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Buon lavoro

Stormy Six
Langue: italien


Stormy Six

Liste des versions


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(Stormy Six)
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(Stormy Six)


[1977]
Dall’album “L’apprendista”

modern times chaplin
Ogni mattina l'orchestra radiofonica
se la spassa e ti dà di gomito.
La tromba strepita un ritornello magico,
mentre i violini salutano.
La folla scatta, sorpassa gli orologi,
lascia partire le raffiche
dei suoi passetti precisi in bianco e nero
che si sgranano sotto i semafori.

"Buon lavoro!", il cielo è nero, il giorno nasce in città
"Buon lavoro!", cantano i muri, ognuno avrà quel che dà.

Lungo la fabbrica continua lo spettacolo
dei giorni che si rincorrono.
In sei nel cerchio galoppano per mordere
la coda della domenica.
Hanno le orbite quadrate come scatole,
quando non li vedi ti guardano;
Hanno tre bocche e trentatrè nastri magnetici.

"Buon lavoro!", il cielo è nero, il giorno nasce in città
"Buon lavoro!", cantano i muri, ognuno avrà quel che dà.

Quando sui viali la pioggia resta sola,
la luce dell'ora elettrica
misura il sonno di piombo della gente
che vende la vita per vivere.

"Buon lavoro!", il cielo è nero, il giorno nasce in città
"Buon lavoro!", cantano i muri, ognuno avrà quel che dà.

envoyé par Bartleby - 3/8/2011 - 14:27



Langue: français

Version française – BON TRAVAIL – Marco Valdo M.I. – 2012
Chanson italienne – Buon lavoro – Stormy Six – 1977
BON TRAVAIL

Chaque matin l'orchestre radiophonique
S'égaye et te pousse du coude
La trompette lancer son refrain magique
Tandis que les violons saluent.
La foule se met en route, dépasse les montres,
Lâche les rafales
De ses petits pas précis en noir et blanc
Qui s'égrainent sous les feux.

"Bon travail!", le ciel est noir, le jour naît en ville
"Bon travail!", chantent les murs, chacun aura son dû.

Le long de l'usine continue le spectacle
Des jours qui se poursuivent.
À six dans le cercle, ils galopent pour mordre
La queue du dimanche.
Ils ont les orbites carrées comme boîtes,
Quand tu ne les vois pas, ils te regardent;
Ils ont trois bouches et trente-trois rubans magnétiques.

"Bon travail!", le ciel est noir, le jour naît en ville
"Bon travail!", chantent les murs, chacun aura son dû.

Quand sur les boulevards, la pluie reste seule,
L'heure de la lumière électrique
Mesure le sommeil de plomb des gens
Qui vendent leur vie pour vivre.

"Bon travail!", le ciel est noir, le jour naît en ville
"Bon travail!", chantent les murs, chacun aura son dû.

envoyé par Marco Valdo M.I. - 21/4/2012 - 11:48




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