Hanno gli occhi neri e al collo un talismano
Hanno lunga storia e vengon da lontano
Portano sorrisi ed allegria
Per pochi denari una fotografia
Vestono di stracci e frugan le immondizie
Sono i vecchi Rom della bassa Provenza
Fuggono da noia e ipocrisia
Dai manganelli della polizia
Suonano violini e fisarmoniche
Cantano ogni sera Vive la libertè
I gà la facia spurca e i dorum in si carton
Quelli della banda la Bandabidun
Cantano di amori perduti in gioventù
Alzano i pugni contro le schiavitù
Cantano soltanto se vorrai
Altrimenti Salùt, Ourevoire, Bye Bye
Ai tavoli dei bar tra cocktail e turisti
Si aggiran come gatti senza pregiudizi
Cantano soltanto se vorrai
Altrimenti Salùt, Ourevoire, Bye Bye
Suonano violini e fisarmoniche
Cantano ogni sera per le vie di Arles
I gà la facia spurca e i dorum a la stasiùn
Quelli della banda la Bandabidun
Hanno lunga storia e vengon da lontano
Portano sorrisi ed allegria
Per pochi denari una fotografia
Vestono di stracci e frugan le immondizie
Sono i vecchi Rom della bassa Provenza
Fuggono da noia e ipocrisia
Dai manganelli della polizia
Suonano violini e fisarmoniche
Cantano ogni sera Vive la libertè
I gà la facia spurca e i dorum in si carton
Quelli della banda la Bandabidun
Cantano di amori perduti in gioventù
Alzano i pugni contro le schiavitù
Cantano soltanto se vorrai
Altrimenti Salùt, Ourevoire, Bye Bye
Ai tavoli dei bar tra cocktail e turisti
Si aggiran come gatti senza pregiudizi
Cantano soltanto se vorrai
Altrimenti Salùt, Ourevoire, Bye Bye
Suonano violini e fisarmoniche
Cantano ogni sera per le vie di Arles
I gà la facia spurca e i dorum a la stasiùn
Quelli della banda la Bandabidun
envoyé par DonQuijote82 - 6/7/2011 - 15:57
Langue: français
Version française – BANDABIDON – Marco valdo M.I. – 2011
Chanson italienne – Bandabidun – Sine Frontera
Texte d'Antonio Resta
Chanson italienne – Bandabidun – Sine Frontera
Texte d'Antonio Resta
BANDABIDON
Ils ont les yeux noirs et au cou un talisman
Ils viennent de loin et ont une longue histoire déjà
Ils apportent sourires et joie
Une photographie contre un peu d'argent
Vêtus de frusques, ils fouillent les immondices
Ce sont les anciens Roms de la Basse Provence
Ils fuient l'ennui et l'indécence
Des matraques de la police
Ils jouent du violon et de l'accordéon
Ils chantent Vive la Liberté le soir sous les balcons
Ils ont le visage sale et dorment sous le carton
Ceux de l'orchestre la Bandabidon
Ils chantent les amours perdus
Ils lèvent le poing contre l'esclavage
Ils chantent si on les y encourage
Autrement byebye, au revoir, salut
Aux tables des bars entre cocktails et touristes
Ils se glissent comme des chats anarchistes
Ils chantent selon ton bon vouloir
Autrement salut, bye bye, au revoir
Ils jouent du violon et de la guitare
Ils chantent dans les rues d'Arles chaque soir
Ils ont le visage sale et dorment à la station
Ceux de l'orchestre la Bandabidon.
Ils ont les yeux noirs et au cou un talisman
Ils viennent de loin et ont une longue histoire déjà
Ils apportent sourires et joie
Une photographie contre un peu d'argent
Vêtus de frusques, ils fouillent les immondices
Ce sont les anciens Roms de la Basse Provence
Ils fuient l'ennui et l'indécence
Des matraques de la police
Ils jouent du violon et de l'accordéon
Ils chantent Vive la Liberté le soir sous les balcons
Ils ont le visage sale et dorment sous le carton
Ceux de l'orchestre la Bandabidon
Ils chantent les amours perdus
Ils lèvent le poing contre l'esclavage
Ils chantent si on les y encourage
Autrement byebye, au revoir, salut
Aux tables des bars entre cocktails et touristes
Ils se glissent comme des chats anarchistes
Ils chantent selon ton bon vouloir
Autrement salut, bye bye, au revoir
Ils jouent du violon et de la guitare
Ils chantent dans les rues d'Arles chaque soir
Ils ont le visage sale et dorment à la station
Ceux de l'orchestre la Bandabidon.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 9/7/2011 - 22:24
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Sola andata
Testo di Antonio Resta