Y en a qui meurent bien trop tard
Quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard
D’un coup de dés
Y en a qui meurent sans savoir
Qu’ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir
Et plein d’argent
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent dans les mémoires
C’est bien plus que perdre la vie
Quand ceux qui restent quittent le noir
Et vous oublient …
Y en a qui meurent en marchant
Pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc
Pleine de promesse
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent parce que c’est beau
De voir le soleil se coucher
Et d’attendre le jour nouveau
De l’autre côté
Y en a qui meurent en dormant
En offrant un sourire aux anges
Y a en qui meurent encore enfants
Et gagnent au change
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent la bouche pleine
En libérant un dernier rot
En se caressant la bedaine
Mais trop, c’est trop
Tandis que d’autres, le ventre vide
Bercent leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide
Là où on ne les verra pas
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent par erreur
Pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs
Ou ses absences
Y en a qui meurent dans les poubelles
Les bannis de la société
Leur rêve au bout d’une ficelle
Ballon crevé
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent au printemps
Comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route un court instant
Aux chars d’assaut
Y en a qui meurent avec permis
Matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil
Sur une croix
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent tous les soirs
Quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir
Leur vérité... démaquillée
Y en a qui meurent en marguerites
Effeuillées d’une main distraite
Un peu... beaucoup... beaucoup trop vite
Et ça s’arrête…
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Prends ma main... ne la lâche pas.
Quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard
D’un coup de dés
Y en a qui meurent sans savoir
Qu’ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir
Et plein d’argent
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent dans les mémoires
C’est bien plus que perdre la vie
Quand ceux qui restent quittent le noir
Et vous oublient …
Y en a qui meurent en marchant
Pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc
Pleine de promesse
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent parce que c’est beau
De voir le soleil se coucher
Et d’attendre le jour nouveau
De l’autre côté
Y en a qui meurent en dormant
En offrant un sourire aux anges
Y a en qui meurent encore enfants
Et gagnent au change
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent la bouche pleine
En libérant un dernier rot
En se caressant la bedaine
Mais trop, c’est trop
Tandis que d’autres, le ventre vide
Bercent leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide
Là où on ne les verra pas
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent par erreur
Pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs
Ou ses absences
Y en a qui meurent dans les poubelles
Les bannis de la société
Leur rêve au bout d’une ficelle
Ballon crevé
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent au printemps
Comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route un court instant
Aux chars d’assaut
Y en a qui meurent avec permis
Matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil
Sur une croix
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Y en a qui meurent tous les soirs
Quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir
Leur vérité... démaquillée
Y en a qui meurent en marguerites
Effeuillées d’une main distraite
Un peu... beaucoup... beaucoup trop vite
Et ça s’arrête…
Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Prends ma main... ne la lâche pas.
envoyé par Site québécois Adamo et Didier Deslandes - 30/12/2005 - 23:16
Come qualcuno ha detto:
"Penso che insieme a Leonard Cohen Salvatore Adamo sia il più grande cantautore della seconda metà del Novecento".
Davide Costa (sito ADAMO in Italiano) http://www.webalice.it/cosgri/
"Penso che insieme a Leonard Cohen Salvatore Adamo sia il più grande cantautore della seconda metà del Novecento".
Davide Costa (sito ADAMO in Italiano) http://www.webalice.it/cosgri/
Davide Costa (sito ADAMO in Italiano) http://www.webalice.it/cosgri/ - 6/2/2006 - 14:54
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(Roberto)
Cette chanson a été composée en 1973. Elle a été dédiée à Jan Palach, cet étudiant tchèque qui s'était immolé par le feu lors de l'entrée des chars russes à Prague venus pour réprimer le "printemps de Prague".
Comme des éclairs, comme des flambeaux
Canzone composta nel 1973, è dedicata a Jan Palach, lo studente ceco che si immolò con fuoco durante l'entrata dei carri armati sovietici in Cecoslovacchia, venuti a reprimere la "Primavera di Praga".