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Terra

Mario Azad Donatiello
Langue: italien


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Mario Azad Donatiello
Vengo da un paese
tra il mare di sabbia e di sale
dove alti alberi solleticano il cielo.
Amara dolce terra dai mille colori
di profumate spezie e di antichi suoni.

Terra che al tramonto rende amaranto il cielo,
e dolci lineamenti nascosti sotto un velo
la notte ha ancora stelle e si sente il silenzio
di tante e tante voci abbandonate al vento.

Terra dell’oro nero, terra dei diamanti.
terra dei bambini con gli sguardi spenti
le pietre contro grida a un mondo che non sente,
che parla di pace facendo piover bombe.

Cerco un’altra vita sperando nel destino
oltrepassando il mare per esser clandestino.
In mano a dei mercanti, non ho più libertà
privato del mio orgoglio della mia dignità.

Quante false illusioni racconta l’occidente
sembra regali oro e poi non brilla niente,
ho anche trovato amici che mi hanno aiutato
chi mi ha dato amore e chi mi ha bastonato.

Ripenso alla mia terra e a tutti quei soldati
il viso di mia madre e gli ultimi saluti
e poi rivedo ancora quelle case distrutte
ripenso alla mia terra delle mille e una notte

envoyé par adriana - 1/9/2010 - 14:18



Langue: français

Version française – TERRE – Marco Valdo M.I. – 2010
Chanson italienne – Terra – Mario Azad Donatiello
TERRE

Je viens d'un pays
Perdu dans une mer de sable et de sel
Où de hauts arbres sollicitent le ciel.
Terre douce amère aux mille couleurs
D'épices parfumées et de sons anciens.

Terre avec au crépuscule le ciel amarante
Et qui cache de doux plis sous un voile
Où la nuit a encore des étoiles et on entend le silence
De tant et tant de voix abandonnées au vent.

Terre de l'or noir, terre de diamants
Terre des enfants aux regards éteints
Ses pierres crient à un monde qui n'entend pas
Qui parle de paix en jetant des bombes.

Je cherche une autre vie en comptant sur le destin
Passant la mer pour être clandestin.
Dans la mains des marchands, je n'ai plus de liberté
Privé de mon orgueil et de ma dignité.

Combien d'illusions nous raconte l'Occident
On dirait des cadeaux d'or et rien ne brille finalement.
J'ai même trouvé des amis qui m'ont aidé
Un qui m'a donné de l'amour, un autre qui m'a battu.

Je repense à ma terre et à tous ces soldats
Au visage de ma mère et aux derniers adieux
Et puis, je revois encore ces maisons détruites
Je repense à ma terre des mille et une nuits.

envoyé par Marco Valdo M.I. (et fier de l'être) - 4/9/2010 - 23:23




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