La promesse d'une médaille,
Au bout de la bataille,
Ne fera pas de moi un homme,
Je ne serai jamais un héros...
Je préfère à la mitraille,
Faire l'amour à une dame,
Roulé dans la paille,
A l'abri de vos canons...
Fini le Chemin des Dames,
Où nos pères et nos grands pères,
Sont mort pour rien,
Pour nourrir vos canons...
Les héros on le sait bien,
Reposent dans vos cimetières,
A l'ombre des platanes,
Et aux silences des canons...
Dans tous vos ministères,
Vous nous préparez la dernière,
C'est toujours les canons,
Qui sont votre solution...
La guerre économique,
Les combines de vos riches,
Vont plonger notre monde,
Dans la désolation...
Vous exploitez le racisme,
Et la peur de l'autre,
L'antisémitisme,
Pour faire monter les passions...
Combien de vos moutons,
Vont aller «au charbon»,
Pour sauver la nation,
Et tomber sous vos canons...
Parce qu'une balle est faite,
Pour sortir d'un fusil,
Comme les boulets sont faits,
Pour sortir des canons...
Mais moi ça fait mal quelque part,
Qu'une balle perdue,
Ne va pas tuer qu'un homme,
Mais peut être un oiseau...
Vos breloques infernales,
Qui brillent sur vos poitrines,
Que l'on nome «médailles»,
Et qui ont fait de vous des héros...
Mais combien de fois coupables,
Pourriez vous nous le dire,
Cacher dans vos cabanes,
A astiquer vos fusils?
Moi je préfère la poitrine des femmes,
A vos décorations impeccables,
Tant pis si je reste minable,
Je ne serai jamais un héros...
Du sang dans la cervelle,
Et du sang sur les mains,
Voila l'équation lamentable,
Pour devenir un héros...
Fini «vos champs d'horreur»,
Abreuvés de notre sang,
Là où aucune fleur,
Veut y planter sa maison...
Ma seule légion d'honneur à moi,
C'est d'honorer les dames,
Plutôt que de donner mon sang,
Pour sauver la nation...
Poètes bafoués,
Epris de liberté,
Combien d'entre vous,
Ont été enchaînés...
Votre seule erreur peut être,
C'est d'être restés fidèles,
Aux valeurs de la paix,
Plutôt qu'au son des canons...
Mon combat à moi,
C'est de protéger notre planète,
Afin qu'un «sale con»,
Appui sur le bouton...
Et comme je n'ai pas d'autre maison,
Que notre planète Terre,
Je fais en sorte,
De protéger mon habitation...
Et j'apprends aussi, à mes enfants...,
Que ...la promesse d'une médaille,
Au bout de la bataille,
Ne fera jamais de vous des hommes,
Et sûrement pas des héros...
Rescapé de la mitraille,
Chanceux sous les balles,
Vous reviendrez peut être vivant,
Mais vous ne serez que plus des zéros...
La vie est encore belle,
Pour jouer les militaires,
Profitez de vos vingt ans,
A l'abri des canons...
Pendant que les demoiselles,
Vous offrent leurs dentelles,
Préférez faire l'amour,
Plutôt que faire la guerre...
La promesse d'une médaille,
Au bout de la bataille,
Ne fera pas de moi un homme,
Je ne serai jamais un héros...
Je préfère à la mitraille,
Faire l'amour à une dame,
Roulé dans la paille,
A l'abri de vos canons...
A l'abri de vos canons...
A l'abri de vos canons...
Au bout de la bataille,
Ne fera pas de moi un homme,
Je ne serai jamais un héros...
Je préfère à la mitraille,
Faire l'amour à une dame,
Roulé dans la paille,
A l'abri de vos canons...
Fini le Chemin des Dames,
Où nos pères et nos grands pères,
Sont mort pour rien,
Pour nourrir vos canons...
Les héros on le sait bien,
Reposent dans vos cimetières,
A l'ombre des platanes,
Et aux silences des canons...
Dans tous vos ministères,
Vous nous préparez la dernière,
C'est toujours les canons,
Qui sont votre solution...
La guerre économique,
Les combines de vos riches,
Vont plonger notre monde,
Dans la désolation...
Vous exploitez le racisme,
Et la peur de l'autre,
L'antisémitisme,
Pour faire monter les passions...
Combien de vos moutons,
Vont aller «au charbon»,
Pour sauver la nation,
Et tomber sous vos canons...
Parce qu'une balle est faite,
Pour sortir d'un fusil,
Comme les boulets sont faits,
Pour sortir des canons...
Mais moi ça fait mal quelque part,
Qu'une balle perdue,
Ne va pas tuer qu'un homme,
Mais peut être un oiseau...
Vos breloques infernales,
Qui brillent sur vos poitrines,
Que l'on nome «médailles»,
Et qui ont fait de vous des héros...
Mais combien de fois coupables,
Pourriez vous nous le dire,
Cacher dans vos cabanes,
A astiquer vos fusils?
Moi je préfère la poitrine des femmes,
A vos décorations impeccables,
Tant pis si je reste minable,
Je ne serai jamais un héros...
Du sang dans la cervelle,
Et du sang sur les mains,
Voila l'équation lamentable,
Pour devenir un héros...
Fini «vos champs d'horreur»,
Abreuvés de notre sang,
Là où aucune fleur,
Veut y planter sa maison...
Ma seule légion d'honneur à moi,
C'est d'honorer les dames,
Plutôt que de donner mon sang,
Pour sauver la nation...
Poètes bafoués,
Epris de liberté,
Combien d'entre vous,
Ont été enchaînés...
Votre seule erreur peut être,
C'est d'être restés fidèles,
Aux valeurs de la paix,
Plutôt qu'au son des canons...
Mon combat à moi,
C'est de protéger notre planète,
Afin qu'un «sale con»,
Appui sur le bouton...
Et comme je n'ai pas d'autre maison,
Que notre planète Terre,
Je fais en sorte,
De protéger mon habitation...
Et j'apprends aussi, à mes enfants...,
Que ...la promesse d'une médaille,
Au bout de la bataille,
Ne fera jamais de vous des hommes,
Et sûrement pas des héros...
Rescapé de la mitraille,
Chanceux sous les balles,
Vous reviendrez peut être vivant,
Mais vous ne serez que plus des zéros...
La vie est encore belle,
Pour jouer les militaires,
Profitez de vos vingt ans,
A l'abri des canons...
Pendant que les demoiselles,
Vous offrent leurs dentelles,
Préférez faire l'amour,
Plutôt que faire la guerre...
La promesse d'une médaille,
Au bout de la bataille,
Ne fera pas de moi un homme,
Je ne serai jamais un héros...
Je préfère à la mitraille,
Faire l'amour à une dame,
Roulé dans la paille,
A l'abri de vos canons...
A l'abri de vos canons...
A l'abri de vos canons...
Contributed by Dead End - 2012/11/1 - 21:00
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Parole e musica di Richard Aubert
Faites l’amour, pas la guerre