Sous les casques verts le sang rouge coule
Coule des artères des berets verts
La mort est noire mais rions jaune
De voir pleurer, de voir mourir
Des bombes brûlant d'agent orange
En étouffant de défoliant
Dans la poussiere des os brûles
Dans la poussiere des os brûles
J'entends au loin les cris, les chants
Chants victorieux des plages Normandes
Mais dans la jungle le sable est terre
La mort est lente, mon général
A Dien Bien Phu une pierre tombale
Sous les soleil rouge des mortiers
Les cris des enfants torturés
Les cris des enfants torturés
Coule des artères des berets verts
La mort est noire mais rions jaune
De voir pleurer, de voir mourir
Des bombes brûlant d'agent orange
En étouffant de défoliant
Dans la poussiere des os brûles
Dans la poussiere des os brûles
J'entends au loin les cris, les chants
Chants victorieux des plages Normandes
Mais dans la jungle le sable est terre
La mort est lente, mon général
A Dien Bien Phu une pierre tombale
Sous les soleil rouge des mortiers
Les cris des enfants torturés
Les cris des enfants torturés
envoyé par Bartleby - 26/4/2012 - 10:41
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Dall’album d’esordio, “Houla la!”