da "Terremoto" (1993)
Di notte voglio entrare nei segreti tuoi
E voglio costruire una fortezza senza inganni
Sarò il corto circuito nella stanza dei bottoni
E scioglierò i veleni delle tue decisioni
Di notte voglio ballare nella televisione
Truccarmi da pallone e poi raccontarvi tutto
Tutto tutto sulla mafia
Tutto tutto sulla P2
E l'Europa che ci fa "Ciao"
Pizze pazze e corruzione
Euromafia da esportazione
Tutto tutto sul mio fegato
Tutto tutto, tutto e niente...
Je suis maudit maudit maudit
maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
E via il guinzaglio
Di notte voglio entrare nei segreti tuoi
E li voglio raccontare alla gente che s'inganna
Di notte voglio ballare nella stanza dei bottoni
staccare tutti i fili delle tue decisioni
Staccare tutti i fili con la tua benedizione
Tutto sulla Chiesa in Africa,
Tutto tutto sull'obiezione,
E le stragi senza nome,
Tutte passano da Roma
Pizze pazze e corruzione
Tutto tutto sul mio fegato
tutto tutto, tutto e niente...
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
E via il guinzaglio
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
E non è tutto!
Dirti
Tutto tutto sui veleni
E i segreti del Vaticano,
Tutto tutto sulle elezioni,
Tutto tutto su noi coglioni
Tutto tutto, tutto e niente...
Autoelogi e insabbiamenti,
Funerali, tutti presenti
I politici e la malavita, i politici e la bella vita
Tutto tutto, tutto e niente...
Je suis maudit,
Maudit, maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Maudit, maudit, Demodè
Dirti tutto tutto
E voglio costruire una fortezza senza inganni
Sarò il corto circuito nella stanza dei bottoni
E scioglierò i veleni delle tue decisioni
Di notte voglio ballare nella televisione
Truccarmi da pallone e poi raccontarvi tutto
Tutto tutto sulla mafia
Tutto tutto sulla P2
E l'Europa che ci fa "Ciao"
Pizze pazze e corruzione
Euromafia da esportazione
Tutto tutto sul mio fegato
Tutto tutto, tutto e niente...
Je suis maudit maudit maudit
maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
E via il guinzaglio
Di notte voglio entrare nei segreti tuoi
E li voglio raccontare alla gente che s'inganna
Di notte voglio ballare nella stanza dei bottoni
staccare tutti i fili delle tue decisioni
Staccare tutti i fili con la tua benedizione
Tutto sulla Chiesa in Africa,
Tutto tutto sull'obiezione,
E le stragi senza nome,
Tutte passano da Roma
Pizze pazze e corruzione
Tutto tutto sul mio fegato
tutto tutto, tutto e niente...
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
E via il guinzaglio
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
E non è tutto!
Dirti
Tutto tutto sui veleni
E i segreti del Vaticano,
Tutto tutto sulle elezioni,
Tutto tutto su noi coglioni
Tutto tutto, tutto e niente...
Autoelogi e insabbiamenti,
Funerali, tutti presenti
I politici e la malavita, i politici e la bella vita
Tutto tutto, tutto e niente...
Je suis maudit,
Maudit, maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Maudit, maudit, Demodè
Dirti tutto tutto
Langue: français
Version française – MO, MO, MAUDIT – Marco Valdo M.I. – 2010
Chanson italienne – Maudit – Litfiba – 1993
Chanson italienne – Maudit – Litfiba – 1993
Houlala, dit Lucien l'âne en haussant sa voix pour mieux faire comprendre combien il est surpris et enchanté, voilà une chanson, mon ami Marco Valdo M.I., qui assurément ne laisse pas indifférent et j'ajouterais qui impose quelques commentaires. Même si, comme le disait Léo Ferré, le Vatican n'est pas d'accord. Te souviens-tu quand il a lancé cette mise en garde aux princes de l’Église et pourquoi ?
Et comment que je m'en souviens, dit Marco Valdo M.I.. Ferré était tranchant comme un scalpel et l’Église déjà se comportait en idiote absolue. C'était au moment où des femmes et des hommes réclamaient le droit à l'avortement pour les bébés conçus et qui avaient exposés aux effets du Softenon, un médicament, censé soulager les douleurs et les malaises de la grossesse et qui provoquait d'incroyables malformations chez les bébés en gestation. Dans les faits, pour ces enfants, c'était un poison terrible. Pour nombre d'entre eux, leur vie (et celles de leurs proches) fut un vrai calvaire. On pouvait empêcher pareille dérive et à l'heure actuelle, dans les pays civilisés, l'avortement – au moins thérapeutique, est admis, autorisé et pratiqué avec grande humanité. Mais l’Église (comprenons-nous bien, il s'agit de l'ECAR – l’Église Catholique Apostolique et Romaine, dite la Grande Écart – celle dont précisément parle notre chanson) entendait bien imposer ce poison et ses conséquences atroces comme un coup du ciel, une sorte de stigmate aux femmes qui avaient oser transcender le terrible commandement : "Tu enfanteras dans la douleur". Comme bien tu penses Lucien l'âne mon ami, ce joyeux commandement s'applique seulement aux femmes et jamais à ceux qui les énoncent, qu'il s'agisse de leur Dieu lui-même ou de ses sbires. Sauf l'exception de Jeanne – je te rappelle qu'il y eut une papesse Jeanne, qui eut d'ailleurs l'élégance d'accoucher en fonction, aucun pape, aucun archevêque, aucun évêque et ainsi de suite n'a jamais accouché.
Il est toujours facile d'imposer les douleurs quand ce sont les autres qui doivent les subir. Pour en revenir au Softenon, il faisait naître les enfants sans bras, ou sans jambes ou atteints de terribles malformations – les poisons imposés du Vatican. Et Léo Ferré posait cette innocente question : « Quand tu verras un pape sans bras, avec quoi donc, il te bénira... les temps sont difficiles. » Faudra d'ailleurs un jour revenir aussi sur ces chansons de Léo; Ferré; elles ne peuvent rester en enfer.
Je te le rappellerai, s'il échet, dit Lucien l'âne en souriant de son piano bien ouvert.
Durant toute l'histoire des fantasmatiques relations entre le monde et le diable, mon ami Lucien l'âne, court un courant d'air de malédiction. Le diable, souvent symbolisé par ton apparence, celle de l'âne noir, est connu pour être le maudit, le Maudit par excellence. Le Diable, vu d'une certaine façon, comme dans la chanson de ce jour, c'est aussi celui qui est maudit car il est mis au ban de la bonne société, c'est-à-dire du clan, de la mafia des riches. Tu sais bien Lucien l'âne mon ami, ces mêmes riches qui – avec l'aide de Dieu et de ses serviteurs, tiennent en laisse l'humanité, la briment, l'oppriment, la ruinent, lui font subir un triste destin de travail et disons-le mot d'assujettis, pour la plus grande gloire et le plus grand profit de la minorité qui détient la richesse, les armes et tous autres moyens de persuasion – la télévision, la presse ou l'église.
Te souviens-tu, toi Marco Valdo M.I., de ce film expressionniste si beau, si noir, si incroyablement cinématographique de ce grand cinéaste allemand qui se nommait Fritz Lang et cet acteur étonnant que fut Peter Lorre. Ce film s'intitulait en français : M le Maudit. (En allemand : M – Eine Stadt sucht einen Mörder.).
M. le Maudit... Évidemment et ce qui me revient le plus à l'instant, ce sont des similarités avec la chanson des Litfiba : cette histoire de ballon (Me maquiller en ballon et puis, y raconter tout...) et ce refrain :
Et pour conclure, ce maudit est l'homme lui-même quand il est pris par l'intérieur de lui-même :
exprime d'une façon désespérée son aliénation et son dédoublement intérieur :
« Toujours, je dois aller par les rues, et toujours je sens qu'il y a quelqu'un derrière moi. Et c'est moi-même ! (…) Quelquefois, c'est pour moi comme si je courais moi-même derrière moi ! Je veux me fuir moi-même mais je n'y arrive pas! Je ne peux pas m'échapper ! (…)Quand je fais ça, je ne sais plus rien… Ensuite je me retrouve devant une affiche et je lis ce que j'ai fait, et je lis. J'ai fait cela ? »
Ce maudit-là au moins, M. le Maudit était saisi d'effroi à l'idée ce qu'il faisait : « J'ai fait cela ? », c'était un maudit assassin. Ici, inversion des rôles : les Maudits sont dans l'autre camp, c'est tout le monde des riches qui est dénoncé et aux dernières nouvelles, ils s'en foutent complètement des horreurs qu'ils font subir aux pauvres. Quant au maudit de la chanson, ce serait plutôt une sorte de vengeur masqué, un bon diable en quelque sorte.
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
Et comment que je m'en souviens, dit Marco Valdo M.I.. Ferré était tranchant comme un scalpel et l’Église déjà se comportait en idiote absolue. C'était au moment où des femmes et des hommes réclamaient le droit à l'avortement pour les bébés conçus et qui avaient exposés aux effets du Softenon, un médicament, censé soulager les douleurs et les malaises de la grossesse et qui provoquait d'incroyables malformations chez les bébés en gestation. Dans les faits, pour ces enfants, c'était un poison terrible. Pour nombre d'entre eux, leur vie (et celles de leurs proches) fut un vrai calvaire. On pouvait empêcher pareille dérive et à l'heure actuelle, dans les pays civilisés, l'avortement – au moins thérapeutique, est admis, autorisé et pratiqué avec grande humanité. Mais l’Église (comprenons-nous bien, il s'agit de l'ECAR – l’Église Catholique Apostolique et Romaine, dite la Grande Écart – celle dont précisément parle notre chanson) entendait bien imposer ce poison et ses conséquences atroces comme un coup du ciel, une sorte de stigmate aux femmes qui avaient oser transcender le terrible commandement : "Tu enfanteras dans la douleur". Comme bien tu penses Lucien l'âne mon ami, ce joyeux commandement s'applique seulement aux femmes et jamais à ceux qui les énoncent, qu'il s'agisse de leur Dieu lui-même ou de ses sbires. Sauf l'exception de Jeanne – je te rappelle qu'il y eut une papesse Jeanne, qui eut d'ailleurs l'élégance d'accoucher en fonction, aucun pape, aucun archevêque, aucun évêque et ainsi de suite n'a jamais accouché.
Il est toujours facile d'imposer les douleurs quand ce sont les autres qui doivent les subir. Pour en revenir au Softenon, il faisait naître les enfants sans bras, ou sans jambes ou atteints de terribles malformations – les poisons imposés du Vatican. Et Léo Ferré posait cette innocente question : « Quand tu verras un pape sans bras, avec quoi donc, il te bénira... les temps sont difficiles. » Faudra d'ailleurs un jour revenir aussi sur ces chansons de Léo; Ferré; elles ne peuvent rester en enfer.
Je te le rappellerai, s'il échet, dit Lucien l'âne en souriant de son piano bien ouvert.
Durant toute l'histoire des fantasmatiques relations entre le monde et le diable, mon ami Lucien l'âne, court un courant d'air de malédiction. Le diable, souvent symbolisé par ton apparence, celle de l'âne noir, est connu pour être le maudit, le Maudit par excellence. Le Diable, vu d'une certaine façon, comme dans la chanson de ce jour, c'est aussi celui qui est maudit car il est mis au ban de la bonne société, c'est-à-dire du clan, de la mafia des riches. Tu sais bien Lucien l'âne mon ami, ces mêmes riches qui – avec l'aide de Dieu et de ses serviteurs, tiennent en laisse l'humanité, la briment, l'oppriment, la ruinent, lui font subir un triste destin de travail et disons-le mot d'assujettis, pour la plus grande gloire et le plus grand profit de la minorité qui détient la richesse, les armes et tous autres moyens de persuasion – la télévision, la presse ou l'église.
Te souviens-tu, toi Marco Valdo M.I., de ce film expressionniste si beau, si noir, si incroyablement cinématographique de ce grand cinéaste allemand qui se nommait Fritz Lang et cet acteur étonnant que fut Peter Lorre. Ce film s'intitulait en français : M le Maudit. (En allemand : M – Eine Stadt sucht einen Mörder.).
M. le Maudit... Évidemment et ce qui me revient le plus à l'instant, ce sont des similarités avec la chanson des Litfiba : cette histoire de ballon (Me maquiller en ballon et puis, y raconter tout...) et ce refrain :
« Je suis maudit maudit maudit
Maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit »
Maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit »
Et pour conclure, ce maudit est l'homme lui-même quand il est pris par l'intérieur de lui-même :
exprime d'une façon désespérée son aliénation et son dédoublement intérieur :
« Toujours, je dois aller par les rues, et toujours je sens qu'il y a quelqu'un derrière moi. Et c'est moi-même ! (…) Quelquefois, c'est pour moi comme si je courais moi-même derrière moi ! Je veux me fuir moi-même mais je n'y arrive pas! Je ne peux pas m'échapper ! (…)Quand je fais ça, je ne sais plus rien… Ensuite je me retrouve devant une affiche et je lis ce que j'ai fait, et je lis. J'ai fait cela ? »
Ce maudit-là au moins, M. le Maudit était saisi d'effroi à l'idée ce qu'il faisait : « J'ai fait cela ? », c'était un maudit assassin. Ici, inversion des rôles : les Maudits sont dans l'autre camp, c'est tout le monde des riches qui est dénoncé et aux dernières nouvelles, ils s'en foutent complètement des horreurs qu'ils font subir aux pauvres. Quant au maudit de la chanson, ce serait plutôt une sorte de vengeur masqué, un bon diable en quelque sorte.
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
MO, MO, MAUDIT
La nuit, je veux entrer dans tes secrets
Et je veux construire une forteresse sans illusions
Je serai le court-circuit dans la salle des boutons
Et je dissoudrai les poisons de tes décisions
La nuit je veux danser sur ta télévision
Me maquiller en ballon et puis y raconter tout
Tout tout sur la mafia
Tout tout sur la P2 *
Et l'Europe qui nous crie Ciao
Pizzas, pâtes et corruption
Euromafia d'exportation
Tout tout sur mon foie
Tout, tout, tout et néant...
Je suis maudit maudit maudit
Maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Et fini la laisse !
De nuit je veux entrer dans tes secrets
Et je veux les raconter aux gens qu'on trompe
De nuit je veux dans dans la salle des boutons
Arracher tous les fils de tes décisions
Débrancher tous les fils avec ta bénédiction.
Tout sur ton Église en Afrique
Tout tout sur l'objection
Et les massacres sans nom,
Tous passent par Rome
Pizzas, pâtes et corruption
Tout tout sur mon foie
Tout, tout, tout et néant...
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Et fini la laisse.
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Et ce n'est pas tout!
Te dire
Tout tout sur les sur les poisons
Et les secrets du Vatican
Tout tout sur les élections
Tout tout sur nous les couillons
Tout tout, tout et néant...
Éloges de soi et ensablements;
Funérailles, tous présents
Les politiques et le milieu, les politiques et la belle vie
Tout tout, tout et néant...
Je suis maudit,
Maudit, maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Je suis maudit,
Mo-mo-mo-maudit
Maudit, maudit, démodé
Te dire tout sur tout.
La nuit, je veux entrer dans tes secrets
Et je veux construire une forteresse sans illusions
Je serai le court-circuit dans la salle des boutons
Et je dissoudrai les poisons de tes décisions
La nuit je veux danser sur ta télévision
Me maquiller en ballon et puis y raconter tout
Tout tout sur la mafia
Tout tout sur la P2 *
Et l'Europe qui nous crie Ciao
Pizzas, pâtes et corruption
Euromafia d'exportation
Tout tout sur mon foie
Tout, tout, tout et néant...
Je suis maudit maudit maudit
Maudit, maudit, maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Et fini la laisse !
De nuit je veux entrer dans tes secrets
Et je veux les raconter aux gens qu'on trompe
De nuit je veux dans dans la salle des boutons
Arracher tous les fils de tes décisions
Débrancher tous les fils avec ta bénédiction.
Tout sur ton Église en Afrique
Tout tout sur l'objection
Et les massacres sans nom,
Tous passent par Rome
Pizzas, pâtes et corruption
Tout tout sur mon foie
Tout, tout, tout et néant...
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Yo soy maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, maudit
Et fini la laisse.
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Je suis maudit, maudit, maudit
Maudit, maudit, Maudit
Et ce n'est pas tout!
Te dire
Tout tout sur les sur les poisons
Et les secrets du Vatican
Tout tout sur les élections
Tout tout sur nous les couillons
Tout tout, tout et néant...
Éloges de soi et ensablements;
Funérailles, tous présents
Les politiques et le milieu, les politiques et la belle vie
Tout tout, tout et néant...
Je suis maudit,
Maudit, maudit
Je suis maudit,
Ma-ma-ma-maudit
Je suis maudit,
Mo-mo-mo-maudit
Maudit, maudit, démodé
Te dire tout sur tout.
* [ et même sur la P3, dit Lucien l'âne en clignant de son œil gauche si noir que l'on devine à peine une galaxie striant son fond]
envoyé par Marco Valdo M.I. - 26/10/2010 - 21:43
Langue: russe
Versione russa da questa pagina
Проклятие
Проклятие!
Ночью я хочу проникнуть в твои секреты,
я хочу воздвигнуть крепость,
не допустив ошибок
Я буду замыканием
в комнате с кнопочками
Я обезврежу яд твоих намерений
Ночью я хочу танцевать в телевизоре
Я разукрашу себя краской из баллона
и потом расскажу вам все
Все, все о мафии
все, все о P2
и о Европе, что нам говорит "Пока",
об умалишенных занудах и коррупции,
об экспортируемой европейской мафии,
все, все о моей печени,
все, все, все и ничего...
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и прочь поводок!
Ночью я хочу проникнуть в твои секреты,
и хочу поведать о них людям,
которые обманываются
Ночью я хочу танцевать
в комнате с кнопочками,
обрезать все ниточки твоих намерений,
обрезать все ниточки с твоего благословения
Все о церквях в Африке,
все, все о несогласии,
и безымянных кровопролитиях,
все из которых происходят в Риме,
об умалишенных занудах и коррупции,
все, все о моей печени,
все, все, все и ничего...
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и прочь поводок!
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и это еще не все!
Хочу сказать тебе
все, все об отравах
и о секретах Ватикана,
все, все о выборах,
все, все о нас дураках,
все, все, все и ничего...
О себя хвалящих и занесенных песком,
о похоронах, все из которых памятные,
о политиках и преступном мире,
о политиках и хорошей жизни,
все, все, все и ничего...
Я проклятие,
проклятие, проклятие,
Я проклятие,
про-кля-тие
Я проклятие,
про-кля-тие,
Проклятие, проклятие
сказать тебе все, все
Проклятие!
Ночью я хочу проникнуть в твои секреты,
я хочу воздвигнуть крепость,
не допустив ошибок
Я буду замыканием
в комнате с кнопочками
Я обезврежу яд твоих намерений
Ночью я хочу танцевать в телевизоре
Я разукрашу себя краской из баллона
и потом расскажу вам все
Все, все о мафии
все, все о P2
и о Европе, что нам говорит "Пока",
об умалишенных занудах и коррупции,
об экспортируемой европейской мафии,
все, все о моей печени,
все, все, все и ничего...
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и прочь поводок!
Ночью я хочу проникнуть в твои секреты,
и хочу поведать о них людям,
которые обманываются
Ночью я хочу танцевать
в комнате с кнопочками,
обрезать все ниточки твоих намерений,
обрезать все ниточки с твоего благословения
Все о церквях в Африке,
все, все о несогласии,
и безымянных кровопролитиях,
все из которых происходят в Риме,
об умалишенных занудах и коррупции,
все, все о моей печени,
все, все, все и ничего...
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и прочь поводок!
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
Я проклятие, проклятие, проклятие,
проклятие, проклятие, проклятие
и это еще не все!
Хочу сказать тебе
все, все об отравах
и о секретах Ватикана,
все, все о выборах,
все, все о нас дураках,
все, все, все и ничего...
О себя хвалящих и занесенных песком,
о похоронах, все из которых памятные,
о политиках и преступном мире,
о политиках и хорошей жизни,
все, все, все и ничего...
Я проклятие,
проклятие, проклятие,
Я проклятие,
про-кля-тие
Я проклятие,
про-кля-тие,
Проклятие, проклятие
сказать тебе все, все
envoyé par DonQuijote82 - 19/7/2010 - 11:30
bellissima canzone. molto dura e molto infuriata contro i mezzi di comunicazione di massa. anche io vorrei sapere tutto sulla P2, sulle stragi di Stato e non, sul Vaticano, sulla mafia e sui politici. comunque un grandissimo e applauso ai Litfiba.
Jack - 19/10/2008 - 02:59
Litfiba siete spaventosi, vi ammiro per il coraggio ad esprimere determinati pensieri. Mi fate sballare.
Manuel - 28/6/2009 - 01:14
Dei Litfiba non me ne importa una fava... Io vorrei solo che Marina Occhiena tornasse con i Ricchi & Poveri!!!
Vatla'piè 'ntal gnau! - 9/10/2009 - 09:08
E allora facciamo così: fuori la brunetta "scippaocchi" e dentro la Occhiena!
Emanù - 16/10/2009 - 12:49
i litfiba in questo momento (23.10.2010) fanno cagare anche uno stitico
(clash)
(clash)
Insomma non sei contento della fantastica reunion?
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