Le soleil qui passe pose sa lumière La lune qui lasse nous laisse la nuit
Allons donc poser la première pierre Le soleil s’impose, l’ombre se choisit
Les murs se sont tus recouverts d’affiches De publicité qui pense pour nous
Quelques graffitis murmurent en peinture Laissant présager d’autre jours plus doux
La télévision fabrique des ânes Préfiguration des temps à venir
Car la création est tombée en panne
L’imagination est un pieux souvenir
Pour mieux camoufler le fond du problème Les médias s’amusent de la vérité
Le peuple applaudit, car c’est ce qu’il aime
Du pain et des jeux pour se rassurer
L’eau du robinet à un goût étrange Puisqu’il faut bien sur la javelliser
Les petits nitrates à l’eau se mélangent
Le sang ne peut plus se renouveler
L’incinérateur qui nous empoisonne, sème ici ou là, des petites cancers
Et les optimistes pourtant se raisonnent
Jurant qu’il suffit de voter « les verts »
Et ne parlons pas de ces OGM qu’on veut à tout prix nous voir adopter
C’est en quelque sorte le malheur qu’on sème
Et des maladies qu’on va récolter
Le piège énergie prétexte à la bombe Centrales nucléaires d’apprentis sorciers
A la moindre fuite et c’est l’hécatombe
Mais les responsables seront protégés
Et puis les croyants, au nom du prophète Se font suicider en super marché
Sur qu’au paradis ce serait la fête
Et qu’ils auraient cent vierges pour se défouler
Les autres croyants sont dans la prière Et donnent l’obole, font la charité
Tout çà pour la caisse de leur cher saint père
Croulant sous le poids de ses habits dorés
Puisque tout se vend, et que tout s’achète On pardonne à ceux qui ont tant péché
Surtout quand leur bourse regorge de piécettes
Et que les églises vendent la sainteté
Si le temps qui passe fait vivre ceux qui trichent Bercés à l’abri de leur illusion
Pourquoi s’énerver si tout le monde s’en fiche
Moi j’arrête la ma petite chanson
Allons donc poser la première pierre Le soleil s’impose, l’ombre se choisit
Les murs se sont tus recouverts d’affiches De publicité qui pense pour nous
Quelques graffitis murmurent en peinture Laissant présager d’autre jours plus doux
La télévision fabrique des ânes Préfiguration des temps à venir
Car la création est tombée en panne
L’imagination est un pieux souvenir
Pour mieux camoufler le fond du problème Les médias s’amusent de la vérité
Le peuple applaudit, car c’est ce qu’il aime
Du pain et des jeux pour se rassurer
L’eau du robinet à un goût étrange Puisqu’il faut bien sur la javelliser
Les petits nitrates à l’eau se mélangent
Le sang ne peut plus se renouveler
L’incinérateur qui nous empoisonne, sème ici ou là, des petites cancers
Et les optimistes pourtant se raisonnent
Jurant qu’il suffit de voter « les verts »
Et ne parlons pas de ces OGM qu’on veut à tout prix nous voir adopter
C’est en quelque sorte le malheur qu’on sème
Et des maladies qu’on va récolter
Le piège énergie prétexte à la bombe Centrales nucléaires d’apprentis sorciers
A la moindre fuite et c’est l’hécatombe
Mais les responsables seront protégés
Et puis les croyants, au nom du prophète Se font suicider en super marché
Sur qu’au paradis ce serait la fête
Et qu’ils auraient cent vierges pour se défouler
Les autres croyants sont dans la prière Et donnent l’obole, font la charité
Tout çà pour la caisse de leur cher saint père
Croulant sous le poids de ses habits dorés
Puisque tout se vend, et que tout s’achète On pardonne à ceux qui ont tant péché
Surtout quand leur bourse regorge de piécettes
Et que les églises vendent la sainteté
Si le temps qui passe fait vivre ceux qui trichent Bercés à l’abri de leur illusion
Pourquoi s’énerver si tout le monde s’en fiche
Moi j’arrête la ma petite chanson
envoyé par adriana - 29/12/2010 - 09:41
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Album : "Le tango des marginaux"