreich frei von Schand´.
Zu kämpfen und zu sterben
Bis Öst´rreich frei von Schand´.
Die Schande die uns alle drückt
Ist Hitlers Tyrannei.
Doch nur durch uns´ren Freiheitskampf
Wird Öst´rreich wieder frei.
Die Freiheit die wir meinen
Gilt Bauer dir und dir Prolet.
Doch wird die Sonn´ uns scheinen
Solang die Fahne weht.
Doch wird die Sonn´ uns scheinen
Solang die Fahne weht.
Die Fahne die wir tragen
Sie leuchtet rot voran
Und zeigt in schweren Tagen
Den Weg zu Frau und Mann.
Ihr Flammenzeichen in uns glüht,
Bis rings die Welt in Frieden blüht.
Bis Freiheit dir geworden,
Dir Bauer und Prolet.
Bis Freiheit dir geworden,
Dir Bauer und Prolet.
Contributed by Riccardo Venturi - 2006/8/10 - 16:34
Language: Italian
Traduzione italiana / Italian translation / Traduction italienne / Italiankielinen käännös:
-->> La musica dell'altra Italia, Sezione "Canzoniere internazionale"
-->> La musica dell'altra Italia, Sezione "Canzoniere internazionale"
Fratelli delle Città
Fratelli delle città
e voi dei villaggi e delle miniere
e voi fratelli al Sud, all'Ovest, al Nord,
dall'Est, il sole ci sorride!
Venite con noi nelle foreste e nei campi
impugnando le armi e giurando
di combattere fino all'ultimo respiro,
finché l'Austria sia libera dalla vergogna.
Di combattere fino all'ultimo respiro,
finché l'Austria sia libera dalla vergogna.
La vergogna che ci opprime tutti
ha nome "tirannia hitleriana".
È solo per la nostra lotta
che l'Austria potrà ancora essere libera.
La libertà che noi vogliamo
vale per te, contadino, come per te, proletario.
Il sole non cesserà di risplendere
se manterremo alta la bandiera.
Il sole non cesserà di risplendere
se manterremo alta la bandiera.
La bandiera che noi innalziamo
illumina di rosso i nostri cuori
e nei giorni oscuri indica il cammino
che vale per tutti, per la donna e per l'uomo.
Questa fiamma sarà in noi
finché la pace non tornerà nel mondo,
finché non vi sarà libertà
per voi, contadini e proletari!
Finché non vi sarà libertà
per voi, contadini e proletari!
Fratelli delle città
e voi dei villaggi e delle miniere
e voi fratelli al Sud, all'Ovest, al Nord,
dall'Est, il sole ci sorride!
Venite con noi nelle foreste e nei campi
impugnando le armi e giurando
di combattere fino all'ultimo respiro,
finché l'Austria sia libera dalla vergogna.
Di combattere fino all'ultimo respiro,
finché l'Austria sia libera dalla vergogna.
La vergogna che ci opprime tutti
ha nome "tirannia hitleriana".
È solo per la nostra lotta
che l'Austria potrà ancora essere libera.
La libertà che noi vogliamo
vale per te, contadino, come per te, proletario.
Il sole non cesserà di risplendere
se manterremo alta la bandiera.
Il sole non cesserà di risplendere
se manterremo alta la bandiera.
La bandiera che noi innalziamo
illumina di rosso i nostri cuori
e nei giorni oscuri indica il cammino
che vale per tutti, per la donna e per l'uomo.
Questa fiamma sarà in noi
finché la pace non tornerà nel mondo,
finché non vi sarà libertà
per voi, contadini e proletari!
Finché non vi sarà libertà
per voi, contadini e proletari!
Contributed by Riccardo Venturi - 2006/8/10 - 16:37
Language: French
Version française – FRÈRES DES VILLES – Marco Valdo M.I. – 2012
Chanson autrichienne de langue allemande – Ihr Brüder in den Städten dort – Sylvester Heider - 1943
Chanson de la Résistance autrichienne ; l'une des différentes chansons de combat et de Résistance composées sur la mélodie de l'
Andreas Hofer-Lied , ou Zu Mantua in Banden , déjà une chanson de résistance en soi, écrite en 1831 par Julius Mosen et mise en musique en 1844 par Leopold Knebelsberger. L'Andreas Hofer-Lied est l'hymne actuel du Tyrol autrichien (mais il est évidemment bien connu et chanté aussi par les autonomistes du Tyrol du Sud). La première chanson de lutte à utiliser la mélodie de l'Andreas Hofer-Lied semble avoir été Die Arbeitsmänner , écrite par Johann Most en 1870.
L'Autriche fut annexée à l'Allemagne, devenant une simple province du Reich allemand, le 12 mars 1938, après l'invasion du pays par l'armée nazie. Un des principaux responsables de l'Anschluss, fut le chancelier autrichien Kurt von Schuschnigg qui, plutôt que de s'opposer aux objectifs expansionnistes de Hitler, avait avalisé de sa signature, le 12 février à Berchtesgaden, résidence du Führer, la fin de l'indépendance du propre pays.
Le même jour, quatre ans auparavant, le gouvernement réactionnaire d'Engelbert Dollfuss (qui peu après, le 25 juillet 1934, tombera victime d'une tentative de putsch nazi) avait réprimé dans le sang la révolte socialiste commencée Linz et rapidement étendue à Vienne (12-15 février1934).
Dollfuss envoya l'armée autrichienne contre les ouvriers: 17.000 hommes, soldats et miliciens, appuyés par l'artillerie, donnèrent l'assaut aux cités ouvrières de la capitale en massacrant en trois jours d'affrontements sanglants plus de mille personnes, hommes, femmes et enfants, et en blessant quatre mille; il en profita pour détruire toute l'organisation socialiste, liquidant le parti et les syndicats, déclarant déchus les députés socialistes, et pour faire ratifier du Parlement une nouvelle constitution.
Des centaines d'Autrichiens antifascistes se battirent dans les brigades internationales en Espagne et une brigade autrichienne se battit aux côtés des partisans tchécoslovaques; le mouvement clandestin commença à s'organiser dès 1940, renforcée par la suite par les groupes "Paulin", "Siegel" et "Puschmann", dirigé par le parti communiste autrichien, tandis que les résistants de tendances conservatrices se retrouvaient dans l' "Osterreichische Freiheitbewegung", le Mouvement Autrichien de la Liberté.
La Résistance autrichienne porta son attention surtout à l'activité syndicale, avec de l'agitation et de la propagande dans les usines, mais réussit à développer une propagande parmi les militaires de la Wehrmacht.
Sylvester Heider né en 1906, militant syndical et politique du bassin industriel du Danube rejoitn la lutte partisane sous les noms de "Ferdl" et "Wastl". Il tomba en Styrie en 1944, à la tête de ses hommes, en combattant contre des détachements de SS et de gendarmes autrichiens.
On ne peut aborder la question autrichienne aujourd'hui sans se souvenir des ces événements et de la destruction morale de ce pays – naguère à la pointe de la modernité dans les domaines les plus divers : scientifiques, médicaux, techniques, philosophiques, musicaux et littéraires. L'Autriche est encore toujours malade de la peste brune – « La honte qui tous nous désespère », dont elle fut un des foyers d'infection les plus virulents. Il est heureux de constater, comme aurait dit Karl Kraus (écrivain aux initiales rappelant une Autriche disparue dans la première tourmente mondiale), qu'il y eut des Autrichiens – dont K.K. lui-même – pour refuser cette diarrhée politique, née des dysfonctionnements intestinaux d'un de leurs (ex-)compatriotes. On aime à penser qu'il y en ait à présent... On a d'ailleurs comme l'impression, qu'au-delà de l'Autriche aussi, certaines rumeurs, certains mouvements et diverses proclamations centripètes menacent. L'Europe vacille et dès lors, pour plaire à ses mentors – elle exige propitiatoire rigueur, discipline et strict alignement.
« VOYEZ CE QU'ILS FONT AUX GRECS. ILS VOUS LE FERONT DEMAIN ».
Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.
Chanson autrichienne de langue allemande – Ihr Brüder in den Städten dort – Sylvester Heider - 1943
L'Autriche fut annexée à l'Allemagne, devenant une simple province du Reich allemand, le 12 mars 1938, après l'invasion du pays par l'armée nazie. Un des principaux responsables de l'Anschluss, fut le chancelier autrichien Kurt von Schuschnigg qui, plutôt que de s'opposer aux objectifs expansionnistes de Hitler, avait avalisé de sa signature, le 12 février à Berchtesgaden, résidence du Führer, la fin de l'indépendance du propre pays.
Le même jour, quatre ans auparavant, le gouvernement réactionnaire d'Engelbert Dollfuss (qui peu après, le 25 juillet 1934, tombera victime d'une tentative de putsch nazi) avait réprimé dans le sang la révolte socialiste commencée Linz et rapidement étendue à Vienne (12-15 février1934).
Dollfuss envoya l'armée autrichienne contre les ouvriers: 17.000 hommes, soldats et miliciens, appuyés par l'artillerie, donnèrent l'assaut aux cités ouvrières de la capitale en massacrant en trois jours d'affrontements sanglants plus de mille personnes, hommes, femmes et enfants, et en blessant quatre mille; il en profita pour détruire toute l'organisation socialiste, liquidant le parti et les syndicats, déclarant déchus les députés socialistes, et pour faire ratifier du Parlement une nouvelle constitution.
Des centaines d'Autrichiens antifascistes se battirent dans les brigades internationales en Espagne et une brigade autrichienne se battit aux côtés des partisans tchécoslovaques; le mouvement clandestin commença à s'organiser dès 1940, renforcée par la suite par les groupes "Paulin", "Siegel" et "Puschmann", dirigé par le parti communiste autrichien, tandis que les résistants de tendances conservatrices se retrouvaient dans l' "Osterreichische Freiheitbewegung", le Mouvement Autrichien de la Liberté.
La Résistance autrichienne porta son attention surtout à l'activité syndicale, avec de l'agitation et de la propagande dans les usines, mais réussit à développer une propagande parmi les militaires de la Wehrmacht.
Sylvester Heider né en 1906, militant syndical et politique du bassin industriel du Danube rejoitn la lutte partisane sous les noms de "Ferdl" et "Wastl". Il tomba en Styrie en 1944, à la tête de ses hommes, en combattant contre des détachements de SS et de gendarmes autrichiens.
On ne peut aborder la question autrichienne aujourd'hui sans se souvenir des ces événements et de la destruction morale de ce pays – naguère à la pointe de la modernité dans les domaines les plus divers : scientifiques, médicaux, techniques, philosophiques, musicaux et littéraires. L'Autriche est encore toujours malade de la peste brune – « La honte qui tous nous désespère », dont elle fut un des foyers d'infection les plus virulents. Il est heureux de constater, comme aurait dit Karl Kraus (écrivain aux initiales rappelant une Autriche disparue dans la première tourmente mondiale), qu'il y eut des Autrichiens – dont K.K. lui-même – pour refuser cette diarrhée politique, née des dysfonctionnements intestinaux d'un de leurs (ex-)compatriotes. On aime à penser qu'il y en ait à présent... On a d'ailleurs comme l'impression, qu'au-delà de l'Autriche aussi, certaines rumeurs, certains mouvements et diverses proclamations centripètes menacent. L'Europe vacille et dès lors, pour plaire à ses mentors – elle exige propitiatoire rigueur, discipline et strict alignement.
« VOYEZ CE QU'ILS FONT AUX GRECS. ILS VOUS LE FERONT DEMAIN ».
Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.
FRÈRES DES VILLES
Frères des villes et des ports
Des villages et des puits.
Frères du sud, de l'ouest et du nord
De l'est, le soleil nous sourit.
Rejoignez-nous dans la forêt et les champs
Fusil à la main et fidèles au serment :
Lutter et mourir
Jusqu'à libérer l'Autriche de la honte
Lutter et mourir
Jusqu'à libérer l'Autriche de la honte.
La honte qui tous nous désespère
C'est la tyrannie de Hitler.
Seul notre combat pour la libérer
Rendra à l'Autriche sa liberté.
La seule liberté à laquelle on tienne
C'est la tienne paysan, ouvrier, c'est la tienne
C'est sûr, le soleil brillera pour nous
Tant que notre drapeau flottera.
C'est sûr, le soleil brillera pour nous
Tant que notre drapeau flottera.
Le drapeau que nous portons
Éclaire de rouge l'horizon
Et indique dans les jours de peine
Le chemin à la femme et à l'homme.
Son flambeau en nous rayonne
Pour que le monde fleurisse dans la paix.
Jusqu'à ce que la liberté revienne
Pour toi paysan et prolétaire.
Jusqu'à ce que la liberté revienne
Pour toi paysan et prolétaire.
Frères des villes et des ports
Des villages et des puits.
Frères du sud, de l'ouest et du nord
De l'est, le soleil nous sourit.
Rejoignez-nous dans la forêt et les champs
Fusil à la main et fidèles au serment :
Lutter et mourir
Jusqu'à libérer l'Autriche de la honte
Lutter et mourir
Jusqu'à libérer l'Autriche de la honte.
La honte qui tous nous désespère
C'est la tyrannie de Hitler.
Seul notre combat pour la libérer
Rendra à l'Autriche sa liberté.
La seule liberté à laquelle on tienne
C'est la tienne paysan, ouvrier, c'est la tienne
C'est sûr, le soleil brillera pour nous
Tant que notre drapeau flottera.
C'est sûr, le soleil brillera pour nous
Tant que notre drapeau flottera.
Le drapeau que nous portons
Éclaire de rouge l'horizon
Et indique dans les jours de peine
Le chemin à la femme et à l'homme.
Son flambeau en nous rayonne
Pour que le monde fleurisse dans la paix.
Jusqu'à ce que la liberté revienne
Pour toi paysan et prolétaire.
Jusqu'à ce que la liberté revienne
Pour toi paysan et prolétaire.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2012/5/22 - 22:25
"E voi fratelli del Sud, dell'Ovest e del Nord
e dell'Est, il sole ci sorride!"
La traduzione giusta è :
"Voi fratelli al sud, all'ovest, al nord, dall'est (cioè dall'Unione Sovietica) il sole ci sorride"
e dell'Est, il sole ci sorride!"
La traduzione giusta è :
"Voi fratelli al sud, all'ovest, al nord, dall'est (cioè dall'Unione Sovietica) il sole ci sorride"
benni - 2012/5/22 - 13:22
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Testo / Lyrics / Paroles / Sanat: Sylvester Heider
Musica / Music / Musique / Sävel:
→ Zu Mantua in Banden (Andreas-Hofer-Lied)
[Julius Mosen, 1831 / Leopold Knebelsberger, 1844]
Lo Andreas Hofer-Lied e gli “Hoferidi”
From anti-Napoleon Tyrol to Workers' and Partisan Songs and their Versions:
The Andreas Hofer-Lied and the “Hoferides”
- Andreas Hofer-Lied (Zu Mantua in Banden), Julius Mosen 1831 / Leopold Knebelsberger 1844
- Die Arbeitsmänner, oder Proletarierlied, oder Wer schafft das Gold zutage?, Johann Most 1870
- Lied der Jugend, oder Dem Morgenrot entgegen, oder Die junge Garde, Arnold Heinrich Eildermann 1907
- Ihr Brüder in den Städten dort, Sylvester Heider 1943
L'Austria venne annessa alla Germania, diventando una semplice provincia del Reich tedesco, il 12 marzo 1938, dopo l'invasione del paese da parte dell'esercito nazista. Uno dei maggiori responsabili dell'Anschluss (unione) fu l'allora cancelliere austriaco Kurt von Schuschnigg che, anziché opporsi alle mire espansionistiche di Hitler, aveva avvallato con la propria firma, il 12 febbraio a Berchttesgaden, residenza del Fuhrer, la fine dell'indipendenza del proprio paese.
Nello stesso giorno, quattro anni prima, il governo reazionario e parafascista di Engelbert Dollfuss (amico personale di Benito Mussolini, e che poco dopo, il 25 luglio 1934, sarebbe caduto vittima d'un tentativo di putsch nazista) aveva represso nel sangue la rivolta socialista iniziata a Linz e rapidamente estesasi a Vienna (12-15 febbraio 1934).
Dollfuss scatenò l'esercito austriaco contro gli operai: 17.000 uomini, tra soldati e militi, appoggiati dall'artiglieria, diedero l'assalto ai quartieri operai della capitale massacrando in tre giorni di scontri sanguinosi oltre mille persone (uomini, donne e bambini) e ferendone circa quattromila; ne approfittò quindi per distruggere tutta l'organizzazione socialista, sciogliendo il partito e i sindacati, e dichiarando decaduti i deputati socialisti, e per far ratificare dal parlamento una nuova costituzione.
Centinaia di antifascisti austriaci combatterono nelle brigate internazionali in Spagna e una brigata austriaca si batté al fianco dei partigiani cecoslovacchi; il movimento clandestino cominciò ad organizzarsi fin dal 1940, rinforzandosi in seguito con i gruppi "Paulin", "Siegel" e "Puschmann", diretti dal partito comunista austriaco, mentre i resistenti di tendenze conservatrici si riunivano nell' "Osterreichische Freiheitbewegung" (Movimento Austriaco della Libertà).
La Resistenza austriaca rivolse la propria attenzione soprattutto all'attività sindacale, con agitazioni e propaganda nelle fabbriche, ma riuscì a portare avanti anche qualche tentativo propagandistico riuscito addirittura tra i militari della Wehrmacht.
Sylvester Heider, nato nel 1906, attivista sindacale e politico nel bacino industriale del Danubio, si unì alla lotta partigiana con i nomi di "Ferdl" e "Wastl" e cadde in Stiria nel 1944, alla testa dei suoi uomini, combattendo contro reparti di SS e gendarmi austriaci.
Da La musica dell'altra Italia [con integrazioni; il link non è più attivo, essendo scomparso il relativo sito].