Combien de fleuves de sang humain
Que de coulées de lave pour arroser ton pain
Pourquoi tant de douleurs perdues
De souffrances inutiles pour laver quelques mains ?
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu' il te faut partir
Que ta place n'est pas sur terre
Le sang qui enflamme les pleurs
Dans le vent de l' horreur
Qui a séché ton cœur
Le sang qui parfume l' honneur
Des grands de toutes les heures
Raison n'est pas de ce monde
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu'il te faut partir
Que ta place n'est pas sur terre
Mon Dieu, quelle triste société
Qui se venge d'elle-même
En tuant des innocents
Lâcheté qui paye pour tuer
Et qui tue pour payer
L' habit de ta pourriture
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu'il te faut partir
Que ta place n'est pas sur la terre.
Que de coulées de lave pour arroser ton pain
Pourquoi tant de douleurs perdues
De souffrances inutiles pour laver quelques mains ?
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu' il te faut partir
Que ta place n'est pas sur terre
Le sang qui enflamme les pleurs
Dans le vent de l' horreur
Qui a séché ton cœur
Le sang qui parfume l' honneur
Des grands de toutes les heures
Raison n'est pas de ce monde
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu'il te faut partir
Que ta place n'est pas sur terre
Mon Dieu, quelle triste société
Qui se venge d'elle-même
En tuant des innocents
Lâcheté qui paye pour tuer
Et qui tue pour payer
L' habit de ta pourriture
Dis-moi enfin vieux bourreau
Quand donc vas-tu mourir ?
Quand auras-tu compris qu'il te faut partir
Que ta place n'est pas sur la terre.
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